La (vraie) définition de la culture de mort.

Si Saint Jean-Paul II a été le premier à donner un contour à la culture de mort en y intégrant surtout l’avortement, les recherches sur les cellules souches embryonnaires et l’euthanasie, pour autant, cette expression a vu depuis, son contenu sémantique évoluer si bien que (comme je le précise dans mon essai « le complot inconscient ») la culture de mort doit être définie par cet abominable « paquet sémantique » :

1) La déculpabilisation du meurtre légal des enfants à naître (avortement) et ses corollaires (recherchent sur les cellules souches embryonnaires, manipulation génétique et bientôt le clonage) mais aussi......
...........2) La déculpabilisation du « contre Dieu et nature » mariage homosexuel et ses corollaires (théorie du genre, androgynie pour tous, PMA pour les lesbiennes etc.)

Il convient de rester précis sur la signification de la culture de mort car cela est une condition sine qua non pour pouvoir la combattre. En effet, il est indispensable, qu’elle soit identifiée avec le plus de clarté possible. C’est d’ailleurs pour cette raison que beaucoup de trolls des réseaux sociaux et autres soumis au politiquement correct, s’emploient régulièrement à essayer de noyer le poisson dans l’eau en essayant de donner des contours vagues à ce que cette expression englobe (apportant d’ailleurs ainsi et sans le vouloir, la preuve que c’est la bonne expression, car manifestement, c'est une expression qui les dérange).

Je sais que beaucoup de catholiques de bonne foi, pensent que par exemple que les viols, les guerres, le terrorisme islamiste (ou encore la dégringolade des bonnes mœurs en général comme le divorce, ou l’alcoolisme chez les jeunes) doivent être englobé dans le concept de « culture de mort ». En réalité, cela est une erreur. Il est important de ne pas tomber dans ce piège. La culture de mort peut, in fine, être définie comme « tentative satanique de s’attaquer à l’ordre naturel de la procréation de l’espèce humaine voulu par Dieu ». C’est pourquoi nous trouvons nécessairement en premier lieu le meurtre des innocents non nés, le clonage (qui arrive) et le mariage contre nature. C'est cela, la "substantifique moelle" de la culture de mort. Au fond, la culture de mort est l’ensemble des tentatives réalisées par les larbins du diable pour anéantir l’œuvre de Dieu dans le domaine de la reproduction de l’espèce. L’être humain étant la créature préférée de Dieu, il est normal que l’attaque Satanique pré apocalyptique s’oriente prioritairement sur les moyens naturels de reproduction de l’espèce voulus par le créateur.
Ici la précision sémantique est essentielle.

Notons, que bien comprise, l’opération de la fakenews corona qui fait certes momentanément une pause mais qui va repartir de plus belle (que ce soit dans six mois ou six ans, au fond, peu importe) s’inscrit aussi dans cet acharnement à vouloir dissocier la reproduction de l’espèce de l’acte sexuel naturel entre un homme et une femme. Le masque, en nous rendant tous androgène développe l’homosexualité. La peur d’être contaminé par son prochain développera, quant à elle, la fécondation in vitro. Pour approfondir voir ici la troisième partie de mon essai « l’instrumentalisation du corona ».
Jean-Pierre Aussant
ANNE-FRANCOISE DEMANY partage ceci
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Grosminet
La Vérité qui dérange nos congénères lobotomisés.
jean pierre aussant
Hop! Twitter vient juste de me bloquer à cause de cette publication. Ils n'aiment pas trop quand on parle de la reproduction de l'espèce...Sans le savoir, ces bobonnes de modérateurs qui obéissent aux ordres, nous montrent que nous tapons dans le mille.