MARIA VALTORTA : Comment Jésus se révélait à elle ? / Gino Fillion (Québec, 14 octobre 2017)
Enregistré lors de la 1ère RENCONTRE MARIA VALTORTA dans la ville de QUÉBEC le 14 octobre 2017. un feu sur la terre www.unfeusurlaterre.org/qehelata/ librairie saint joseph www.librairiesaintjoseph.com/home Association Maria Valtorta www.associationmariavaltorta.fr Rassemblement à Son Image – Éditions Maria Valtorta – Chrétiens Magazine www.asonimage.fr
Merci à Gino Fillion pour ces rappels intéressants, documentés dans le livre biographique de don Zucchini, et merci à vous, monsieur l'abbé Salenave, de l'avoir publié à nouveau, après Cervantex !
Bon et saint carême +
À O.J. :
Problème : toutes ces "hérésies avérées" telle la soi-disant création de l'âme de Marie avant son corps, tel le soi-disant problème avec l'incarnation de Satan en Judas alors que l'Evangile nous l'apprend sans conteste possible, tel la soi-disant théorie comme quoi le péché originel serait ramené par MV à l'acte sexuel alors que c'est l'orgueil, et que Jésus le spécifie bien dans l'œuvre sans aucune forme d'ambiguïté, telles les anachronismes rapportés faussement par Bouflet, et réduits à néant par les chercheurs de pointe en archéologie de Terre Sainte, telle cette fameuse évocation du tournevis dans l'atelier de Saint Joseph, ce qui constitue une minuscule erreur VISUELLE de MV et confirme qu'elle n'aurait rien su inventer d'exact par elle-même, et fait parti des 0,04% d'erreurs humaines minimes, rendant l'oeuvre tellement vivante et attachante,
bref : tous ces problèmes sont définitivement résolus, et seule la profonde bêtise des détracteurs indécrottables, nombrilistes et acharnés, explique qu'ils puissent être soulevés encore aujourd'hui.
4 autres commentaires de apvs
À O.J. :
Problème : ces éléments de dissonance avec la foi catholique ne sont pas des éléments présents dans l'oeuvre de Maria Valtorta, mais de simples erreurs de lecture et contre-sens réalisés par les détracteurs de l'oeuvre, dont le niveau intellectuel s'avère irrémédiablement et désespérément bas.
Il est acté, presque par une sorte de "science exacte", que ces détracteurs acharnés ne comprendront jamais d'où vient leurs erreurs.
L'Eglise catholique, ayant annulé par la bouche de plusieurs papes successifs ( Pie XII, Paul VI, Jean-Paul II, Benoît XVI et tout recemment François) tout ce qui pesait sur l'oeuvre, n'a plus aujourd'hui qu'à rendre son avis par voie officiel, en ouvrant pour la toute première fois le "dossier Valtorta".
Mais son avis favorable est désormais connu par voie officieuse.
À O.J. :
Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».
Or même l'intelligence artificielle, simple robot depourvu de parti pris, mais capable d'analyser n'importe quel texte en profondeur en une fraction de seconde, déclare tout au contraire que l'œuvre de Maria Valtorta est ADMIRABLEMENT romancée, MAGNIFIQUEMENT, MERVEILLEUSEMENT romancée !
Et n'importe quel lecteur à peu près sain d'esprit est entièrement d'accord avec cette analyse.
Un avis faux ne peut en aucun cas être considéré comme sien par l'Église catholique, qui enseigne non pas l'erreur, mais la Vérité.
La science la plus actuelle quant à elle a tranché : il est désormais définitivement impossible de soutenir que MV ait pu inventer une seule page de ses écrits, à moins de vouloir passer pour un parfait idiot.
À O.J. :
AVIS MARIA VALTORTA
La condamnation : Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,
Inexact. Cette information en provenance de Wikimerdia confond une coupure de journal avec l'avis officiel de l'Église. Même le Saint Office ne légifère pas sans cesse, depuis les croissants du matin jusqu'au bistrot du soir : rien ne compte que ce qui laisse une trace visible dans les actes du Saint Siège, le reste étant du foin.
Or l'avis du SO sur MV ne parvint jamais à davantage de publicité qu'un entrefilet dans l'Osservatore Romano, mais ne laissa strictement aucune trace dans les Actes du Saint Siège.
En d'autres termes : l'Église Catholique emmenée par S.S. le pape Pie XII s'en conteficha éperdument, et n'y pretta pas la moindre attention.
Et ce n'est pas parce qu'un avis défavorable nul et non avenu fut réédité tel quel sans plus d'examen sérieux 1, 2, 5, 7 fois, que cela donna à cette gabegie plus d'importance qu'au début, bien au contraire. Cette réédition continuelle ne pu rien mettre d'autre en valeur que sa complète inefficacité, et plus récemment, la science en démontra une bonne fois pour toute la fausseté.
Le SO employa de nombreux vices de procédures, pour n'aboutir qu'à une mise à l'index disciplinaire, et non doctrinale.
Or
1 ) La cause de cette mise à l'index disciplinaire était... l'action du SO lui-même ! ce qui enlève toute bonne foi à cette procédure digne des juges de sainte Jeannes d'Arc, lui volant ses habits de femme dans sa prison, afin de la condamner indûment pour avoir remis ses habits d'homme - plutôt que de s'être présentée toute nue au tribunal, peut-être ? -
2 ) Si la mise à l'index avait été DOCTRINALE, alors elle n'aurait jamais pu être annulée, car si un écrit nie la bonne doctrine théologie, rien ne peut désormais le sauver.
Mais la M.A.I. était :
- disciplinaire
- et uniquement le fruit de la corruption de ceux qui la divulguerent.
Son annulation, prononcée en même temps que la dissolution du SO, fut donc définitive.
Elle n'a pas davantage de valeur dans l'Église catholique aujourd'hui, qu'un courant d'air n'en a pour l'élection d'un pape.
Or, même si on vous en intime l'ordre formel, vous ne pouvez pas faire croire que de l'or est un vulgaire métal sans valeur, c'est évidemment impossible.
Il n'est de même désormais plus possible de considérer que les écrits de MV soient "de simples formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus" : c'est désormais à exclure, puisque même la science moderne de pointe confirme l'impossibilité absolue que Maria Valtorta ait pu imaginer une seule page de ses écrits, car un tel niveau d'exactitude scientifique sur bien plus de 20 000 détails bannit tout hasard.
Que ce soit au niveau archéologique, astronomique, zoologique, botanique, sociologique, géographique, onomastique, théologique, etc., c'est-à-dire en autant de domaines dans lesquels les connaissances de MV étaient nulles ou extrêmement faibles, tout est rigoureusement conforme à la réalité dans ses écrits, vérifié sur le terrain, et même confirmé bien des années plus tard par les plus récents découvertes, dont certaines datent d'il n'y a que quelques années seulement.
À O.J. : Or, même si on vous en intime l'ordre formel, vous ne pouvez pas faire croire que de l'or est un vulgaire métal sans valeur, c'est évidemment impossible.
Il n'est de même désormais plus possible de considérer que les écrits de MV soient "de simples formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus" : c'est désormais à exclure, puisque même la science moderne de pointe confirme l'impossibilité absolue que Maria Valtorta ait pu imaginer une seule page de ses écrits, car un tel niveau d'exactitude scientifique sur bien plus de 20 000 détails bannit tout hasard.
Que ce soit au niveau archéologique, astronomique, zoologique, botanique, sociologique, géographique, onomastique, théologique, etc., c'est-à-dire en autant de domaines dans lesquels les connaissances de MV étaient nulles ou extrêmement faibles, tout est rigoureusement conforme à la réalité dans ses écrits, vérifié sur le terrain, et même confirmé bien des années plus tard par les plus récents découvertes, dont certaines datent d'il n'y a que quelques années seulement.
Merci à Cervantex d'avoir publiée cette intéressante conférence. Conférence apologétique de l'oeuvre de Maria Valtorta. On découvre au fur et à mesure des choses passionnantes.
Abbé Matthieu Salenave
Réponse à Olivier Jean
Inexacte : même la camora italienne aurait pu prendre des leçons de grand banditisme auprès des membres du Saint-Office qui persecuterent honteusement l'œuvre de Maria Valtorta.
Trois prélats successifs furent prêts à lui accorder l'imprimatur : signe incontestable de sa conformité à la foi catholique. Ce n'est pas donc un permis d'être publiée qui aurait dû lui être accordé, mais TROIS PERMIS.
Pourtant, à chaque fois, le prélat en question avoua avoir dû renoncer à accorder le précieux sésame à l'oeuvre, en raison des craintes qu'il avait pour sa personne, causées par les intimidations brutales du SO.
Et ça continue aujourd'hui avec les uns et les autres, persuadés d'avoir raison....sans l'avoir lue et encore moins comprise, et avec un tel acharnement que l'on reconnaît la patte d'un certain....
Et oui, c'étaient là des vieux commentaires, mais ils gardaient leur venin, car ils étaient sans réponse. Leurs crochets sont vidés maintenant. Visiblement, le loustic ne s'est inscrit que pour conspuer MV :) il y en a parfois des cas.
Que Dieu vous bénisse, chère amie !
Merci. Et malgré tout cela, trop de personnes restent encore aveuglées...
J'ai lu ces dix tomes sous le conseil d'un ami, j'en ai fait malheureusement deux fois la promotion à des proches. Fort heureusement, cela n'a pas donné suite. Et pourtant je n'avais pas aimé cette lecture. Il doit y avoir quelque chose dedans qui fait que les gens sont comme hypnotisés.
Enfin, les développements théologiques de Maria Valtorta frôlent « l'hérésie avérée » au sens où elles comportent « certaines… perles qui certes ne brillent pas par leur orthodoxie catholique ». Par exemple, le journaliste relève que Marie est définie dans l'ouvrage comme « la seconde née du Père » à plusieurs reprises, sans d'ailleurs que cette formule soit explicitée. La vision de la Trinité s'exprime dans un « concept hermétique et [...] confus », et « l'impression reste qu'on veut construire une nouvelle mariologie ». Il semble que Maria Valtorta accorde à Marie une place assez éloignée du dogme catholique car il lui est dit : « Pendant le temps que tu resteras sur la Terre, c'est toi qui seconderas Pierre comme hiérarchie ecclésiastique. »
Problème : toutes ces "hérésies avérées" telle la soi-disant création de l'âme de Marie avant son corps, tel le soi-disant problème avec l'incarnation de Satan en Judas alors que l'Evangile nous l'apprend sans conteste possible, tel la soi-disant théorie comme quoi le péché originel serait ramené par MV à l'acte sexuel alors que c'est l'orgueil, et que Jésus le spécifie bien dans l'œuvre sans aucune forme d'ambiguïté, telles les anachronismes rapportés faussement par Bouflet, et réduits à néant par les chercheurs de pointe en archéologie de Terre Sainte, telle cette fameuse évocation du tournevis dans l'atelier de Saint Joseph, ce qui constitue une minuscule erreur VISUELLE de MV et confirme qu'elle n'aurait rien su inventer d'exact par elle-même, et fait parti des 0,04% d'erreurs humaines minimes, rendant l'oeuvre tellement vivante et attachante,
bref : tous ces problèmes sont définitivement résolus, et seule la profonde bêtise des détracteurs indécrottables, nombrilistes et acharnés, explique qu'ils puissent être soulevés encore aujourd'hui.
, plusieurs théologiens catholiques, dont le prêtre jésuite Mitch Pacwa, ont réexpliqué pour quelles raisons l'Église catholique a clairement condamné, à plusieurs reprises, l'ouvrage de Maria Valtorta. Ils ont relevé de nombreuses et graves incohérences théologiques, incompatibles avec le dogme catholique : par exemple, le « péché originel » est décrit comme une scène d'attouchements sexuels ou encore Maria Valtorta désigne Jésus-Christ sous le nom de « l'Homme-Dieu » alors que pour le catholicisme il est « Dieu fait homme ». Sur un plan plus anecdotique, l'ouvrage présente des anachronismes, par exemple l'usage de tournevis à l'époque christique. L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation, prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993.
Problème : ces éléments de dissonance avec la foi catholique ne sont pas des éléments présents dans l'oeuvre de Maria Valtorta, mais de simples erreurs de lecture et contre-sens réalisés par les détracteurs de l'oeuvre, dont le niveau intellectuel s'avère irrémédiablement et désespérément bas.
Il est acté, presque par une sorte de "science exacte", que ces détracteurs acharnés ne comprendront jamais d'où vient leurs erreurs.
L'Eglise catholique, ayant annulé par la bouche de plusieurs papes successifs ( Pie XII, Paul VI, Jean-Paul II, Benoît XVI et tout recemment François) tout ce qui pesait sur l'oeuvre, n'a plus aujourd'hui qu'à rendre son avis par voie officiel, en ouvrant pour la toute première fois le "dossier Valtorta".
Mais son avis favorable est désormais connu par voie officieuse.
4 autres commentaires de olivierjean
Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout cet effort serait admirable s’il s’agissait de messages dont l’Église avait reconnu le caractère surnaturel. Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».
Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».
Or même l'intelligence artificielle, simple robot depourvu de parti pris, mais capable d'analyser n'importe quel texte en profondeur en une fraction de seconde, déclare tout au contraire que l'œuvre de Maria Valtorta est ADMIRABLEMENT romancée, MAGNIFIQUEMENT, MERVEILLEUSEMENT romancée !
Et n'importe quel lecteur à peu près sain d'esprit est entièrement d'accord avec cette analyse.
Un avis faux ne peut en aucun cas être considéré comme sien par l'Église catholique, qui enseigne non pas l'erreur, mais la Vérité.
La science la plus actuelle quant à elle a tranché : il est désormais définitivement impossible de soutenir que MV ait pu inventer une seule page de ses écrits, à moins de vouloir passer pour un parfait idiot.
AVIS MARIA VALTORTA
La condamnation : Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,
Prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993. L'ouvrage a été d'emblée interdit de publication en 1949 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Publié malgré cette interdiction en 1956-1959, il a été mis à l'Index par le Vatican le 16 décembre 1959. L'Osservatore Romano, journal officiel du Vatican, commente l'événement dans un article du 6 janvier 1960. En dépit de cette mise à l'Index, une seconde édition voit alors le jour. De nouveau, L'Osservatore Romano répète les termes de la condamnation, dans un article du 1er décembre 1961.
Malgré l'abolition de l'Index en 1966, le cardinal Ratzinger, futur pape Benoît XVI, confirme en 1985 qu'il n'est « pas opportun » de diffuser ou de recommander l'ouvrage de Maria Valtorta, en raison des « dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles les plus naïfs ».
En 1993, à l'initiative du cardinal Ratzinger et de la Congrégation pour la doctrine de la foi, la Conférence des évêques italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta de publier un démenti à l'intérieur des volumes « qui indique clairement, dès la toute première page, que les « visions » et les « dictées » auxquelles il est fait allusion sont simplement des formes littéraires utilisées par l'auteur pour raconter la vie de Jésus à sa manière.
« Elles ne peuvent être considérées comme étant d'origine surnaturelle »fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Valtorta
satholique la Sainte Eglise Romaine ia
AVIS MARIA VALTORTA
La condamnation : Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,
Inexact. Cette information en provenance de Wikimerdia confond une coupure de journal avec l'avis officiel de l'Église. Même le Saint Office ne légifère pas sans cesse, depuis les croissants du matin jusqu'au bistrot du soir : rien ne compte que ce qui laisse une trace visible dans les actes du Saint Siège, le reste étant du foin.
Or l'avis du SO sur MV ne parvint jamais à davantage de publicité qu'un entrefilet dans l'Osservatore Romano, mais ne laissa strictement aucune trace dans les Actes du Saint Siège.
En d'autres termes : l'Église Catholique emmenée par S.S. le pape Pie XII s'en conteficha éperdument, et n'y pretta pas la moindre attention.
Et ce n'est pas parce qu'un avis défavorable nul et non avenu fut réédité tel quel sans plus d'examen sérieux 1, 2, 5, 7 fois, que cela donna à cette gabegie plus d'importance qu'au début, bien au contraire. Cette réédition continuelle ne pu rien mettre d'autre en valeur que sa complète inefficacité, et plus récemment, la science en démontra une bonne fois pour toute la fausseté.
Le SO employa de nombreux vices de procédures, pour n'aboutir qu'à une mise à l'index disciplinaire, et non doctrinale.
Or
1 ) La cause de cette mise à l'index disciplinaire était... l'action du SO lui-même ! ce qui enlève toute bonne foi à cette procédure digne des juges de sainte Jeannes d'Arc, lui volant ses habits de femme dans sa prison, afin de la condamner indûment pour avoir remis ses habits d'homme - plutôt que de s'être présentée toute nue au tribunal, peut-être ? -
2 ) Si la mise à l'index avait été DOCTRINALE, alors elle n'aurait jamais pu être annulée, car si un écrit nie la bonne doctrine théologie, rien ne peut désormais le sauver.
Mais la M.A.I. était :
- disciplinaire
- et uniquement le fruit de la corruption de ceux qui la divulguerent.
Son annulation, prononcée en même temps que la dissolution du SO, fut donc définitive.
Elle n'a pas davantage de valeur dans l'Église catholique aujourd'hui, qu'un courant d'air n'en a pour l'élection d'un pape.
Or, même si on vous en intime l'ordre formel, vous ne pouvez pas faire croire que de l'or est un vulgaire métal sans valeur, c'est évidemment impossible.
Il n'est de même désormais plus possible de considérer que les écrits de MV soient "de simples formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus" : c'est désormais à exclure, puisque même la science moderne de pointe confirme l'impossibilité absolue que Maria Valtorta ait pu imaginer une seule page de ses écrits, car un tel niveau d'exactitude scientifique sur bien plus de 20 000 détails bannit tout hasard.
Que ce soit au niveau archéologique, astronomique, zoologique, botanique, sociologique, géographique, onomastique, théologique, etc., c'est-à-dire en autant de domaines dans lesquels les connaissances de MV étaient nulles ou extrêmement faibles, tout est rigoureusement conforme à la réalité dans ses écrits, vérifié sur le terrain, et même confirmé bien des années plus tard par les plus récents découvertes, dont certaines datent d'il n'y a que quelques années seulement.
Conférence Épiscopale italienne
Prato N° 324/92
Rome, le 6 mai 1992
Très cher Éditeur,
Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 et du 15 Juin 1966.[ii]
Mais pour le vrai bien des lecteurs et dans l'esprit d'un véritable service de la foi de l'Église, je vous demande, qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les "visions" et "dictées" qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus.
Je vous remercie de votre collaboration.
Je tiens à vous témoigner de mon estime et vous prie de croire en mes respectueuses et cordiales salutations.
+ Dionigi Tettamanzi
Secrétaire général
aria Valtorta déclare qu'elle
Or, même si on vous en intime l'ordre formel, vous ne pouvez pas faire croire que de l'or est un vulgaire métal sans valeur, c'est évidemment impossible.
Il n'est de même désormais plus possible de considérer que les écrits de MV soient "de simples formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus" : c'est désormais à exclure, puisque même la science moderne de pointe confirme l'impossibilité absolue que Maria Valtorta ait pu imaginer une seule page de ses écrits, car un tel niveau d'exactitude scientifique sur bien plus de 20 000 détails bannit tout hasard.
Que ce soit au niveau archéologique, astronomique, zoologique, botanique, sociologique, géographique, onomastique, théologique, etc., c'est-à-dire en autant de domaines dans lesquels les connaissances de MV étaient nulles ou extrêmement faibles, tout est rigoureusement conforme à la réalité dans ses écrits, vérifié sur le terrain, et même confirmé bien des années plus tard par les plus récents découvertes, dont certaines datent d'il n'y a que quelques années seulement.
Interdit de publication, comme l'indique l'article de L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 : « Il y a environ dix ans [donc environ 10 ans avant 1960] il circulait d'épaisses pages dactylographiées qui contenaient des prétendues visions et révélations. À ce moment-là l'Autorité Ecclésiastique compétente avait prohibé l'impression de ces pages dactylographiées et avait commandé qu'elles fussent retirées de la circulation. »
Inexacte : même la camora italienne aurait pu prendre des leçons de grand banditisme auprès des membres du Saint-Office qui persecuterent honteusement l'œuvre de Maria Valtorta.
Trois prélats successifs furent prêts à lui accorder l'imprimatur : signe incontestable de sa conformité à la foi catholique. Ce n'est pas donc un permis d'être publiée qui aurait dû lui être accordé, mais TROIS PERMIS.
Pourtant, à chaque fois, le prélat en question avoua avoir dû renoncer à accorder le précieux sésame à l'oeuvre, en raison des craintes qu'il avait pour sa personne, causées par les intimidations brutales du SO.