France : 100 000 euros d'amende pour avoir énoncé des faits
L'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), l'organe de censure du régime, a infligé cette amende le 13 novembre.
L'Arcom a affirmé que "l'avortement ne peut être présenté comme une cause de décès" (sic), estimant qu'il s'agissait d'une "inexactitude manifeste" qui "n'a été contredite en aucune manière par les autres personnes présentes dans l'émission".
Mais si tuer un être humain non né n'est pas tuer, alors l'être humain avorté n'était pas vivant, mais s'il n'était pas vivant, pourquoi était-il nécessaire de le tuer ?
Le 25 février 2024, "En quête d'esprit", l'émission de Cnews qui traite de l'actualité d'un point de vue catholique [= réaliste], a parlé des conséquences psychologiques dévastatrices de l'avortement.
Le présentateur a rappelé que l'avortement est "la première cause de mortalité dans le monde". Selon l'Institut Worldometer, en 2022, il sera de 73 millions, soit 52% de tous les décès".
Auparavant, Cnews.fr avait reçu 20 000 euros parce qu'un collaborateur de "Punchline Été" avait dénoncé le canular climatique comme un "mensonge" et une "escroquerie".
En mars 2024, la France a inscrit un "droit à l'avortement" dans sa constitution. Depuis lors, la France ne peut plus être considérée comme un État normal, mais comme une association de malfaiteurs.
Traduction de l'IA
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