Le Fils Prodigue (The Prodigal - 1955) En 70 avant Jésus-Christ, dans l'antique Judée, Micah, fils d'un riche fermier hébreu, s'éprend de la grande prêtresse d'Astarté, Samarra. Envoûté par cette …More
Le Fils Prodigue (The Prodigal - 1955)
En 70 avant Jésus-Christ, dans l'antique Judée, Micah, fils d'un riche fermier hébreu, s'éprend de la grande prêtresse d'Astarté, Samarra.
Envoûté par cette prêtresse du culte de la fécondité, Micah demande à son père sa part d'héritage et quitte sa famille pour Damas où il cède à toutes les lubies de Samarra qui l'entraîne dans une vie de débauche.
Repentant, Micah retourne chez son père qui tue le veau gras en signe de pardon.
En 70 avant Jésus-Christ, dans l'antique Judée, Micah, fils d'un riche fermier hébreu, s'éprend de la grande prêtresse d'Astarté, Samarra.
Envoûté par cette prêtresse du culte de la fécondité, Micah demande à son père sa part d'héritage et quitte sa famille pour Damas où il cède à toutes les lubies de Samarra qui l'entraîne dans une vie de débauche.
Repentant, Micah retourne chez son père qui tue le veau gras en signe de pardon.
Titus Mobi shares this
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Le Fils Prodigue (1955) est une adaptation de la parabole de l’Évangile de saint Luc chapitre 15, largement étendue et développée pour le film, et restituée en 70 avant Jésus-Christ par les scénaristes du film.
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Saint Pierre Chrysologue (406 + 450) écrivait, parlant du fils cadet :
« J’ai perdu ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père…
ses entrailles paternelles le pressent …More
Le Fils Prodigue (1955) est une adaptation de la parabole de l’Évangile de saint Luc chapitre 15, largement étendue et développée pour le film, et restituée en 70 avant Jésus-Christ par les scénaristes du film.
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Saint Pierre Chrysologue (406 + 450) écrivait, parlant du fils cadet :
« J’ai perdu ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père…
ses entrailles paternelles le pressent à engendrer de nouveau son fils par le pardon ».
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Saint Pierre Chrysologue (406 + 450) écrivait, parlant du fils cadet :
« J’ai perdu ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père…
ses entrailles paternelles le pressent à engendrer de nouveau son fils par le pardon ».
Maranatha Maranatha shares this
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Le Fils Prodigue (1955) est une adaptation de la parabole de l’Évangile de saint Luc chapitre 15, largement étendue et développée pour le film, et restituée en 70 avant Jésus-Christ par les scénaristes du film.
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Saint Pierre Chrysologue (406 + 450) écrivait, parlant du fils cadet :
« J’ai perdu ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père…
ses entrailles paternelles le pressent …More
Le Fils Prodigue (1955) est une adaptation de la parabole de l’Évangile de saint Luc chapitre 15, largement étendue et développée pour le film, et restituée en 70 avant Jésus-Christ par les scénaristes du film.
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Saint Pierre Chrysologue (406 + 450) écrivait, parlant du fils cadet :
« J’ai perdu ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père…
ses entrailles paternelles le pressent à engendrer de nouveau son fils par le pardon ».
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Saint Pierre Chrysologue (406 + 450) écrivait, parlant du fils cadet :
« J’ai perdu ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père…
ses entrailles paternelles le pressent à engendrer de nouveau son fils par le pardon ».
Maranatha Maranatha
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Pauline Madigan shares this
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Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face (Exode 20,3).
Le film est librement inspiré de la célèbre parabole du fils prodigue (Luc 15, 11-32).
En des temps bibliques, le fils d'un riche fermier hébreu quitte la maison familiale et sombre dans la débauche en dilapidant sa part d'héritage.More
Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face (Exode 20,3).
Le film est librement inspiré de la célèbre parabole du fils prodigue (Luc 15, 11-32).
En des temps bibliques, le fils d'un riche fermier hébreu quitte la maison familiale et sombre dans la débauche en dilapidant sa part d'héritage.
Le film est librement inspiré de la célèbre parabole du fils prodigue (Luc 15, 11-32).
En des temps bibliques, le fils d'un riche fermier hébreu quitte la maison familiale et sombre dans la débauche en dilapidant sa part d'héritage.
Films chrétiens : La Bible - Péplums.
Cet album présente des films chrétiens en lien avec la Bible ou dans le genre péplum.
Mon site sur les films chrétiens : cinema-chretien.blogspot.comMore
Films chrétiens : La Bible - Péplums.
Cet album présente des films chrétiens en lien avec la Bible ou dans le genre péplum.
Mon site sur les films chrétiens : cinema-chretien.blogspot.com
Cet album présente des films chrétiens en lien avec la Bible ou dans le genre péplum.
Mon site sur les films chrétiens : cinema-chretien.blogspot.com
2) Films (ou séries)
Album recensant les films entiers (en français) 
disponibles actuellement sur Gloria TV.
Voir aussi ma Sélection de bons FILMS ...More
2) Films (ou séries)
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Voir aussi ma Sélection de bons FILMS ...
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Le fils prodigue (1955) est une adaptation de la parabole de l’Évangile de saint Luc chapitre 15, largement étendue et développée pour le film, et restituée en 70 avant Jésus-Christ par les scénaristes du film.
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« Tu n’auras pas d’autre Dieu que moi... »
Avant l'ère chrétienne, peu de gens croyaient en un seul Dieu. Le polythéisme était la règle. Les disciples de Yahvé étaient les seuls …More
Le fils prodigue (1955) est une adaptation de la parabole de l’Évangile de saint Luc chapitre 15, largement étendue et développée pour le film, et restituée en 70 avant Jésus-Christ par les scénaristes du film.
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« Tu n’auras pas d’autre Dieu que moi... »
Avant l'ère chrétienne, peu de gens croyaient en un seul Dieu. Le polythéisme était la règle. Les disciples de Yahvé étaient les seuls à s'opposer à la multitude étrange et variée des divinités vénérées. Les deux plus célèbres étaient Baal et Astarté, le mâle et la femelle, dieux de la chair, et non de l'âme ! Chaque année, ils étaient censés rendre sa fertilité à la terre. En échange, ils exigeaient de leurs adeptes des sacrifices en argent, en joyaux et en vie humaine...
(allociné)
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Cette brève mais célèbre histoire sert de trame de fond à ce péplum de 1955, réalisé par l'habile artisan Richard Thorpe, connu surtout pour Ivanhoé et Les Chevaliers de la Table ronde. Pour étoffer un peu le scénario, on a enrobé le tout d'une histoire d'amour impossible entre le fils en question, Micah, et la grande prêtresse du culte d'Astarté, Samarra. Le jeune homme l'aperçoit un jour, et abandonne tout - famille, fiancée, situation, honneur - pour tenter de la mettre dans son lit. Mais cela a un coût, et Micah est contraint de renoncer successivement à sa fortune, sa liberté et sa religion...
Pourtant doté de gros moyens - décors fastueux, figurants nombreux - le film a été un échec commercial et critique à sa sortie, alors que le genre avait clairement le vent en poupe à l'époque. C'est dû d'un côté à un scénario truffé d'invraisemblances et péchant par son manque de scènes d'action épiques, et de l'autre à un casting assez moyen. C'est un divertissement correct mais un poil longuet, et hélas dénué de grands frissons.
(senscritique)
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« Tu n’auras pas d’autre Dieu que moi... »
Avant l'ère chrétienne, peu de gens croyaient en un seul Dieu. Le polythéisme était la règle. Les disciples de Yahvé étaient les seuls à s'opposer à la multitude étrange et variée des divinités vénérées. Les deux plus célèbres étaient Baal et Astarté, le mâle et la femelle, dieux de la chair, et non de l'âme ! Chaque année, ils étaient censés rendre sa fertilité à la terre. En échange, ils exigeaient de leurs adeptes des sacrifices en argent, en joyaux et en vie humaine...
(allociné)
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Cette brève mais célèbre histoire sert de trame de fond à ce péplum de 1955, réalisé par l'habile artisan Richard Thorpe, connu surtout pour Ivanhoé et Les Chevaliers de la Table ronde. Pour étoffer un peu le scénario, on a enrobé le tout d'une histoire d'amour impossible entre le fils en question, Micah, et la grande prêtresse du culte d'Astarté, Samarra. Le jeune homme l'aperçoit un jour, et abandonne tout - famille, fiancée, situation, honneur - pour tenter de la mettre dans son lit. Mais cela a un coût, et Micah est contraint de renoncer successivement à sa fortune, sa liberté et sa religion...
Pourtant doté de gros moyens - décors fastueux, figurants nombreux - le film a été un échec commercial et critique à sa sortie, alors que le genre avait clairement le vent en poupe à l'époque. C'est dû d'un côté à un scénario truffé d'invraisemblances et péchant par son manque de scènes d'action épiques, et de l'autre à un casting assez moyen. C'est un divertissement correct mais un poil longuet, et hélas dénué de grands frissons.
(senscritique)