@perceval2507
J'ai supprimé ton dernier commentaire car tu as déformé mon pseudonyme de manière infamante (ce qui ne t'était pas arrivé depuis un certain temps), trahissant ton embarras face à ces paroles centrales de la Foi catholique qui contredisent frontalement ton idéologie lefebvriste. Ton allusion à mes anciennes paroles en partie maladroites sur le magistère vivant des papes, paroles sur lesquelles j'ai eu l'occasion dans des commentaires de m'expliquer dans le détail, est une diversion qui trahit elle aussi ton embarras. Si tu déformes une nouvelle fois mon pseudonyme dans un commentaire publié sur mes contributions, je te bloquerai sur mon compte. Bonne soirée

@ladoctrine
La question n'est pas de savoir si j'imagine le Seigneur Jésus embrasser le Coran (question assez absurde et anachronique), elle est plutôt de savoir si des papes peuvent commettre des actes ou des gestes qui participent d'erreurs pratiques pouvant toucher indirectement les domaines de la foi et de la morale, mais qui ne relèvent pas INTRINSÈQUEMENT d'erreurs doctrinales. Et la réponse à cette question est bien évidemment OUI.

Quant aux rencontres d'Assise qui peuvent être certes mal interprétées dans le sens d'une prière commune syncrétiste, l'intention catholique et même en filigrane évangélisatrice des derniers Papes est évidente à l'aune et dans la continuité de certaines paroles magistérielles de leurs prédécesseurs :

Pape Pie XI ( en 1937 in Encyclique Divini Redemptoris ) appelle tous les croyants de bonne volonté à s’unir contre le funeste communisme :

« 72. Dans ce combat engagé par la puissance des ténèbres contre l’idée même de la Divinité, Nous gardons l’espérance que la lutte sera vaillamment soutenue, non seulement par ceux qui se glorifient de porter le nom du Christ, mais aussi par tous les hommes (et ils sont l’immense majorité dans le monde) qui croient encore en [l’existence de] Dieu [Deum esse credunt] et l’adorent. Nous renouvelons donc l’appel lancé, il y a cinq ans, dans Notre Encyclique Caritate Christi, que tous les croyants s’emploient avec loyauté et courage “à préserver le genre humain du grave péril qui le menace”. Car, disions-Nous alors, “la foi en Dieu [Dei agnitione] est le fondement inébranlable de tout ordre social et de toute responsabilité sur la terre ; aussi tous ceux qui ne veulent pas de l’anarchie et du terrorisme doivent travailler énergiquement à empêcher la réalisation du plan ouvertement proclamé par les ennemis de la religion. »

Pape Pie XII ( le 31 décembre 1952 , Message pour le centenaire de St Thomas d'Aquin ) :

« L’Église […] n’est liée à aucune culture particulière, elle est chez elle avec tous ceux qui respectent les commandements de Dieu. Ce qui est en harmonie avec la nature donnée par Dieu, ce qui est bon et simplement humain, l’Église le permet, l’encourage, l’ennoblit et le sanctifie. […] Démontrez que tout ce qui peut être juste et bon dans d’autres religions trouve sa signification plus profonde et son achèvement parfait dans le Christ […]. »

@La louange de mes lèvres @perceval2507 L'infaillibilité pontificale consiste en une assistance permanente et spéciale de 2 Personnes divines, le Christ et le Saint-Esprit, qui préserve le Pape de toute erreur doctrinale dans l'exercice de sa fonction spécifique : il est la règle prochaine et vivante de la foi (les problèmes intestinaux ou œsophagiens du Pape sont hors sujet tout comme ses péchés personnels, ça vous fait rire, moi pas) ; le Saint-Esprit n'a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu'ils reconnaissent, sous sa révélation, une........... nouvelle doctrine ! Vous voyez Notre Seigneur embrassant le Coran..... d'un air de dire "je cautionne"....... ?

@apvs a écrit : " Ma joie, nous sommes champions du monde ! Alleluia ! " ( ah, et aussi : le Christ est ressuscité, j'oubliais... )

" Ma joie, nous sommes champions du monde ! Alleluia ! " ( ah, et aussi : le Christ est ressuscité, j'oubliais... )

Pour grossir le trait et pour parler vulgairement, les rots et les pets des papes non plus ne sont pas infaillibles.

Bien sûr que si !
Ils sont le signe infaillible que les papes sont des êtres incarnés, de simples hommes, ce qui prouve la folie d'amour d'un Dieu qui se livre tout entier entre les mains de si faibles créatures de chair et de sang, dont le corps est voué à la mort, mais dont l'âme, précieuse à ses yeux, est immortelle.

Soit dit en passant, quels que soient les durs reproches que l’on puisse faire à un président de la République (notamment la vulgarité)


VS : AVEZ-VOUS LE BON PROFIL POUR REMPLACER BENALLA ?
Soit dit en passant, quand on n'a pas encore 40 ans et que l'on veut jouer les candidats à la présidence française, on se doit d'avoir de la tolérance avec un jeune qui voit en nous une sorte d'alter-égo, et qui devant la jeunesse du nouveau chef de l'Etat, peut avoir un petit mouvement de familiarité bien pardonnable.

ET DORENAVANT, IL EST ECRIT DANS LE MARBRE LA FELONIE DE CELUI QUI PRETENDAIT FAIRE DES LECONS DE MORALE A AUTRUI, PROFITANT DE SON JEUNE ÂGE POUR L'IMPRESSIONNER, ET QUI EN SECRET, FAVORISAIT UNE CRAPULE CRIMINELLE, JUSQU'A LE LANCER VERS LES PLUS HAUTES MARCHES DES FONCTIONS DE L'ETAT, RECOMPENSANT SON COMPORTEMENT DE VOYOU PAR UN SALAIRE MIROBOLANT. A VOMIR.

@ladoctrine
J'ai répondu à votre objection dans mon commentaire précédent à l'adresse de 'perceval2507'. Il est possible que de vrais papes commettent des gestes pratiques involontairement scandaleux ayant trait indirectement à la foi et à la morale (comme Saint Pierre à Antioche), et l'histoire montre qu'il arrive que de vrais papes aient des vies moralement scandaleuses. Pour grossir le trait et pour parler vulgairement, les rots et les pets des papes non plus ne sont pas infaillibles. Bien à vous

@perceval2507
Apparemment, comme d’ailleurs manifestement quantité de Lefebristes, tes connaissances en dogmatique catholique laissent à désirer. Ce baiser de Jean-Paul II sur le Coran n’appartient évidemment pas à un quelconque magistère ordinaire et universel pontifical. Est-ce que le geste du premier pape, Saint Pierre, lors de l’incident d’Antioche au cours duquel saint Paul lui reprocha vivement de manger avec des juifs convertis à la manière judaïque, participait de son magistère universel ? Bien sûr que non. Il ne commit alors pas d’erreur doctrinale mais une erreur pratique liée à des considérations trop humaines. Saint Jean-Paul II déclara publiquement par ailleurs que le Dieu du Coran s’éloigne sous bien des rapports du Dieu de la révélation chrétienne. Son geste fut éminemment discutable car susceptible d’être mal interprété et par suite possiblement source de scandale, mais son intention fut très probablement droite et catholique. Pensa-t-il entre autres en baisant le Coran aux paroles qui involontairement plaident en faveur de la foi chrétienne comme en témoigne la conversion de cet imam ? C’est possible.

Pour rappel, la Foi catholique condamne tes positions lefebvristes, hérétiques et schismatiques. Il est très hypocrite de le nier :

« Quant à déterminer quelles doctrines sont renfermées dans cette révélation divine, c’est la mission de l’Église enseignante, à laquelle Dieu a confié la garde et l’interprétation de sa parole ; dans l’Église, le docteur suprême est le Pontife Romain. L’union des esprits réclame donc, avec un parfait accord dans la même foi, une parfaite soumission et obéissance des volontés à l’Église et au pontife Romain, comme à Dieu lui-même. » ( Léon XIII,10 Janvier 1890, Sapientiae Christianae ).

« Si les catholiques Nous écoutent, comme c’est leur devoir, ils sauront exactement quels sont les devoirs de chacun tant en théorie qu’en pratique. En théorie d’abord, il est nécessaire de s’en tenir avec une adhésion inébranlable à tout ce que les Pontifes romains ont enseigné ou ENSEIGNERONT et, toutes les fois que les circonstances l’exigeront, d’en faire profession publique ». ( Léon XIII, Enc.Immorte Dei, 1.11.1895 )

« En effet, tous ceux qui résistent obstinément aux Prélats légitimes de l’Église, spécialement au Souverain Pontife de tous, et refusent d’exécuter leurs ordres, ne reconnaissant pas leur dignité, ont toujours été reconnus comme SCHISMATIQUES par l’Église Catholique. » ( Encyclique Quartus supra, Pie IX )

« Il s’agit en effet, vénérables frères et bien-aimés fils, d’accorder ou de refuser obéissance au Siège Apostolique ; Il s’agit de reconnaitre sa Suprême Autorité même sur vos Églises, et non seulement quant à la Foi, mais encore quant à la discipline : celui qui la nie est HÉRÉTIQUE ; celui qui la reconnait et qui refuse opiniâtrement de lui obéir est digne d’anathème. » ( Encyclique « Quae in patriarchatu », 1er septembre 187, Pie IX )

Dans Quanta cura (1864), Pie IX a condamné comme souverainement contraire au dogme l’opinion qui prétend « qu’on peut, sans péché et sans préjudice de la profession de foi chrétienne, refuser son assentiment et son obéissance aux jugements et aux décrets du Siège Apostolique, dont l’objet avoué ne regarde que le bien général, les droits et la discipline de l’Église, pourvu qu’il n’atteigne ni la foi, ni les mœurs. »

« C’est de là (du Siège apostolique) que les catholiques reçoivent ce qu’ils doivent savoir ». ( Pie XI, Enc. Mortalium animos, 6.1.1928 )

« Si donc quelqu’un dit que le Pontife romain n’a qu’une charge d’inspection ou de direction et non un pouvoir plénier et souverain de juridiction sur toute l’Église, non seulement en ce qui touche à la foi et aux mœurs, mais encore en ce qui touche à la discipline et au gouvernement de l’Église répandue dans le monde entier, ou qu’il n’a qu’une part plus importante et non la plénitude totale de ce pouvoir suprême ; ou que son pouvoir n’est pas ordinaire ni immédiat sur toutes et chacune des églises comme sur tous et chacun des pasteurs et des fidèles, qu’il soit anathème. » ( Pastor Æternus, Concile Vatican I )

« C’est pourquoi nul ne sera sauvé si, sachant que l’Église a été divinement instituée par le Christ, il n’accepte pas cependant de se soumettre à l’Église ou refuse l’obéissance au Pontife romain, vicaire du Christ sur terre .» ( Lettre du Saint-Office à l’Évêque de Boston, DS 3867, Pie XII)

Droit Canon. 218 : « § 1 Le Pontife Romain successeur de Saint Pierre dans sa primauté, a non seulement la primauté d’honneur, mais le pouvoir de juridiction suprême et entier sur l'Église Universelle, tant dans les matières qui concernent la foi et les mœurs, que dans celles qui se rapportent à la discipline et au gouvernement de l'Église répandue dans le monde entier. »

PIE XII (Encyclique Mystici corporis, 29 juin 1943) :

« Ceux-là se trompent donc dangereusement qui croient pouvoir s’attacher au Christ Tête de l’Église sans adhérer fidèlement à son Vicaire sur la terre. Car en supprimant ce Chef visible et en brisant les liens visibles de l’unité, ils obscurcissent et déforment le Corps mystique du Rédempteur au point qu’il ne puisse plus être reconnu ni trouvé par les hommes en quête du port du salut éternel»

Léon XIII (Encyclique Satis cognitum, 29 juin 1896) :

« Il est donc évident […] que Jésus-Christ a institué dans l’Église un magistère VIVANT (1), authentique et, de plus, PERPETUEL, qu’il a investi de sa propre autorité, revêtu de l’Esprit de vérité, confirmé par des miracles, et il a voulu et très sévèrement ordonné que les enseignements doctrinaux de ce magistère fussent reçus comme les siens propres. »

[ (1) « Un magistère vivant, c’est-à-dire qui s’exerce continuellement dans l’Église par la communication de la )doctrine révélée. Ce magistère est vivant, en tant qu’il s’oppose au magistère encore exercé actuellement dans l’Église par des hommes qui ont disparu, mais auxquels leurs ouvrages ont survécu. Les protestants admettent que les Apôtres exercent encore actuellement dans l’Eglise un magistère, mais seulement par l’influence de leurs écrits : ils n’admettent donc qu’un magistère pour ainsi dire posthume » (« Tradition et Magistère », III, 3, 1, in Dictionnaire apologétique de la foi catholique (DAFC)IV, 1922 )

« Magistère […] vivant, c’est-à-dire qui demeure toujours dans des maîtres VIVANTS et s’exprime par leur bouche, et non pas ce Magistère, divin sans doute, mais mort, que les protestants cherchent dans l’Écriture » ( Auguste-Alexis GOUPIL, S.J., La Règle de la Foi ) ]

@La louange de mes lèvres Vous me dites que "des paroles et des actes d'un Pape peuvent prêter à confusion...... être critiquables" !!!!!! Et vous trouvez cela tout à fait possible et normal de la part d'un Vicaire du Christ ? Ainsi donc, le Christ et Son Eglise peuvent tout à fait, à un moment ou à un autre, avoir eux aussi été confus et critiquables..... pendant que vous y êtes !!!!!! Revoyez votre catéchisme et l'enseignement de l'Eglise sur l'infaillibilité pontificale, notamment sur le Magistère ordinaire, mais ne vous adressez surtout pas........... au clergé lefebvriste (je veux dire ceux qui sont restés dans la Frat, car ceux qui ont été ordonnés par Mgr Lefebvre et qui en sont sortis, oui, bien sûr) !

@perceval2507
Le propos de ce prétendu catholique et vrai snob « François de Lochner » est mesquin, de mauvaise foi, sournoisement raciste et plus vulgaire, dans l’esprit, que le sont certains joueurs de l’équipe de France dans leurs paroles.

Les paroles isolées du footballeur de l’ex footballeur croate, qu’il cite d’ailleurs inexactement et sans avoir le courage de les citer intégralement (Citation de ses propos : " Nous affrontons la République de France et le continent africain. Donc ce sont les 11 meilleurs, les plus talentueux, parmi un milliard de personnes, et de l’autre côté, nous sommes quatre millions. Ce ne sera pas facile, mais nous devons tous être derrière l’équipe et l’aider. Quelqu’un sait contre qui exactement on joue la finale ? "), sont des propos stupides, vulgaires et à connotation raciste de gros beauf, qui pourraient avoir êté prononcés par n’importe quel pilier de bistrot un soir de cuite ! Quand les géniaux basketteurs de l’équipe nationale états-unienne de baskett, composée presque entièrement de noirs et de métisses (alors que les Blancs sont largement majoritaires aux Etats-Unis), gagnent les JO, vient-il à l’idée des joueurs des équipes adverses d’attribuer leurs victoires à l’Afrique entière ? Bien entendu que non ! Si les Bleus sont forts et champions du monde, c’est en raison de, outre leurs qualités sportives personnelles intrinsèques, la formation qu’ils ont reçue pour la plupart en France durant leur jeunesse dans des clubs et des centres de formation ET de la compétence de l’encadrement des Bleus dont le sélectionneur est la pièce maîtresse. Pour arriver en finale face aux Croates les Bleus ont dû éliminer entre autres les Argentins, les Uruguayens et les Belges, ce qui était loin d'être simple !

Pour paraphraser le début de l’article ce snob ( terme qui dans son sens originel signifie « sans noblesse » ) qui ne sait pas se réjouir avec le peuple français qu’il trouve donc trop vulgaire, impur et pécheur - n’est-chhhe pas, Monchhhieur de quelque chhhose ? - mais qui préfère se focaliser sur les faits de violence qui furent relativement très minoritaires compte tenu des millions de Français dans les rues ce soir-là et compte tenu des mœurs hélas trop habituelles des racailles ), "bien avant ce jour de la finale de la coupe du monde de football, tout était écrit" : si la France gagnait, la petite minorité d’idéologues de tendance d’extrême gauche antiblancs, anticatholiques et immigrationnistes attribuerait cette victoire aux mérites de l’immigration, du métissage ethnique et biologique et du communautarisme, tandis la petite minorité d'idéologues de tendance d’extrême droite, plus ou moins racistes et anti-musulmans se lamenterait de cette victoire en invoquant le désastre de l’immigration et du multiculturalisme, jusqu’à parfois répandre la rumeur paranoïaque d’une victoire truquée tant celle-ci leur serait indigeste !

Soit dit en passant, quels que soient les durs reproches que l’on puisse faire à un président de la République (notamment la vulgarité), si on se prétend de la France bien élevée et si on se prétend catholique, on ne réduit pas le nom d’un président à un diminutif familier (en l’occurrence « Manu ») et on ne parle pas de lui en des termes extrêmement méprisants dans un article publié sur un site public à prétention catholique (libertépolitique.com).

La louange de mes lèvres
: "Certes, je reconnais que certaines paroles et que certains gestes personnels des derniers papes ( mais qui n'appartiennent pas en tant que tels au magistère de l'Eglise; exemple : le baiser de Jean-Paul II sur le Coran ou certaines paroles du dernier pape concernant l'islam et les musulmans) peuvent prêter à confusion. "

Quelle hypocrisie !!!!!!
Lorsqu'un Pape en déplacement officiel, en compagnie d'autorités musulmanes, dépose sous les projecteurs et les flashs d'appareils photos un baiser sur ce torchon christianophobe : le Coran coran, bien évidemment, il est clair et limpide que ce symbole sera perçu aux yeux du monde et pour les générations à venir, comme un "geste personnel qui n'appartient pas en tant que tel au magistère de l'Eglise"  !!!!!
En revanche, il est nécessaire de souligner qu'en d'autres temps, ce geste eût été inimaginable tant sa nature hérétique contredit le magistère de la véritable Eglise ... Encore une preuve évidente de l'inconfortable position des pro-conciliaires modernistes schismatiques séparés ... Tes tentatives de rognage d'angles échouent ma pauvre louange !

"Une victoire française: ah bon ?

Bien avant ce jour de la finale de la coupe du monde de football, tout était écrit :

Si la France gagnait, cela résulterait de la merveilleuse construction d’une France désormais diversifiée et multiculturelle, et cette victoire devait être suivie de festivités magnifiquement diversifiées et multiculturelles, dussent-elles être sous le sceau de la vulgarité et de la violence : tel était le prix à payer pour que prospère la France d’après, ouverte à tous vents et phare de l’humanité.

Si la France perdait, il serait dit que son rang en finale était le fruit magnifique d’une France diversifiée et multiculturelle : vous rendez vous compte, elle est quand même en finale, et l’après-match devait nécessairement être aussi vulgaire que violent : tel était le prix à payer pour que la France d’après continue sa marche radieuse en avant et en même temps.

La finale a donc été gagnée par une équipe difficilement définissable, puisque, comme le disait avec élégance un footballeur croate avant le match : « Nous ne savons pas très bien contre quelle équipe nous jouerons cette finale ».

Comme cela était prévu, programmé, organisé, les heures qui ont suivi ladite finale ont été « conformes » :

Le petit président de la République, se transformant soudain en adolescent attardé qu’il est peut-être encore, perdait le contrôle de lui-même, sous l’œil impassible mais interrogatif d’un président Poutine impérial : dans cette scène surréaliste du digne président d’une grande nation côtoyant le responsable déjanté d’un pays à la dérive, la France était écrasée par KO par la Russie.
Le dialogue hallucinant engagé à chaud par Manu avec les joueurs d’origine africaine, indépendamment de son effrayante vacuité, se terminait par ce cri de guerre : « On va tout casser, on va tout casser, on va tout casser etc. » Ainsi, l’équipe gagnante se fixait l’objectif extraordinaire, avec le président de la République française, de tout casser…
La feuille de route étant fixée pour les « festivités » du soir, celles-ci se déroulèrent selon le programme prévu. Un peu partout en France, des voitures brûlèrent, des magasins furent pillés, des arrestations furent faites, des forces de l’ordre furent blessées, des viols furent consignés et un ou deux morts furent à déplorer. La fête fut donc belle, puisqu’exactement conforme à ce qui était prévu. Les Dieux du Ballon, héros de la Fête, méritaient donc d’être reçus par Manu à l’Elysée, sans que soit convoqué le peuple à ce moment historique : on ne va tout de même pas mélanger les torchons et les serviettes… Beauté sélective de la France En Marche et En Même Temps…

Ne nous cachons pas derrière notre pathétique petit ballon rond : ces heures qui ont suivi cette finale resteront, dans l’histoire, comme une honte française.

Quelques heures plus tôt, le défilé militaire sur les Champs-Élysées affichait aux yeux du monde entier que la patrouille de France surentraînée ne savait plus colorer son sillage aux bonnes couleurs de la France, et que des motards surentraînés se percutaient devant la tribune officielle, alors que la place était totalement dégagée…

Quelques jours plus tôt, et toujours sous les yeux du monde entier, Manu, toujours lui, avait transformé l’Elysée en cloaque africano-je-ne-sais-quoi.

Soyons tout à fait clairs : il y a des jours où l’on préférerait ne pas être français… La victoire de 1998 avait gravé dans le marbre la splendeur du très contestable concept d’une France désormais black-blanc-beur. Vingt ans plus tard, celle de 2018 affiche mondialement la chute de la Maison France. A l’idée d’une nouvelle victoire en 2038, le sang ne peut que se glacer dans nos veines…"

François de Lochner.

@ladoctrine
Merci de vos remarques. Je comprends vos objections même si elles ne constituent pas pour moi des motifs suffisants pour regarder les derniers papes comme des antipapes et pour adhérer à une quelconque forme de sédévacantisme qui comme vous avez pu le remarquer est à mes yeux très problématique au regard de la foi catholique quoique dans une moindre mesure que l'idéologie de mouvements (surtout lefebvristes) qui, au mépris de points centraux de la foi catholique, se rebellent de fait contre l'autorité enseignante et disciplinaire des papes tout en reconnaissant en paroles leur autorité. Les rencontres d'Assise et d'autres actes des derniers papes peuvent matériellement être vus comme des actes de "communicatio in sacris" et je les considère d'ailleurs critiquables, mais ils ne le sont pas formellement quant à leur intention profonde qui demeure explicitement catholique et, je le pense également, secrètement catholique ( bien que je ne sonde pas les reins et les coeurs ). D'autre part, le magistère ordinaire et universel des derniers papes n'a jamais défendu la position comme quoi les croyants puissent parvenir au salut moyennant la pratique d'autres religions, mais au contraire que nulle âme ne peut parvenir au salut éternel en dehors de l'Eglise du Christ, en dehors de l'Eglise catholique romaine, quand bien même certaines âmes n'appartiennent pas de corps et visiblement à l'Eglise mais lui appartiennent d'âme et invisiblement par la droiture de leur conscience et de leur vie morale, par leur quête sincère et constante de la vérité malgré une part d'ignorance invincible, et par leur désir au moins implicite du baptême. Certes, je reconnais que certaines paroles et que certains gestes personnels des derniers papes ( mais qui n'appartiennent pas en tant que tels au magistère de l'Eglise; exemple : le baiser de Jean-Paul II sur le Coran ou certaines paroles du dernier pape concernant l'islam et les musulmans) peuvent prêter à confusion. Bien à vous

@La louange de mes lèvres Entièrement d'accord avec vous sur ce que dit Pie XII (heureusement d'ailleurs !) : il est impossible de s'attacher au Christ sans adhérer fidèlement à Son Vicaire sur la terre ; et Boniface VIII de rajouter que tout homme doit être soumis au Pape pour faire son Salut. Ces deux affirmations valent pour un élu du conclave qui devient Vicaire du Christ parce que, fidèle dans la Foi et la morale, Dieu lui donnant autorité sur l'Eglise et le saint-Esprit l'assistant au quotidien, mais pas pour un élu qui.......... reconnaît comme moyens de salut n'importe quelle religion inventée par les hommes !! Un pape ne peut pas faire prier tout le monde ensemble car on ne peut mélanger l'erreur et la vérité, les ténèbres avec la lumière...

@Ne nous laissez pas sucomber
Vous crachez sur l’Eglise du Christ et sur la Messe de Paul VI, moi je ne crache pas sur vous et sur l’Eglise du Christ du passé mais je relève votre blasphème et votre calomnie envers l’ensemble des catholiques conciliaires. D’autre part, comment pouvez-vous liker les propos de ce raciste d’extrême droite Jérôme Bourbon alors que vous le Blanc vivez avec une Noire si j’ai bien lu certains de vos anciens commentaires ? C’est incohérent. Bien à vous

@ladoctrine
Vous vous doutez bien que je ne partage pas vos idées quant à la non validité des sacrements de l’Eglise catholique officielle. Ce n’est pas le sujet mais permettez-moi puisque vous abordez ce sujet de faire ces quelques remarques.

Des miracles eucharistiques ont été constatés par exemple en Pologne et en Argentine et une lévitation visible de l’hostie consacrée a eu lieu lors de l’assemblée des évêques de France à Lourdes en 1999 www.youtube.com/watch. Des guérisons miraculeuses et durables suite à la réception de ces sacrements (de l’Eucharistie et des malades) ont été de même constatées et sont bien documentées, notamment liées au pèlerinage de Lourdes. Autant de faits qui mettent à mal vos présupposés anticoncilaires.

L’Evangile témoigne que Dieu est tout sauf un Esprit juridiste, légaliste et formaliste. A supposer que les nouveaux rites sacramentels catholiques soient en partie critiquables depuis la fin des années 60, il n’est toutefois pas concevable que Dieu ait permis de priver tous les baptisés catholiques de l’univers de Ses grâces sacramentelles salvifiques, les réservant supposément à un tout petit reste de « purs » non una cum qui seuls auraient bénéficié de grâces sacramentelles salvifiques. D’autre part, si Dieu veut habituellement communiquer Sa grâce de salut par les sacrements valides et licites, Il peut toutefois la communiquer également dans toutes les âmes des justes qui désirent secrètement Sa grâce salvifique, qui adhèrent explicitement ou implicitement au mystère de l’Amour rédempteur et qui s’ils ne reçoivent pas les sacrements valides et licites de l’Eglise c’est uniquement pour des raisons qui ne dépendent pas de leur volonté consciente.

Il y eut certes historiquement des antipapes et des vacances inévitables du Siège Apostolique durant de longs conclaves mais jamais Dieu n’a permis que l’Eglise du Christ soit privée de tout pasteur suprême ( même lors des périodes de graves crises ayant vu jusqu’à l’existence de trois papes apparents et durant lesquelles l’identité du vrai pontife pouvait être sujette à caution aux yeux des catholiques sincères ) et d’autre part, en dehors de ces périodes où coexistaient plusieurs papes apparents, les vacances du Siège apostolique ont toujours été liées à des conclaves, à un processus d’élection d’un nouveau pape. De plus, jamais l’Eglise du Christ ne fut privée d’un pasteur suprême visible sur une période de plus de 50 ans.

PIE XII (Encyclique Mystici corporis, 29 juin 1943) :

« Ceux-là se trompent donc dangereusement qui croient pouvoir s’attacher au Christ Tête de l’Église sans adhérer fidèlement à son Vicaire sur la terre. Car en supprimant ce Chef visible et en brisant les liens visibles de l’unité, ils obscurcissent et déforment le Corps mystique du Rédempteur au point qu’il ne puisse plus être reconnu ni trouvé par les hommes en quête du port du salut éternel »

Léon XIII (Encyclique Satis cognitum, 29 juin 1896) :

« Il est donc évident […] que Jésus-Christ a institué dans l’Église un magistère VIVANT (1), authentique et, de plus, PERPÉTUEL, qu’il a investi de sa propre autorité, revêtu de l’Esprit de vérité, confirmé par des miracles, et il a voulu et très sévèrement ordonné que les enseignements doctrinaux de ce magistère fussent reçus comme les siens propres. »

[ (1) « Un magistère vivant, c’est-à-dire qui s’exerce continuellement dans l’Église par la communication de la doctrine révélée. Ce magistère est vivant, en tant qu’il s’oppose au magistère encore exercé actuellement dans l’Église par des hommes qui ont disparu, mais auxquels leurs ouvrages ont survécu. Les protestants admettent que les Apôtres exercent encore actuellement dans l’Eglise un magistère, mais seulement par l’influence de leurs écrits : ils n’admettent donc qu’un magistère pour ainsi dire posthume » (« Tradition et Magistère », III, 3, 1, in Dictionnaire apologétique de la foi catholique (DAFC)IV, 1922 ) ]

« Magistère […] vivant, c’est-à-dire qui demeure toujours dans des maîtres VIVANTS et s’exprime par leur bouche, et non pas ce Magistère, divin sans doute, mais mort, que les protestants cherchent dans l’Écriture » ( Auguste-Alexis GOUPIL, S.J., La Règle de la Foi ) ]

Que Dieu vous bénisse