En fait, c'est exactement le principe de l'accouchement sous x, que l'état français pratique aussi, sans que quiconque s'en offusque. Une députée flamande adoptée dans ces conditions s'est indignée d'avoir été "vendue" pour 160€. A l'heure actuelle, je pense que les frais de dossier pour une adoption sont plus élevés que ça ! Accuser l'Eglise d'avoir gagné de l'argent en vendant ces bébés, c'est de la mauvaise foi.
Pour la stérilisation forcée, il faudrait voir exactement ce qu'il en est ; a t-elle eu lieu pour raisons médicales, en conséquence d'un accouchement qui s'est mal déroulé, ou a t-elle été décidée a priori (en contradiction avec les lois de l'Eglise, qui interdit la stérilisation) ; mais dans un monde où l'idée d'une stérilisation forcée des handicapés est de plus en plus acceptée, je trouve que cette indignation est bien sélective.
Par ailleurs, il n'est expliqué nulle part comment les religieuses ont obligé ces jeunes mères à venir chez elles pour la naissance. Sans doute certaines ont-elles été forcées par leurs familles, mais dans ce cas, commençons donc par nous occuper des mères qui sont actuellement forcées à l'avortement par leurs familles, et condamnons tous les médecins avorteurs : les bébés (et les jeunes mères) nous remercieront !

Cette messe est célébrée en Belgique depuis le 15e siècle, et cette tradition est encore très vivace.
Voici la page Wiki à ce sujet :
Messe d'or — Wikipédia
A priori, elle a donc existé en France, mais s'est plutôt conservée dans les pays germaniques.
L'Eglise sait que nous sommes corps et âmes, elle aide ses fidèles dans leur dévotion grâce à ce symbolisme et cette atmosphère. Cela me rappelle un peu la fin de l'office des Ténèbres, pendant la semaine sainte, quand le dernier cierge est éteint.
La nouveauté serait plutôt le fait de la célébrer plusieurs fois pendant l'Avent.

Intéressant. Mais, pour garantir la bonne qualité de la cire, la fonte au feu de bois me paraît moins performante que celle dans un cérificateur solaire, moins coûteuse et tout aussi artisanale.
Quand à la cire naturelle, il faudrait aussi s'interroger sur la présence ou non de pesticides sur les fleurs butinées, ainsi que sur les traitements phytosanitaires dans la ruche (contre le varroa par exemple).
La couleur de la cire dépend essentiellement de l'endroit où on la récolte dans la ruche : la cire d'opercule, datant au plus de quelques mois, est jaune clair ; la cire des rayons fonce avec le temps, parce qu'il s'y mêle notamment de la propolis. Quand on fait fondre la cire, les impuretés ont tendance à tomber au fond, ce qui permet d'éclaircir en partie de la vieille cire. Mais je demande bien avec quoi ils "lavent" la cire.