Pas de plaisanterie : "Tout le monde veut un nouveau François" - Cardinal
Il est convaincu "que nous continuerons dans la ligne de Bergoglio. J'ai parlé à de nombreux cardinaux". D'autre part, M. Kasper estime que "l'heure est à la décentralisation, à la synodalité authentique et à la collégialité", à l'opposé du centralisme, de la performance en solo et de l'autocratie de François.
Pour M. Kasper, les catholiques parmi les cardinaux sont "un petit groupe". L'Église [qui est au bord de l'abîme] ne peut pas se permettre de reculer maintenant", est convaincu M. Kasper.
Pour lui, la présence massive de personnes [= touristes] autour du Vatican et de la tombe de François montre "que le lien entre l'Église et le peuple [qui est 'le peuple' ?] est toujours vivant et peut-être plus fort que jamais" (sic).
Kasper est convaincu que "le peuple" veut un pape sur les traces de François, qui aurait connu "le langage du cœur" [quel langage ?], qui ne s'est pas "enfermé dans des palais" [quel pape a fait cela ?], qui a parlé "à la vie concrète des gens" [à des auditoires vides].
Selon Kasper, Bergoglio "a sorti l'Église du temple, l'a poussée vers les périphéries, vers les rues, vers les blessés" [l'Église n'était-elle pas là avant Bergoglio ?].
Selon lui, le "vrai catholicisme" se mesure à la volonté "d'accueillir et d'intégrer les différences" [= créer des contradictions et de la confusion].
Sur un ton triomphaliste, Kasper proclame que l'élection du pape n'est pas une affaire "interne", mais "un choix qui concerne l'humanité entière".
"Aujourd'hui, le pape est l'une des rares personnalités véritablement mondiales, écoutée au-delà des frontières religieuses", estime-t-il.
Malgré les affirmations absurdes de Kasper, Corriere.it, qui sert la propagande des oligarques, ne le confronte pas à une seule question critique.
Image: © Mazur CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA