« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi …More
« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi tangible que la lame d’une guillotine ? La Terreur a donné à l’Église des martyrs conscients de leur sacrifice. Mais que nous a donné la République ? Non pas des martyrs, mais des « tièdes » (Apocalypse 3 :16), oublieux de leurs propres responsabilités religieuses. Non pas des saints, mais des mondains conciliaires, enchantés par les compromissions de la République. Pas même des traîtres conscients, mais, ce qui est bien pire, des parjures malgré eux (Osée 4 :2). Les prêtres jureurs savaient qu’ils tournaient le dos à Rome pour s’engager aux côtés des Lumières, et ils y engageaient leur propre responsabilité. Mais combien de catholiques se rangent aujourd’hui du côté du monde, de la République, des Lumières sans même avoir conscience de leur propre parjure ? Malgré une soumission au monde certaine de l’Église catholique sur certains points depuis le Deuxième Concile de Vatican, la doctrine n’a pas, et ne peut pas changer. Le parjure inconscient est donc bien réel, et entretenu par l’Éducation nationale de la manière que nous étudierons. [...]
vexilla-galliae.fr

Pour un véritable enseignement catholique : de l’incompatibilité de la vraie foi avec l’École de la …

Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la …
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« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi …More
« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi tangible que la lame d’une guillotine ? La Terreur a donné à l’Église des martyrs conscients de leur sacrifice. Mais que nous a donné la République ? Non pas des martyrs, mais des « tièdes » (Apocalypse 3 :16), oublieux de leurs propres responsabilités religieuses. Non pas des saints, mais des mondains conciliaires, enchantés par les compromissions de la République. Pas même des traîtres conscients, mais, ce qui est bien pire, des parjures malgré eux (Osée 4 :2). Les prêtres jureurs savaient qu’ils tournaient le dos à Rome pour s’engager aux côtés des Lumières, et ils y engageaient leur propre responsabilité. Mais combien de catholiques se rangent aujourd’hui du côté du monde, de la République, des Lumières sans même avoir conscience de leur propre parjure ? Malgré une soumission au monde certaine de l’Église catholique sur certains points depuis le Deuxième Concile de Vatican, la doctrine n’a pas, et ne peut pas changer. Le parjure inconscient est donc bien réel, et entretenu par l’Éducation nationale de la manière que nous étudierons. [...]
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« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi …More
« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi tangible que la lame d’une guillotine ? La Terreur a donné à l’Église des martyrs conscients de leur sacrifice. Mais que nous a donné la République ? Non pas des martyrs, mais des « tièdes » (Apocalypse 3 :16), oublieux de leurs propres responsabilités religieuses. Non pas des saints, mais des mondains conciliaires, enchantés par les compromissions de la République. Pas même des traîtres conscients, mais, ce qui est bien pire, des parjures malgré eux (Osée 4 :2). Les prêtres jureurs savaient qu’ils tournaient le dos à Rome pour s’engager aux côtés des Lumières, et ils y engageaient leur propre responsabilité. Mais combien de catholiques se rangent aujourd’hui du côté du monde, de la République, des Lumières sans même avoir conscience de leur propre parjure ? Malgré une soumission au monde certaine de l’Église catholique sur certains points depuis le Deuxième Concile de Vatican, la doctrine n’a pas, et ne peut pas changer. Le parjure inconscient est donc bien réel, et entretenu par l’Éducation nationale de la manière que nous étudierons. [...]
Marie-Pierre Jeanine THIERY shares this
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« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi …More
« Il est inutile de rappeler ici les fondements anticatholiques de la République dans la matrice de la Révolution française. Inutile de rappeler le supplice des noyés de Nantes ou le martyre des Carmélites de Compiègne, sur lesquels des dizaines de livres ont été écrits. Oserons-nous affirmer qu’au moins, pendant la Terreur, l’ennemi de l’Église n’était pas sournois mais tangible, aussi tangible que la lame d’une guillotine ? La Terreur a donné à l’Église des martyrs conscients de leur sacrifice. Mais que nous a donné la République ? Non pas des martyrs, mais des « tièdes » (Apocalypse 3 :16), oublieux de leurs propres responsabilités religieuses. Non pas des saints, mais des mondains conciliaires, enchantés par les compromissions de la République. Pas même des traîtres conscients, mais, ce qui est bien pire, des parjures malgré eux (Osée 4 :2). Les prêtres jureurs savaient qu’ils tournaient le dos à Rome pour s’engager aux côtés des Lumières, et ils y engageaient leur propre responsabilité. Mais combien de catholiques se rangent aujourd’hui du côté du monde, de la République, des Lumières sans même avoir conscience de leur propre parjure ? Malgré une soumission au monde certaine de l’Église catholique sur certains points depuis le Deuxième Concile de Vatican, la doctrine n’a pas, et ne peut pas changer. Le parjure inconscient est donc bien réel, et entretenu par l’Éducation nationale de la manière que nous étudierons. [...]