...par le Pape Léon XIII après une longue enquête de vérification des conditions d'ordination dans l'anglicanisme. Le Pape écrit dans sa Lettre apostolique Apostolicae Curae: « de Notre propre mouvement et de science certaine, Nous prononçons et déclarons que les ordinations conférées selon le rite anglican ont été et sont absolument vaines et entièrement nulles ». google.com/…/1gQssX3jp919M903Aav7eQnFqkZgUXJSS10yNiW6oIi4/edit
Si bien que l'on peut donc dire qu'il n'y eut JAMAIS de sacerdoce réel ni de sacrements valides dans le clergé (faux) anglican.

L'anglicanisme est AUSSI une hérésie; d'ailleurs St Thomas d'Aquin dans son traité sur la Charité démontre que tout schisme, qui est une rupture de charité, cherche à se justifier par une raison plus noble en rompant très vite avec la Foi et s'inventant une nouvelle doctrine. Henri VIII à titre personnel était attaché à la doctrine catholique qu'il avait défendue dans une traité contre Luther en 1521 (écrit par St Thomas More mais signé par le roi) ce qui lui avait valu le titre attribué par la Pape Léon X de "Défenseur de la foi". Mais son choix de Cranmer comme Archevêque Primat d’Angleterre, marié secrètement à une allemande luthérienne, allait précipiter le virage protestant de l'anglicanisme. Avec Cranmer TOUS les livres de prières et de messe furent changés afin de protestantiser le peuple insensiblement par la liturgie nouvelle. À la mort du roi son fils Édouard VI qui n'a que 9 ans, sous l'influence de ses oncles, le calvinisme est établi pour la première fois en Angleterre avec des réformes qui comprennent l'abolition du célibat des prêtres et de la messe, la disparition des statues et vitraux des églises et l'imposition de l'anglais lors des offices. L'architecte de ces réformes est Thomas Cranmer, archevêque de Cantorbéry, dont le Book of Common Prayer (« Livre de la prière commune ») est toujours en vigueur.
À partir de cela après un bref intermède durant le court règne de la fille de Catherine d'Aragon, le règne d'Élisabeth I établira définitivement le calvinisme comme doctrine obligatoire avec persécution sanglante des catholiques. Un auteur protestant du XIX ° siècle, anglais, William Cobbett convient lui même dans son "Histoire de la Réforme en Angleterre" que Elisabeth I fit plus victimes catholiques pendant son règne que l'Inquisition espagnole pendant des siècles!! c'est dire le caractère sanglant du règne anglican.
Enfin contrairement à ce que vous pensez les ordinations anglicanes sont nulles depuis le début et déclarées INVALIDES par le pa

Vous savez le pape François n'en est pas à une contradiction près il peut un jour affirmer une idée et le lendemain l'inverse. Il est la confusion même et là est son danger. Car après avoir assumé sa fonction "confirme tes frères dans la foi" il va enseigner l'inverse le lendemain. Ainsi a-t-il condamné la peine de mort alors que lui-même a appelé à placer une meule au cou des mafieux et à les jeter à la mer, comme Notre Seigneur l'a préconisé pour ceux qui scandalisent les petits enfants ➣ drive.google.com/…/view
Il nie l'enfer et il y envoie ces mêmes mafieux lors de son voyage en Sicile ➣ docs.google.com/…/edit
..Bref qui et quand doit-on le croire ? Pour ma part il a perdu ma confiance car celui qui dit blanc le matin et noir le soir n'est pas digne d'écoute ni de respect.

Siagrius L'anglicanisme ne fut pas seulement schismatique mais aussi hérétique. D'ailleurs St Thomas d'Aquin dans la Somme Théologique, traité de la Charité, mentionne que tout schismatique s'efforce de rechercher quelque cause plus élevée de sa rupture en inventant tôt ou tard une nouvelle doctrine qui justifie son schisme.
Que l'anglicanisme fut hérétique résulte, dès Henri VIII, de sa contestation de la suprématie Pontificale et de celle de l'Église locale relativement au Sacrement de mariage. Son "acte de suprématie" qui instituait le Roi anglais maître des sacrements, nominations aux évêchés, gestion des monastères etc.. prouve qu'il avait non seulement rompu avec la discipline mais aussi avec le dogme. Ses successeurs Édouard son fils, puis Élisabeth sa fille tordirent plus encore la doctrine en devenant Calvinistes durs.

Catholique et Français L'héritier masculin était bien sûr un prétexte fallacieux puisque le royaume d'Angleterre admettait la succession des femmes. La raison réelle était la passion irréfrénable d'Henri VIII pour Anne Boleyn qui exigeait d'être reine. D'ailleurs Henri VIII invoqua successivement plusieurs motifs d'annulation avec Catherine d'Aragon, dont le fait qu'elle avait été l'épouse du frère d’Henri VIII. Il fut prouvé que ce mariage n'avait pas été consommé, ce qui le rendait nul. La recherche de preuves multiples prouve assez que le Roi recherchait d'abord une annulation à tous prix pour satisfaire son désir charnel. Une religion née d'un péché mortel de son fondateur, ne peut avoir de légitimité divine.