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L'invitation avec le pistolet. Don Reto Nay 07-06-2015Plus
L'invitation avec le pistolet.

Don Reto Nay
07-06-2015
www.cine-art-loisir.com
Très beau sermon
Harmonia celestiala
Bien entendu le pistolet n'est que mentionné pour symboliser le respect de la force en général. Dieu nous invite avec la gentillesse et la bonté dont les gens de ce monde ne sont pas habitués.
hawaii
Scuzate ma non capisco. Posiamo avere la pistola in questi tempi terribili, cosa dice Don Reto Nay......si o no?
Plaisch
C'est vraiment faramineux comme ce merveilleux prêtre maîtrise le français, chapeau.
D'autant plus le message qui est lumineux comme le crystal.Plus
C'est vraiment faramineux comme ce merveilleux prêtre maîtrise le français, chapeau.

D'autant plus le message qui est lumineux comme le crystal.
dvdenise
Abba Païssius priait pour un de ses disciples qui avait renié le Christ. Pendant sa prière, le Christ lui apparut et lui dit : « Païssius, pour qui es-tu en train de prier ? Ne m’aurait-il pas renié ? ». Mais le saint continua à ressentir de la compassion pour son disciple. Alors le Seigneur lui dit : « Païssius, tu m’es devenu semblable par l’amour. » (Paroles des pères que Silouane aimait …Plus
Abba Païssius priait pour un de ses disciples qui avait renié le Christ. Pendant sa prière, le Christ lui apparut et lui dit : « Païssius, pour qui es-tu en train de prier ? Ne m’aurait-il pas renié ? ». Mais le saint continua à ressentir de la compassion pour son disciple. Alors le Seigneur lui dit : « Païssius, tu m’es devenu semblable par l’amour. » (Paroles des pères que Silouane aimait répéter)

"Le Saint Esprit unit tous les hommes, et c’est pourquoi les Saints nous sont proches. Lorsque nous les prions, alors, par le Saint Esprit, ils entendent nos prières et nos âmes sentent qu’ils prient pour nous."
Saint Silouane
Harmonia celestiala
Avec une chose extraordinaire on peut rendre attentif tout le monde. Mais pour trouver et respecter le bien que Dieu nous veut offrir, il faut ouvrir le coeur et alors nous serons prêts d'accepter cette invitation pour recevoir sa bonté et son grand cadeau d'amour.
dvdenise
Le 7 décembre 1935, Notre Seigneur dit à Sœur Consolata Betrone:
Une mère, toute laide que soit sa progéniture, ne la considère point comme telle ; elle la garde toujours belle dans son cœur.
Ainsi se comporte mon cœur vis-à-vis des âmes : mêmes celles qui sont laides, ténébreuses et hideuses, mon Cœur les regarde toujours comme belles.
Je souffre lorsqu’on me confirme leur laideur ; Plus
Le 7 décembre 1935, Notre Seigneur dit à Sœur Consolata Betrone:
Une mère, toute laide que soit sa progéniture, ne la considère point comme telle ; elle la garde toujours belle dans son cœur.

Ainsi se comporte mon cœur vis-à-vis des âmes : mêmes celles qui sont laides, ténébreuses et hideuses, mon Cœur les regarde toujours comme belles.

Je souffre lorsqu’on me confirme leur laideur ; inversement, j’éprouve du contentement lorsqu’on entre dans mes sentiments maternels en affirmant que ces âmes gardent leur beauté… Ces âmes m’appartiennent, je leur ai fait don de tout mon sang !

Aussi suis-je blessé par tout jugement sévère, blâme, condamnation reposant même sur la vérité ; comme, inversement, me soulage tout sentiment de compassion, d’indulgence et de miséricorde !

Abstiens-toi de juger qui que ce soit, et de proférer, et de proférer des paroles dures ; console mon Cœur et arrache-le à sa tristesse en me faisant voir par ton ingénieuse charité le seul beau côté d’une âme coupable : je te croirai, j’écouterai ta prière en sa faveur et t’exaucerai. Faire justice me peine. Mon Cœur a besoin de croire que mes créatures ne sont pas ingrates. Si tu cherches à me faire voir la gratitude, la bonté et la fidélité d’une âme, je le croirai. Que veux-tu, mon Cœur recherche le réconfort, il veut la miséricorde et non la justice !

Le 15 décembre 1935, notre Seigneur lui dit : Il arrivera souvent, Consolata, que des âmes très religieuses, surtout de celles qui me sont consacrées, me blessent dans l’intime de moi-même par cette phrase défiante : « Qui sait si je me sauverai ? »

Ouvre l’évangile et tu verras ce que j’ai promis à mes brebis : « Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. »

As-tu compris Consolata ? Personne ne peut me ravir une âme.

Lis plus loin : « Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père.

As-tu compris Consolata ? Personne ne me ravira une âme… elles ne périront jamais, car je leur donne la vie éternelle.

À qui s’adressent ces paroles ? A toutes les âmes.

Pourquoi, dès lors me causer cet affront : « Qui sait si je serai sauvé ? » quand, dans l’Evangile, je donne la pleine assurance qu’aucune âme ne me sera ravie, que je leur donnerai la vie éternelle et qu’ainsi personne ne sera perdu ?

Crois-moi Consolata, va en enfer qui veut bien y aller ; car, bien que personne ne puisse m’arracher une âme, néanmoins, l’âme dotée du libre arbitre peut s’enfuir, me trahir et me renier et par conséquent se livrer au démon.

Si seulement, au lieu de me blesser par défiance, vous pensiez un peu au paradis promis ! C’est au paradis et non à l’enfer que je vous ai vouées en vous créant, à la jouissance d’un éternel amour et non à la compagnie infernale des démons.

Oui, va en enfer qui veut bien y aller. Futile est votre crainte de vous damner : n’ai-je pas versé mon sang pour vous sauver ?

Je veillerais sur vous durant toute votre existence terrestre en vous donnant grâce sur grâce ; et, au dernier instant de votre vie, alors que je n’aurais plus qu’à recueillir les fruits de ma Rédemption, que l’âme serait à la veille de jouir de sa béatitude, je permettrais au démon, mon pire ennemi, de me ravir cette âme ? Que deviendraient alors les promesses de vie éternelle exprimées dans mon évangile ? Comment peut-on croire, Consolata, de pareilles monstruosités ?

L’impénitence finale ne se rencontre que chez les personnes qui veulent aller en enfer, de propos délibéré, et par conséquent refusent ma miséricorde ; car, pour ce qui est de moi, jamais je ne refuse mon pardon : ma miséricorde illimitée embrasse l’univers entier, car pour tous, j’ai versé mon sang.

La multitude des péchés ne damnera pas une âme – puisque mon pardon prévient son repentir, mais bien l’obstination à refuser mon pardon et à vouloir se damner.
AveMaria44
"Car Dieu n'a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
Mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.
Or, voici quel est le jugement: c'est que la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.
Plus
"Car Dieu n'a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
Mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.
Or, voici quel est le jugement: c'est que la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.
Car quiconque fait le mal, hait la lumière, de peur que ses œuvres ne soient blâmées.
Mais celui qui accomplit la vérité vient à la lumière, de sorte que ses œuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu." (Jn 3, 17-21)

Le Souverain Bien connu ne peut qu'être aimé, mais Il est peu connu.

Nous sommes naturellement faits PAR DIeu POUR Dieu, mais suite au péché originel, nous avons besoin de son aide, de sa grâce, sanans et elevans, pour redevenir ses enfants et non des fils de colère.
shazam
« Si nous voulons être de bons chrétiens et avoir part au Royaume des Cieux, alors il faut s’habituer de respecter le bien, qui ne force jamais, qui n’est jamais dur et qui toujours s’approche à ta propre vie d’une manière élégante et avec respect. Ce sont des choses que selon notre quotidien ne sommes pas habitués à respecter.»
« L’amour forcé, ça n’existe pas. »
« IL a préparé pour nous …Plus
« Si nous voulons être de bons chrétiens et avoir part au Royaume des Cieux, alors il faut s’habituer de respecter le bien, qui ne force jamais, qui n’est jamais dur et qui toujours s’approche à ta propre vie d’une manière élégante et avec respect. Ce sont des choses que selon notre quotidien ne sommes pas habitués à respecter.»

« L’amour forcé, ça n’existe pas. »

« IL a préparé pour nous ce grand Souper, il nous a invité, gentiment... : c’est la le défi ! Le défi le plus grand de notre vie : d’accepter la gentillesse et le respect que Dieu à face de nous. »

Pardon mon Père si je blasphème, mais c’est moi qui vous 😇