Bergoglio défend ses idioties sur l'homosexualité

Le 21 décembre, Bergoglio a reçu une trentaine de prêtres romains qui l'ont interrogé sur son œuvre de propagande homosexuelle "Fiducia Supplicans". Don Antonio Vettorato Un prêtre, présent à la réunion, en a parlé à l'agence de presse américaine CNS.

François a fait semblant de ne pas comprendre le problème, disant que les "gens" [= ceux qui pratiquent des péchés sexuels sans se repentir] doivent être accueillis dans l'Église.

Il a insisté sur le fait que son œuvre de propagande homosexuelle n'implique pas le sacrement du mariage [mais le sape] et qu'elle ne change pas le sacrement [mais s'en moque].

Cependant, toutes ces déclarations passent à côté de l'essentiel. Le problème est que François prétend que le péché pourrait être "béni".

Probablement pour détourner l'attention de l'insurrection qu'il a provoquée avec le document "Fiducia Supplicans", il a ensuite demandé aux prêtres de ne pas être "pressés" de mettre en œuvre le processus synodal. Ils devraient "avoir le désir que la synodalité s'enracine dans la vie de l'Église", ajoutant : "Je crois que c'est l'Église que nous sommes en train de construire : "Je crois que c'est l'Église que nous devons attendre".

La "synodalité" est un terme en ruine, car François ne l'utilise que pour détourner l'attention de son régime autoritaire et dictatorial.

Image: © Mazur/cbcew.org.uk, CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA