Ecrivain

*
1. - Lorsque nous écrivions avant Vatican II, ce n'était pas à l'écrivain de dire si son œuvre était bonne ou non, il fallait être contrôlé, ce qui était normal.
2. - "J'ai eu la permission de Notre Seigneur", mais... ce n'est pas à l'écrivain de dire ce que veut Jésus, mais son directeur spirituel. Car l'obéissance protège de toute tromperie du malin, et de l'orgueil...

3. - Donc cet écrivain était trop centrée sur sa personne. Pas assez remise entre les mains de Dieu.

(...)

4. - Oh mais jamais un Saint n'a écrit en crachant contre un prêtre, même si ce prêtre peut se comporter mal. Je n'ai jamais vu cela ailleurs. Ils souffrent en silence.
Et est-elle formée pour savoir quelles sont les "violations du droit canon" ?
5. - Pour une personne malade, elle écrit, elle fait des lettres. Quand nous sommes vraiment malades, on ne peut rien faire, ni faire de si long discours.

6. - Manque de charité. Jugement, et condamnation.
Jamais nous ne voulons que nos "ennemis" soient punis, mais que le Seigneur leur vienne en aide, et que nous allions tous au Ciel.

Je ne comprends pas, mais lorsque je lis tout cela, je ne me sens pas du tout en paix, et je suis stressée... Je ne comprends pas que cette dame puisse avoir autant de lecteurs accrocs.
Je ne vais même pas poursuivre cette lecture. Pauvre religieuse, n'avait-elle pas autre chose à faire que de s'ingérer dans de telles affaires qui semblaient bien compliquées.
apvs
6 ) -
" Et non ! Ils sont bien loin de la perfection ! Et je suis toujours plus convaincue que le Seigneur les châtie parce qu'ils ont manqué à leur devoir avec une pleine volonté, et continuent de le faire."
Manque de charité charité au contraire, que le Seigneur demande par la correction fraternelle, et publique si les avertissements privés n'ont pas suffit : relire l'Evangile d'urgence !
Plus
6 ) -
" Et non ! Ils sont bien loin de la perfection ! Et je suis toujours plus convaincue que le Seigneur les châtie parce qu'ils ont manqué à leur devoir avec une pleine volonté, et continuent de le faire."

Manque de charité charité au contraire, que le Seigneur demande par la correction fraternelle, et publique si les avertissements privés n'ont pas suffit : relire l'Evangile d'urgence !

Jugement, discernement des âmes, fait sans langue de bois, tout comme la petite Thérèse le faisait à l'égard de ses novices.

et condamnation. Si le Seigneur les châtie, ce n'est pas parce que Maria Valtorta les a condamnés ! Votre mise en accusation est donc sans fondement et ridicule. Saint Paul non plus ne "condamne" pas ceux qui ont mérité par leur athéisme d'être livrés à des passions avilissantes entre hommes.

Jamais nous ne voulons que nos "ennemis" soient punis,

Et tel n'est pas le cas de Maria Valtorta. Mais c'est pourtant ce que bizarrement vous comprenez, Kée, parce que la lecture objective d'un texte n'est certainement pas votre domaine.
"Qu'ils soient punis et maudits par Dieu ! " est en effet bien différent de ce que MV se contente de constater, sans aucune méchanceté.

mais que le Seigneur leur vienne en aide, et que nous allions tous au Ciel.

Je ne comprends pas, mais lorsque je lis tout cela, je ne me sens pas du tout en paix, et je suis stressée... Je ne comprends pas que cette dame puisse avoir autant de lecteurs accrocs.


Voilà qui est bien curieux, Kée : vous venez de nous confier votre stress, sans que cela vous pose le moindre problème métaphysique de le faire. Par contre, interdiction aurait du être fait à Maria Valtorta de confier son stress à sa plus intime confidente, en un écrit non représentatif de son Oeuvre, et pas destiné de prime abord à être rendu public !

Il y a donc vous, et les autres. Cela me laisse perplexe à votre endroit.

Je ne vais même pas poursuivre cette lecture. Pauvre religieuse, n'avait-elle pas autre chose à faire que de s'ingérer dans de telles affaires qui semblaient bien compliquées.
apvs
5. - Pour une personne malade, elle écrit, elle fait des lettres. Quand nous sommes vraiment malades, on ne peut rien faire, ni faire de si long discours.
Merci docteur. Cependant, par prudence, j'irai désormais voir ailleurs quand j'aurai besoin d'un bon diagnostic, car le votre est un ponsif général sans aucun examen du sujet, et j'ai bien peur que comme vous le disiez ailleurs dans un éclair …Plus
5. - Pour une personne malade, elle écrit, elle fait des lettres. Quand nous sommes vraiment malades, on ne peut rien faire, ni faire de si long discours.

Merci docteur. Cependant, par prudence, j'irai désormais voir ailleurs quand j'aurai besoin d'un bon diagnostic, car le votre est un ponsif général sans aucun examen du sujet, et j'ai bien peur que comme vous le disiez ailleurs dans un éclair de lucidité :

" Enfin, j'admets que c'est un peu subjectif."
apvs
4. - Oh mais jamais un Saint n'a écrit en crachant contre un prêtre, même si ce prêtre peut se comporter mal. Je n'ai jamais vu cela ailleurs. Ils souffrent en silence.
Et est-elle formée pour savoir quelles sont les "violations du droit canon" ?
Mais Kée, vous n'avez strictement aucune culture générale spirituelle, et vous prétendez en plus ériger cette inculture comme norme pour juger de la …Plus
4. - Oh mais jamais un Saint n'a écrit en crachant contre un prêtre, même si ce prêtre peut se comporter mal. Je n'ai jamais vu cela ailleurs. Ils souffrent en silence.
Et est-elle formée pour savoir quelles sont les "violations du droit canon" ?

Mais Kée, vous n'avez strictement aucune culture générale spirituelle, et vous prétendez en plus ériger cette inculture comme norme pour juger de la sainteté ? Pardon d'en rire !
( à suivre )
Kée Quay Cléder
Si vous trouvez cela drôle, c'est triste pour vous.
N'inversez-pas les rôles, j'ai lu assez de livres dans ma vie pour pouvoir faire la différence.
apvs
Attendez, je n'ai pas le temps dans la seconde, mais ça vient. Merci !
apvs
Si vous affirmez, Kée, que Maria "crachait" sur dom Miglioroni en disant :
- 1 ) qu'il partageait le même péché que les autres
- 2 ) qu'il manquait de charité morale envers elle ( savez-vous seulement pourquoi elle dit cela ? Non, et vous n'en avez cure )
- 3 ) qu'elle lui avait montré toutes les violations du droit canon accomplies par le Saint Office ( je vous ai rappelé les faits, les avez-…Plus
Si vous affirmez, Kée, que Maria "crachait" sur dom Miglioroni en disant :
- 1 ) qu'il partageait le même péché que les autres
- 2 ) qu'il manquait de charité morale envers elle ( savez-vous seulement pourquoi elle dit cela ? Non, et vous n'en avez cure )
- 3 ) qu'elle lui avait montré toutes les violations du droit canon accomplies par le Saint Office ( je vous ai rappelé les faits, les avez-vous déjà oublié en quelques heures ? )
- 4 ) qu'au lieu de la comprendre et de la défendre, il se retournait contre elle ( pour qu'elle raison objective ? ) comme une vipère dont on aurait marché sur la queue , en l'accusant d'être injuste, dure, hostile...

alors, vous êtes incapable de distinguer la mise en lumière d'un comportement injustifiable, inapproprié et répréhensible, avec un quelconque esprit de vengeance.

Vous n'avez jamais lu qu'un saint aurait agit ainsi envers son prochain ? C'est parce que votre culture spirituelle est pauvre et défaillante.

Migliorini se comportait comme un "charismatoque" avant l'heure, et c'était du poison pour la promotion juste et obéissante de l'oeuvre, ce qui fait que Maria Valtorta parlait de lui en ces termes fleuris, lorsque les rapports tournèrent au pire avec les servites ( qui tentèrent de s'approprier l'oeuvre, en la faisant signer par un des leurs ) :

- "l’ineffable", mais aussi le "pagliaccio" ( bateleur, clown, fig : personne peu digne de confiance, ou qui se couvre de ridicule. )

Même chose avec l'ordre des servites :

" Je veux voir ce qu'il a le courage de proposer et de s'approprier. Et puis, il entendra ces notes ! Certainement que lui ( dom Migliorini ) croit que je suis en train de céder. Au contraire, je suis devenue en acier trempé ! J'exige qu'ils me laissent en paix. Je veux qu'ils ne s'occupent plus de rien. Ils ont fait suffisamment de tort à l'Oeuvre et à la créature. Ça suffit."

L'espérance de revirements et de temps meilleurs ne cessa jamais, mais padre Pennoni ne put que faire souffrir davantage Maria Valrorta en lui communiquant que padre Migliorini ne la croyait plus. ( ... )
"Maria Valtorta, sa vie, ses visions, sa croix", par dom Zucchini.

Note 408 du livre :


Si à quelques pieuses personnes semblent excessifs les mots de Maria Valtorta, padre Berti lui-même dans la note 16 de la première édition de l'autobiographie, a rappelé les "invectives" de saint Jérôme contre Rufin, avec lesquelles le Saint honore le moine de "porc qui grogne", dont les doctrines sont des Grunianae familiae stercora ( excréments de porcs ).

À quelqu'un, il ne plaira peut-être pas que nous soyons descendu à de tels détails : mais nous l'avons estimé nécessaire pour ceux qui, par la suite, voudront comprendre la personnalité de Maria Valtorta et en expliquer le phénomène.

Du reste, qu'on se réjouisse : nous avons profité de l'occasion pour la rapprocher, timidement et modestement, d'un grand saint et très grand docteur de l'Eglise : saint Jérôme ! ( Corrado Berti, in Maria Valtorta, Autobiographia prima, p.IX ).

Cher Kée, étant vous-même dors et déjà réduit au silence par ce témoignage sur saint Jérôme, j'aimerais également vous parler d'un autre fait assez peu connu, et que vous êtes donc tout excusé de ne pas connaître du tout, car il est très peu cité, surtout dans le milieu traditionnel.

Il s'agit d'un certain Pierre, qui dit-on, était une sorte de pape institué par le Christ Lui-même pour diriger son Église. Un certain Paul de Tarse, récemment converti du judaïsme à la foi chrétienne et qui était venu lui rendre allégeance comme au premier des apôtres, le critiqua publiquement, lui, son supérieur hiérarchique !

Ce ne fut pas simplement à mère Machin ou père Truc qu'il se confia, mais en pleine assemblée, et pour reprocher à Pierre son comportement dissimulateur.

Encore une fois, puisque cet épisode est fort peu connu, je vous excuse de cette lacune : mais cela explique bien que, quand elle est constructive et inévitable, il faut savoir critiquer même un supérieur. Ne le faites-vous pas vous-même quotidiennement au sujet de certains papes récents ? Alors, cher monsieur...

Et puis, voici un dernier élément tellement inconnu lui-aussi qu'il a échappé naturellement à votre esprit si sûr et sans défaillance :

au cours d'une certaine apparition, la Vierge Marie décrit les prêtres du futurs comme "un cloaque d'impureté", vous avez bien entendu, cher Kée !

Peut-être que vous ne voyez pas de quelle apparition je veux parler, ou peut-être qu'à cause de ces paroles si calomnieuses, la Sainte Vierge n'est peut-être pas si "sainte" à vos yeux, puisqu'elle se permet ainsi de "cracher sur les prêtres de son Fils"...
1 autre commentaire de apvs
apvs
Comment ce message de la Vierge de La Salette ne ferait-il pas écho aux paroles d'un certain saint Jean-Baptiste, qu'on disait être le Précurseur du Christ, et qui traitait sans ménagement les pharisiens ( docteurs de la Loi, les supérieurs hiérarchiques) d' "engeance de vipère" ? Encore un sûrement dont la canonisation fut plus que douteuse, puisqu'il se permettait de "cracher" ainsi sur son …Plus
Comment ce message de la Vierge de La Salette ne ferait-il pas écho aux paroles d'un certain saint Jean-Baptiste, qu'on disait être le Précurseur du Christ, et qui traitait sans ménagement les pharisiens ( docteurs de la Loi, les supérieurs hiérarchiques) d' "engeance de vipère" ? Encore un sûrement dont la canonisation fut plus que douteuse, puisqu'il se permettait de "cracher" ainsi sur son prochain ! Comment un "pur entre les purs" pourrait-il accepter pareil langage indigne ?

Mais il faut dire qu'en matière d'invectives très justifiées, Notre Seigneur ne fut pas de reste :
"Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Sepulcres blanchis remplis d'ornements et de pourriture ! Fils de Satan ! "
Etc...

Comme quoi : à vouloir tout asceptiser à tout prix, on s'éloigne considérablement de l'Evangile, sans même s'en rendre compte.
Kée Quay Cléder
Pas la peine de vous fatiguer tant que cela, je n'ai pas lu vos "gentilles civilités", car cela n'en finit pas. J'ai autre chose à faire.
apvs
Mais Kée, je ne commente pas pour vous : je connaissais votre état d'esprit depuis longtemps. Je commente pour ceux qui liront, et encore une fois pas pour vous.
Kée Quay Cléder
Vous me faites bien rire, vu comment vous écrivez, comment vous traitez les autres, comment pensez-vous être lu ???
apvs
Mais maintenant, chacun peut se rentre clairement compte de la raison qui m'avait amené à vous bloquer : vous êtes bloqué, naturellement bloqué, il n'y a rien à y faire.
apvs
Et effectivement, puisque vous avouez crânement vous-même avec le dernier des mépris que vous ne lisez même pas mes réponses, vous risquez d'être de nouveau bloqué par moi.
Refus de dialogue = dialogue bloqué, c'est logique.Plus
Et effectivement, puisque vous avouez crânement vous-même avec le dernier des mépris que vous ne lisez même pas mes réponses, vous risquez d'être de nouveau bloqué par moi.

Refus de dialogue = dialogue bloqué, c'est logique.
apvs
3 )"Ils me font perdre mon calme" Donc cet écrivain était trop centrée sur sa personne. Pas assez remise entre les mains de Dieu.
Conclusion hative et sans tenir aucun compte du réel, sur plusieurs points :
- 1 ) la pauvre Maria Valtorta était dans un état perpetuel de complète vulnérabilité, sans pouvoir se défendre. Dans son cas normalement, on aurait plutôt prescrit le repos le plus radical …Plus
3 )"Ils me font perdre mon calme" Donc cet écrivain était trop centrée sur sa personne. Pas assez remise entre les mains de Dieu.

Conclusion hative et sans tenir aucun compte du réel, sur plusieurs points :

- 1 ) la pauvre Maria Valtorta était dans un état perpetuel de complète vulnérabilité, sans pouvoir se défendre. Dans son cas normalement, on aurait plutôt prescrit le repos le plus radical, pas d'émotion forte, du silence, quelques visites de courtoisie et c'est tout. Au lieu de ça, cette grande malade de tout sauf de l'âme et du cerveau eu droit à des pressions psychologiques qu'on a peine à mesurer.

Mais il faudrait exiger d'elle qu'elle ne réagisse même pas, qu'elle ne se confie à personne ? Quelle étrange notion de la sainteté.

Même la petite Thérèse se confia sur l'intensité insupportable de ses souffrances : elle alla jusqu'à affirmer qu'elle avait été tentée par le suicide, c'est dire à quel point le trouble pu avoir de prise sur elle, par permission divine !

- 2 ) Étrange : maintenant, la sainteté excluerait la possibilité d'avoir un caractère entier. C'est assez nouveau, et je dois dire : non conforme à tout ce que j'ai entendu. Cela traduit plus une méconnaissance du Nouveau Testament et de l'histoire des saints qu'autre chose.
Est-ce que saint Jérôme ne fut pas saint ? Bien sûr que si, autrement on ne l'appellerait pas "saint" Jérôme, mais "Jérôme" tout court ! Or qui plus que lui fut sujet à de nombreuses sautes d'humeur, sans comparaison aucune avec les "pertes de calme" de Maria Valtorta ?

Conclusion : Dieu ne sanctifie pas que des personnes dépourvues de tout caractère, et parfaites en tout point, préfabriquées. En fait, le "Saint IKEA" préfabriqué est plutôt assez rare.

Même saint Paul s'échauffe, perd visiblement son calme devant l'injustice qu'il rencontre par exemple chez les "Galates sans intelligences", ou encore chez les "Corinthiens pires que les païens", il faudrait être myope pour ne pas s'en rendre compte.

Il est même dit qu'entre lui et Barnabé, à un moment donné : "les esprits s'echaufferent et on se sépara". Donc on nous a trompé ? Saint Paul n'est pas un saint, puisqu'il lui arrivait de s'echauffer...

Voilà où mène la méconnaissance des Ecritures, de la nature humaine et des vrais critères de sainteté.
Kée Quay Cléder
- Le Seigneur peut permettre que même entre Saints, ils se comprennent mal, soient en désaccord, car un diamant ne peut être taillé qu'avec un autre diamant. Cela fait partie des croix.
- Quant à Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, elle n'a pas médit sur une autre personne... c'est au sujet de la souffrance.
- Que certains Saints gardent des défauts pour leur humilité, comme Saint Jérôme, ou …Plus
- Le Seigneur peut permettre que même entre Saints, ils se comprennent mal, soient en désaccord, car un diamant ne peut être taillé qu'avec un autre diamant. Cela fait partie des croix.
- Quant à Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, elle n'a pas médit sur une autre personne... c'est au sujet de la souffrance.
- Que certains Saints gardent des défauts pour leur humilité, comme Saint Jérôme, ou l'écharde de Saint Paul, c'est normal.

Mais que votre Maria puisse écrire cela, et à une religieuse... si vous ne voyez pas clair...
apvs
- Le Seigneur peut permettre que même entre Saints, ils se comprennent mal, soient en désaccord, car un diamant ne peut être taillé qu'avec un autre diamant. Cela fait partie des croix.
Et bien vous voilà donc malgré vous en phase avec notre sujet, rien à ajouter, sinon que notre pauvre dom Migliorini était bien cette pierre précieuse mais pleine de défauts pour éprouver le pur diamant que …Plus
- Le Seigneur peut permettre que même entre Saints, ils se comprennent mal, soient en désaccord, car un diamant ne peut être taillé qu'avec un autre diamant. Cela fait partie des croix.

Et bien vous voilà donc malgré vous en phase avec notre sujet, rien à ajouter, sinon que notre pauvre dom Migliorini était bien cette pierre précieuse mais pleine de défauts pour éprouver le pur diamant que fut Maria Valtorta.

- Quant à Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, elle n'a pas médit sur une autre personne... c'est au sujet de la souffrance.

Il y a effectivement le sujet de la souffrance qui lui ôta son calme olympien par la tentation du suicide.
Mais elle eut souvent à sermonner, en tant que maîtresse des novices, les âmes dont elle avait la charge, bien franchement, sans ménagement parfois selon son propre témoignage que vous avez sûrement oublié.

Et tout comme ici, dans le cas de MV et du père M. : il ne s'agissait nullement de médisance ! Vous mêlez subtilement votre pure invention aux faits, et il faudrait être aveugle pour ne pas s'en apercevoir.

- Que certains Saints gardent des défauts pour leur humilité, comme Saint Jérôme, ou l'écharde de Saint Paul, c'est normal.

OK ! Donc une nouvelle fois, vous voici pleinement en phase malgré vous avec notre sujet.

Mais que votre Maria puisse écrire cela, et à une religieuse... si vous ne voyez pas clair...

Mon Dieu, qu'elle puisse écrire aux sujets de ces prêtres qui l'accompagnaient si mal : "Ils me font perdre mon calme", voilà qui ne passe pas auprès du "pur entre les purs" que vous semblez prétendre être !
Kée Quay Cléder
Ouha, j'avoue, tant d'écriture, je n'en reviens pas. 🤪
Mais idem, je ne lirai pas.
apvs
Idem, Kée : mon commentaire ne s'adresse pas spécialement à vous, mais à ceux qui auront l'intelligence de le lire.
Kée Quay Cléder
L'intelligence ? Avec vos discours logorrhéiques, agrémentés de jolis compliments et de mots enfantins, du genre "aller uriner"...??? Pas pour moi, non merci. Dommage que vous ne vous relisiez jamais.
apvs
1. - Lorsque nous écrivions avant Vatican II, ce n'était pas à l'écrivain de dire si son œuvre était bonne ou non, il fallait être contrôlé, ce qui était normal.
Maria Valtorta est ici :
- dans le style écrit de la confidence,
- sous le coup ( ordinaire pour elle ) d'une très grande souffrance physique et morale,
- elle ne se pose pas comme vous l'insinuez en seule juge de son oeuvre, cela …Plus
1. - Lorsque nous écrivions avant Vatican II, ce n'était pas à l'écrivain de dire si son œuvre était bonne ou non, il fallait être contrôlé, ce qui était normal.

Maria Valtorta est ici :
- dans le style écrit de la confidence,
- sous le coup ( ordinaire pour elle ) d'une très grande souffrance physique et morale,
- elle ne se pose pas comme vous l'insinuez en seule juge de son oeuvre, cela : vous l'interprétez subjectivement et mal.

En réalité, déjà à cette époque, non seulement son père spirituel dom Migliorini, son suppléant dom Berti, mais aussi Mgr Carinci qui vint personnellement rencontrer MV, sans parler du pape en personne, avaient eu l'oeuvre en main, et l'avait jugée "sans hérésie, ni doctrine nouvelle, ni rien d'autre d'inconvenant". C'est donc fort de tous ces avis positifs que Maria ose faire cette affirmation !

Si cela avait été l'inverse, MV dont la plus grande peur était de tromper les lecteurs, aurait demandé qu'on brûle tout, et n'aurait jamais plus prêté la moindre attention à ses "visions".

Pourtant, la note manuscrite de Carinci dans le livre "Pro e contro" en italien indique 2 choses :
- Pie XII était favorable
- et il déclarait cependant qu'il ne pouvait rien faire pour le moment contre le Saint Office ( on n'était pas encore dans l'hyper centralisation du pouvoir absolu du cher François-soleil ).

2. - "J'ai eu la permission de Notre Seigneur", mais... ce n'est pas à l'écrivain de dire ce que veut Jésus, mais son directeur spirituel. Car l'obéissance protège de toute tromperie du malin, et de l'orgueil...

Vous faites erreur, Kée. En 2 choses :

- Ce n'est pas ici, dans le cas de MV, son directeur spirituel qui entendait Jésus lui parler, votre remarque confine donc au ridicule,

- Vous ne connaissez pas bien le Nouveau Testament. En effet, l'obéissance à ses supérieurs hiérarchiques n'exclue pas une obéissance direct à Dieu, si celle-ci est ratifiée par les premiers.
On le voit dans les Actes des Apôtres, lorsque Paul et Barnabé obéissent directement à l'Esprit-Saint pour savoir où aller. Dieu peut donc donner des ordres directs, comme Il l'entend, à une âme privilégiée, si celle-ci est ratifiée dans cette obéissance directe par son directeur spirituel.

D'autant plus qu'ici, non seulement Maria a du demandé à des intermédiaires les fameux livres, et donc tout mettre en transparence avec dom Migliorini ( on sait précisément la liste exacte des ouvrages qu'elle a pu consulter durant toute sa vie, et aucun ne peut expliquer quoi que ce soit à son œuvre : prétendre l'inverse est tout simplement risible ) , mais il n'y a "aucune matière à tromperie diabolique" ici ! C'est encore une fois risible de le prétendre : ou bien alors, il faudrait avancer que toute personne consultant de bons livres spirituels catholiques reconnus pour leur intérêt s'expose par là même à "une tromperie diabolique" !

Faut-il vraiment s'abaisser à inventer pareils arguments...

Consulter ces livres a pu fournir à MV un argument supplémentaire en faveur de la parfaite conformité de ce qu'elle recevait : et dans pareil cas, jamais un tel examen supplémentaire ne peut être déclaré superflu.

De plus : MV n'avait que cela à faire ! Sa vie durant se passait dans le minuscule cloître de son lit, au milieu de souffrances sans nombre. Maintenant, on va lui reprocher d'avoir lu des bons livres.

Mais mon Dieu !!!
Kée Quay Cléder
Ouha.... heureusement que c'est virtuel, vous en useriez de l'encre et des feuilles sinon.
Kée Quay Cléder
Comme je suis encore bloquée... je réponds ici, du coup.
Merci pour le livre cité dans le précédent article (cf. ci-dessous), l'ayant à la maison, cool, prochain livre à lire du coup. 😊
Nihil Obstat, Imprimi potest, Imprimatur de 1948.
Edmont Crapez, prêtre de la Mission (Lazariste), spécialiste de Sainte Catherine Labouré, né le 18 mai 1878, et mort à Paris en 1949.
Chapitre 1er : "Celui-ciPlus
Comme je suis encore bloquée... je réponds ici, du coup.

Merci pour le livre cité dans le précédent article (cf. ci-dessous), l'ayant à la maison, cool, prochain livre à lire du coup. 😊

Nihil Obstat, Imprimi potest, Imprimatur de 1948.

Edmont Crapez, prêtre de la Mission (Lazariste), spécialiste de Sainte Catherine Labouré, né le 18 mai 1878, et mort à Paris en 1949.

Chapitre 1er : "Celui-ci (l'ouvrage) est un acte de foi et d'obéissance. Il ne porte pas de nom d'auteur : car aucune plume humaine n'a le droit de s'en attribuer la paternité." (...) quant à la secrétaire de Jésus, l'heure n'est pas encore venue de révéler son nom : l'humilité doit jusqu'à sa mort la couvrir de son discret manteau.

Je ne sais qu'en dire, car le blé devait lever, en 1935, et c'est bel et bien le contraire qui c'est passé, c'est la perte de la foi, l’Église (dans un si triste état), se vide...
Quelqu'un ici aurait-il déjà lu ce livre ?

Citation de Maria Valorta (cf. ci-dessous) :
Un livre est paru en France sous le titre : "Marthe et Marie, un message du Très Haut", écrit par une "voix" vivante comme moi, qui a des dialogues, des leçons, des dictées ( comme moi) de Jésus.
Ce livre est présenté par tous les prêtres et avec trois approbations bien que l'écrivain soit vivant et le livre ouvertement annoncé comme révélé.
Il s'agit de conseils et de leçons sur les dogmes. L'Osservatore était très élogieux... Je l'ai fait venir parce qu'il me sert à réfuter les excuses du blocage : "l'écrivain est vivant et l'oeuvre est révélée."


Correspondance de Maria Valtorta - son obéissance …
apvs
Chapitre 1er : "Celui-ci (l'ouvrage) est un acte de foi et d'obéissance. Il ne porte pas de nom d'auteur : car aucune plume humaine n'a le droit de s'en attribuer la paternité." (...) quant à la secrétaire de Jésus, l'heure n'est pas encore venue de révéler son nom : l'humilité doit jusqu'à sa mort la couvrir de son discret manteau.
Magnifique, c'est exactement le même état de chose pour …Plus
Chapitre 1er : "Celui-ci (l'ouvrage) est un acte de foi et d'obéissance. Il ne porte pas de nom d'auteur : car aucune plume humaine n'a le droit de s'en attribuer la paternité." (...) quant à la secrétaire de Jésus, l'heure n'est pas encore venue de révéler son nom : l'humilité doit jusqu'à sa mort la couvrir de son discret manteau.

Magnifique, c'est exactement le même état de chose pour Maria Valtorta ( JE SAIS : vous ne voulez rien savoir, mais je suis juste chargé de vous le dire, rien de plus ).

Comme vous l'ignorez probablement, Kée, le Christ avait expressément demandé qu'on ne révèle en aucun cas le nom de Maria Valtorta avant sa mort - ce fait est si connu et documenté, qu'il fait l'objet d'un chapitre du livre de l'abbé Zucchini sur Maria Valtorta sorti en février 2022, je n'invente rien - .

Et on doit à l'imprudence du père Migliorini, son directeur de conscience, que son nom ait malheureusement été tout de même connu !

En effet, celui-ci, contre l'avis de Maria, distribuait déjà des tracts avec des extraits de l'œuvre, au moins sous couvert du plus complet anonymat, comme Jésus Lui-même l'avait ordonné.

Et un jour, n'y tenant plus, cet abbé gravement défaillant fit répandre le bruit "qu'il était le père spirituel de l'âme privilégiée en question" !!!

Imprudence fatale, car on su déduire très vite avec certitude qu'il s'agissait de Maria Valtorta... Et là, commencèrent les ennuis.

Mais attribuer ce manque de discrétion à un quelconque sentiment de vanité de l'humble voyante est un très grave manque de discernement, doublé de calomnie si on ppersiste à le pretendre en toute connaissance de cause :

Maria Valtorta, alitée et dépendante de son entourage qu'elle était, ne pouvait en aucun cas se défendre contre toutes les imprudences et abus dont elle fut effectivement l'innocente victime, ce qui ajouta à ses souffrances physiques écrasantes autant de souffrances morales, dont on peut dire qu'elle se serait bien passé !
Kée Quay Cléder
Cela s'est passé ainsi ? Oui, le prêtre n'aurait jamais dû donner le nom de Maria Valtorta... ni se mettre lui, en avant... en disant qu'il connaissait "une âme privilégiée"... Manque de prudence et de sagesse...
Avant Vatican II, il imprimait sans imprimatur ??? Ohlala... 🤔
apvs
L'oeuvre n'avait pas obtenu seulement un Imprimatur : elle en avait obtenue ( potentiellement) trois ! Deux évêques, et un cardinal, avaient été en mesure de le lui accorder :
pour ces trois cas, la camora appelée aussi "Saint Office" avait agit juste à temps avec violence, c'est à dire par la menace personnelle, pour empêcher cette délivrance.
C'est une pratique courante dans le milieu du …Plus
L'oeuvre n'avait pas obtenu seulement un Imprimatur : elle en avait obtenue ( potentiellement) trois ! Deux évêques, et un cardinal, avaient été en mesure de le lui accorder :

pour ces trois cas, la camora appelée aussi "Saint Office" avait agit juste à temps avec violence, c'est à dire par la menace personnelle, pour empêcher cette délivrance.

C'est une pratique courante dans le milieu du grand banditisme, mais normalement absente de la sphère catholique. Sauf qu'ici, ce fut la méthode employée par le "Saint Office", stupéfiant pas vrai ?

Lorsque la nature de l'intimidation personnelle est la molestation suivie de menace de viol, on se dit que l'on ne peut tout de même pas voir cela dans un milieu catholique, non ? Kée, vous en convenez ?

Et bien, c'est cette méthode qu'employa la camora dite "Saint Office" à l'encontre d'une petite âme privilégiée reconnue et approuvée par Pie XII, venue leur dire de changer d'attitude envers MV.

Bon, je sais, rien de choquant là dedans... Finalement, sous leur soutane, ces braves gens du Saint Office étaient comme tout homme, avec leur désir qui devait trouver un exutoire, c'est fort compréhensible ! Mais à part cela, c'était des saints qui méritaient toute notre entière confiance ! Pas de quoi s'affoler, ni provoquer de tempête dans un bénitier, allons voyons, laissons-les s'amuser un peu tranquillement , au lieu de scruter leurs faits et gestes, pour savoir qui a été par eux molestée et menacée de viol ! Phheu ! ... Cette garce l'avait sans doute bien mérité.

Je ne sais pas si vous ne saisissez toute l'ironie de la situation.
Kée Quay Cléder
Quelle étrange histoire. D'où provient-elle ?
Je ne vois pas le rapport avec l'intimidation et l'imprimatur. Pourquoi vouloir l'intimider ?
Ils refusent l'imprimatur, ok.
Si elle en avait obtenu 3, où cela est-il passé ?