Officiellement : Les orthodoxes russes condamnent la "Fiducia Supplicans".
Le 25 mars, les orthodoxes russes ont publié un document officiel condamnant l'œuvre de propagande homosexuelle de François, "Fiducia Supplicans".
La condamnation est intitulée "Attitude orthodoxe à l'égard de la nouvelle pratique de bénédiction des "couples en situation irrégulière et des couples de même sexe" dans l'Église catholique romaine".
Elle a été rédigée sous l'autorité du métropolite Hilarion Alfeev de Budapest, en Hongrie, et sous la direction du patriarche Kirill de Moscou.
Le texte affirme que François s'écarte de l'enseignement moral chrétien : "L'amour de Dieu pour l'humanité ne peut servir de base à la bénédiction de couples qui cohabitent dans le péché".
Il affirme que "Fiducia Supplicans" présente une vision unilatérale de "l'amour de Dieu" en ignorant les concepts fondamentaux du péché et du salut.
Le document s'oppose à l'assimilation par François de l'homosexualité (contra naturam) et du concubinage sexuel.
Les orthodoxes "autorisent" les divorcés à contracter des secondes unions immorales [celles que Bergoglio veut "bénir"] et les considèrent même comme un "mariage".
Traduction de l'IA
La condamnation est intitulée "Attitude orthodoxe à l'égard de la nouvelle pratique de bénédiction des "couples en situation irrégulière et des couples de même sexe" dans l'Église catholique romaine".
Elle a été rédigée sous l'autorité du métropolite Hilarion Alfeev de Budapest, en Hongrie, et sous la direction du patriarche Kirill de Moscou.
Le texte affirme que François s'écarte de l'enseignement moral chrétien : "L'amour de Dieu pour l'humanité ne peut servir de base à la bénédiction de couples qui cohabitent dans le péché".
Il affirme que "Fiducia Supplicans" présente une vision unilatérale de "l'amour de Dieu" en ignorant les concepts fondamentaux du péché et du salut.
Le document s'oppose à l'assimilation par François de l'homosexualité (contra naturam) et du concubinage sexuel.
Les orthodoxes "autorisent" les divorcés à contracter des secondes unions immorales [celles que Bergoglio veut "bénir"] et les considèrent même comme un "mariage".
Traduction de l'IA