Péchés homosexuels : François sape sa propre autorité
La peine de mort et la possession de bombes atomiques sont "aujourd'hui" un péché mais "ne l'étaient pas auparavant", a déclaré François aux Jésuites à Lisbonne en août.
Phil Lawler demande (CatholicCulture.org) si ce drôle de principe fonctionne aussi dans l'autre sens : "Quelque chose qui était autrefois un péché peut-il devenir moralement acceptable - peut-être même bienvenu ? - demande-t-il.
Il fait référence aux péchés homosexuels. Un jésuite portugais a dit à François que les homosexuels considéraient l'appel de Dieu à la chasteté comme "une imposition".
La réponse de François à ce jésuite n'a pas été aussi claire que sa condamnation de la peine de mort, remarque Lawler, mais François n'a pas confirmé l'enseignement chrétien fondamental selon lequel les actes homosexuels sont immoraux, "il a plutôt exprimé son impatience face à ce qu'il considère comme une préoccupation excessive pour les "péchés en dessous de la ceinture".
Se référant à la tendance de François à remettre en question l'enseignement catholique et à se moquer de ceux qui respectent le magistère, Lawler souligne que, de cette manière, François sape toute autorité enseignante, "y compris la sienne".
Image: © Mazur/cbcew.org.uk, CC BY-NC-ND, #newsVqpntiiinl
Phil Lawler demande (CatholicCulture.org) si ce drôle de principe fonctionne aussi dans l'autre sens : "Quelque chose qui était autrefois un péché peut-il devenir moralement acceptable - peut-être même bienvenu ? - demande-t-il.
Il fait référence aux péchés homosexuels. Un jésuite portugais a dit à François que les homosexuels considéraient l'appel de Dieu à la chasteté comme "une imposition".
La réponse de François à ce jésuite n'a pas été aussi claire que sa condamnation de la peine de mort, remarque Lawler, mais François n'a pas confirmé l'enseignement chrétien fondamental selon lequel les actes homosexuels sont immoraux, "il a plutôt exprimé son impatience face à ce qu'il considère comme une préoccupation excessive pour les "péchés en dessous de la ceinture".
Se référant à la tendance de François à remettre en question l'enseignement catholique et à se moquer de ceux qui respectent le magistère, Lawler souligne que, de cette manière, François sape toute autorité enseignante, "y compris la sienne".
Image: © Mazur/cbcew.org.uk, CC BY-NC-ND, #newsVqpntiiinl