« Spina Christi 2 », « L’Epine du Christ 2 », qui ne cesse d’écorcher et de crucifier à nouveau le Christ par son péché endurci, est un calomniateur pathologique, décomplexé, pervers et impénitent. Je ne me suis jamais revendiqué "anticlérical fasciné de l'esprit révolutionnaire", ni sur gloria.tv ni ailleurs.
Je hais le traditionalisme schismatique, et pour cause ***, comme je m’efforce de …Plus
« Spina Christi 2 », « L’Epine du Christ 2 », qui ne cesse d’écorcher et de crucifier à nouveau le Christ par son péché endurci, est un calomniateur pathologique, décomplexé, pervers et impénitent. Je ne me suis jamais revendiqué "anticlérical fasciné de l'esprit révolutionnaire", ni sur gloria.tv ni ailleurs.
Je hais le traditionalisme schismatique, et pour cause ***, comme je m’efforce de haïr le péché et mon péché.
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« Quant à déterminer quelles doctrines sont renfermées dans cette révélation divine, c’est la mission de l’Église enseignante, à laquelle Dieu a confié la garde et l’interprétation de sa parole ; dans l’Église, le docteur suprême est le Pontife Romain. L’union des esprits réclame donc, avec un parfait accord dans la même foi, une parfaite soumission et obéissance des volontés à l’Église et au pontife Romain, comme à Dieu lui-même. » ( Léon XIII,10 Janvier 1890, Sapientiae Christianae ).
« Si les catholiques Nous écoutent, comme c’est leur devoir, ils sauront exactement quels sont les devoirs de chacun tant en théorie qu’en pratique. En théorie d’abord, il est nécessaire de s’en tenir avec une adhésion inébranlable à tout ce que les Pontifes romains ont enseigné ou ENSEIGNERONT et, toutes les fois que les circonstances l’exigeront, d’en faire profession publique ». ( Léon XIII, Enc.Immorte Dei, 1.11.1895 )
« En effet, tous ceux qui résistent obstinément aux Prélats légitimes de l’Église, spécialement au Souverain Pontife de tous, et refusent d’exécuter leurs ordres, ne reconnaissant pas leur dignité, ont toujours été reconnus comme SCHISMATIQUES par l’Église Catholique. » ( Encyclique Quartus supra, Pie IX )
« Il s’agit en effet, vénérables frères et bien-aimés fils, d’accorder ou de refuser obéissance au Siège Apostolique ; Il s’agit de reconnaitre sa Suprême Autorité même sur vos Églises, et non seulement quant à la Foi, mais encore quant à la discipline : celui qui la nie est HÉRÉTIQUE ; celui qui la reconnait et qui refuse opiniâtrement de lui obéir est digne d’anathème. » ( Encyclique « Quae in patriarchatu », 1er septembre 187, Pie IX )
Dans Quanta cura (1864), Pie IX a condamné comme souverainement contraire au dogme l’opinion qui prétend « qu’on peut, sans péché et sans préjudice de la profession de foi chrétienne, refuser son assentiment et son obéissance aux jugements et aux décrets du Siège Apostolique, dont l’objet avoué ne regarde que le bien général, les droits et la discipline de l’Église, pourvu qu’il n’atteigne ni la foi, ni les mœurs. »
« C’est de là (du Siège apostolique) que les catholiques reçoivent ce qu’ils doivent savoir ». ( Pie XI, Enc. Mortalium animos, 6.1.1928 )
« Si donc quelqu’un dit que le Pontife romain n’a qu’une charge d’inspection ou de direction et non un pouvoir plénier et souverain de juridiction sur toute l’Église, non seulement en ce qui touche à la foi et aux mœurs, mais encore en ce qui touche à la discipline et au gouvernement de l’Église répandue dans le monde entier, ou qu’il n’a qu’une part plus importante et non la plénitude totale de ce pouvoir suprême ; ou que son pouvoir n’est pas ordinaire ni immédiat sur toutes et chacune des églises comme sur tous et chacun des pasteurs et des fidèles, qu’il soit anathème. » ( Pastor Æternus, Concile Vatican I )
« C’est pourquoi nul ne sera sauvé si, sachant que l’Église a été divinement instituée par le Christ, il n’accepte pas cependant de se soumettre à l’Église ou refuse l’obéissance au Pontife romain, vicaire du Christ sur terre .»( Lettre du Saint-Office à l’Évêque de Boston, DS 3867, Pie XII)
Droit Canon. 218 : « § 1 Le Pontife Romain successeur de Saint Pierre dans sa primauté, a non seulement la primauté d’honneur, mais le pouvoir de juridiction suprême et entier sur l'Église Universelle, tant dans les matières qui concernent la foi et les mœurs, que dans celles qui se rapportent à la discipline et au gouvernement de l'Église répandue dans le monde entier. »