Intéressant. Mais, pour garantir la bonne qualité de la cire, la fonte au feu de bois me paraît moins performante que celle dans un cérificateur solaire, moins coûteuse et tout aussi artisanale.
Quand à la cire naturelle, il faudrait aussi s'interroger sur la présence ou non de pesticides sur les fleurs butinées, ainsi que sur les traitements phytosanitaires dans la ruche (contre le varroa par exemple).
La couleur de la cire dépend essentiellement de l'endroit où on la récolte dans la ruche : la cire d'opercule, datant au plus de quelques mois, est jaune clair ; la cire des rayons fonce avec le temps, parce qu'il s'y mêle notamment de la propolis. Quand on fait fondre la cire, les impuretés ont tendance à tomber au fond, ce qui permet d'éclaircir en partie de la vieille cire. Mais je demande bien avec quoi ils "lavent" la cire.