Une étude de la Northwestern University d'Evanston, dans l'Illinois, a révélé que près de la moitié des patients atteints de Covid ont développé une pneumonie bactérienne secondaire associée à l'utilisateur d'un respirateur artificiel, qui est devenue une "cause majeure de décès" chez ces patients. Les infections bactériennes peuvent même dépasser le taux de mortalité dû à l'infection virale elle-même. Les patients guéris de leur pneumonie secondaire avaient de bonnes chances de vivre. Les données suggèrent que la mortalité due au virus lui-même était relativement faible. Les chercheurs ont également constaté que le Covid ne provoquait pas de "tempête de cytokines", une inflammation excessive conduisant à la défaillance d'un organe qui était souvent considérée comme la cause du décès.
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