Selon les cardinaux du Dubia, "l'agenda homosexuel" est protégé au sein de l'Église par un "climat …
Une lettre ouverte aux présidents des conférences épiscopales a été publiée par les deux cardinaux du Dubia encore en vie, Mgrs Burke et Brandmüller. Leurs destinataires sont actuellement réunis …Plus
Une lettre ouverte aux présidents des conférences épiscopales a été publiée par les deux cardinaux du Dubia encore en vie, Mgrs Burke et Brandmüller.
Leurs destinataires sont actuellement réunis pour le sommet sur les abus du Vatican.
Les deux cardinaux avertissent que les abus cléricaux font "partie d'une crise beaucoup plus grave". Ils l'identifient comme "le fléau de l'agenda homosexuel" qui est protégé au sein de l'Eglise "par un climat de complicité".
Ils voient les racines de cela dans le relativisme moral qui nie l’existence d’une loi morale sans exception.
Corrigeant le pape François, ils précisent que la faute des agresseurs repose "sur l'éloignement de la vérité de l'Évangile" et non sur un "abus de pouvoir" que François qualifie de "cléricalisme".
#newsOefeijfecy
Leurs destinataires sont actuellement réunis pour le sommet sur les abus du Vatican.
Les deux cardinaux avertissent que les abus cléricaux font "partie d'une crise beaucoup plus grave". Ils l'identifient comme "le fléau de l'agenda homosexuel" qui est protégé au sein de l'Eglise "par un climat de complicité".
Ils voient les racines de cela dans le relativisme moral qui nie l’existence d’une loi morale sans exception.
Corrigeant le pape François, ils précisent que la faute des agresseurs repose "sur l'éloignement de la vérité de l'Évangile" et non sur un "abus de pouvoir" que François qualifie de "cléricalisme".
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@fr.news a écrit : " Corrigeant le pape François, ils précisent que la faute des agresseurs repose "sur l'éloignement de la vérité de l'Évangile" et non sur un "abus de pouvoir" que François qualifie de "cléricalisme". "
Les deux facteurs ne s'excluent pas l'un l'autre, quand bien même l'un des deux serait-il souvent prédominant. Le pape François semble certes focalisé sur le seul facteur de …Plus
@fr.news a écrit : " Corrigeant le pape François, ils précisent que la faute des agresseurs repose "sur l'éloignement de la vérité de l'Évangile" et non sur un "abus de pouvoir" que François qualifie de "cléricalisme". "
Les deux facteurs ne s'excluent pas l'un l'autre, quand bien même l'un des deux serait-il souvent prédominant. Le pape François semble certes focalisé sur le seul facteur de l'abus de pouvoir cléricaliste.
Les deux facteurs ne s'excluent pas l'un l'autre, quand bien même l'un des deux serait-il souvent prédominant. Le pape François semble certes focalisé sur le seul facteur de l'abus de pouvoir cléricaliste.
ne nous laissez pas succomber
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Et le relativisme moral est venu suite au concile Vatican II et c'est propagée dans le monde entier .