Le vrai but (en partie encore inconscient) du féminisme.

Introduction aux vraies raisons de la fixation féministe sur la légalisation de l’avortement et du mariage homo, pierres angulaires de la culture de mort antichrétienne:
Certes, il faut dénoncer la dictature culturelle du politiquement correct qui par ailleurs est dirigée essentiellement (pour le moment) contre les catholiques (seul groupe n’ayant pas droit à la parole en occident. Dés que l’on condamne l’avortement ou le mariage gay, on est effacé dans tous les forums). En revanche, ceux qui essayent de faire porter le chapeau aux Juifs, se trompent sur l’essence de cette dictature et font fausse route. Les Juifs (en tout cas ceux d’entre eux qui sont religieux) seront eux aussi tôt ou tard persécutés par cette dictature dont l’expression la plus pertinente se situe dans le concept de « culture de mort ». Cette culture de mort planétaire, bien qu’ayant il est vrai, des ramifications historiques dans les lumières françaises et la révolution, est maintenant dirigée par le noyau dur du fondamentalisme féministe international (et non pas par les juifs ou les capitalistes). Elle s’est cristallisée au cours des années 80 dans les milieux de l’intégrisme féministe universitaire californien, le saint Graal géographique du « politiquement correct ». Les deux pierres angulaires de la culture de mort sont : la banalisation-normalisation du meurtre légal des enfants à-naîtres et la légalisation du « contre Dieu et nature » mariage homo. Cette culture de mort a par ailleurs une haine profonde contre les trois religions du livre qui sont les seuls vrais obstacles sérieux à son épanouissement funeste : catholicisme, islam et judaïsme. Les Juifs sont actuellement encore « ménagés » pour des raisons historiques évidentes, notamment le drame de la Shoa, le plus grand crime dans l’histoire de l’humanité à ce jour. Quand le christianisme et l’islam seront réduit à des peaux de chagrin, viendra alors le tour des Juifs. N’oublions pas que la Torah s’oppose frontalement à la culture de mort en condamnant l’avortement « tu ne tueras pas » et l’homosexualité.
Le but final de la pieuvre tentaculaire étant non pas le mariage pour tous mais l’homosexualité pour tous, condition sine qua non pour la disparition « en douceur » des êtres humains du sexe masculin.
Par l’intermédiaire de l’avortement sélectif et plus tard du clonage, le noyau dur du fondamentalisme féministe (certes une toute petite minorité mais toute puissante en influence) espère ainsi créer une société « idyllique » de femmes toutes lesbiennes et à jamais « débarrassées" des hommes. On peu même imaginer qu’il n’y aura plus qu’une seule femme, lesbienne et clonée par centaine de millions.
Une espèce de paradis du politiquement correct où régnera l’indifférenciation absolue.
En fait se sera, bien évidemment l’enfer sur terre. Se regarder dans une glace en abolissant toutes différences n’a jamais été un acte d’amour mais plutôt une lâche fixation sur soi-même. Abolir les différences pour ne plus avoir à prendre le risque d’aimer.
Oui il y a un complot, mais pas celui que l’on croit. C’est un complot de destruction biologique de la moitié de l’humanité. C’est vrai, ça semble un peu fou mais c’est pourtant de cela qu’il s’agit. L’immense majorité des féministes elles mêmes n’en sont pas conscientes. Le drame c’est que par réflexe antireligieux, sans le savoir beaucoup de courants politiques et philosophiques facilitent la montée en puissance de la dictature culturelle mondiale de la culture de mort dont le complexe d’infériorité et la haine des féministes à l'endroit des hommes, restent, au fond, le vivier fondamental.
Certes, Dieu ne laissera pas faire.