@stan48Bonsoir, et merci pour votre message, qui manifeste l'obscurcissement invincible de votre esprit. Si quelqu'un vous parle de l'Evangile de Vérité, cela devient donc pour vous une soupe instantanée ! Aucun commentaire n'est nécessaire.
Pour ce qui est du saint nom de Marie.Pour ce qui est des trois questions que je vous ai suggéré de vous poser, il est évident que vous ne vous les poserez pas, inutile d'insister.
Examinons le cas de l'un de vos mentors de prédilection, le cardinal Kasper, fer de lance de ce que vous regardez avec gourmandise comme "le renouveau de l'Eglise issu du dernier concile "Il obtint pourtant
un doctorat en théologie à l'université de Tübingen en 1961, fut
professeur de théologie dogmatique à la faculté théologique de Münster (de 1964 à 1970), dont il sera doyen, puis professeur de dogmatique à l'université de Tübingen (de 1970 à 1989).
Il est reconnu comme un théologien marquant dès son ouvrage intitulé « Jésus, le Christ » (1974, tr. fr. 1976).
Dans son livre « Jésus le Christ », il écrit, apertis verbis, que Jésus n’est pas le Fils de Dieu. Et cela dans le vrai sens, sens métaphysique et ontologique. Selon lui, en effet,
« cette confession de Jésus Christ Fils de Dieu… est accueillie aujourd’hui aussi avec une remarquable indifférence par plusieurs fidèles (sic!).Selon l’objection la plus courante, qui est la plus importante aussi, on se trouverait ici devant un résidu de mentalité mythique acceptée passivement »3.
Dans les Évangiles synoptiques –selon Kasper –
« Jésus ne se qualifie jamais comme Fils de Dieu. Une pareille énonciation dérive, donc, clairement de la confession de foi de l’Église ».
Qu’est-ce qu’il a fait, alors, Kasper de l’aveu de Pierre, à Césarée de Philippe: « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant »4, tout de suite sanctionnée par le Christ lui-même: «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car cette révélation t’est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux.»?..Et la réponse de Jésus: «
Oui, c’est moi », devant l’Haut Conseil,
pour Kasper, Jésus le dit parce qu’« il fut obligé à se déclarer Messie» !Et quand, après les Pâques, la communauté chrétienne avoue que Jésus est le Fils de Dieu,
Kasper ne Lui reconnaît pas “une dignité qui irait bien au-delà de ses prétentions”.En affirmant ensuite que “
dans l’école de saint Paul et dans les écrits de Saint Jean on arrive ainsi à un aveu explicite de la divinité de Jésus”, Kasper attribue la divinité de Jésus à une invention de saint Paul et de saint Jean.Et pour Kasper il n’y a pas de miracles dans l’Évangile.En effet, pour Lui, les « miracles » sont des « légendes », des « récits non historiques », ni ils constituent une épreuve de la divinité de Jésus Christ; au contraire, les miracles sont un problème qui rend plutôt bizarre et difficilement compréhensible pour l’homme moderne l’activité de Jésus ».
Pour en diminuer la valeur, ensuite, il écrit : «Du point de vue littéraire, on peut remarquer une tendance à amplifier et multiplier les miracles ».Et il continue: «Les récits miraculeux du Nouveau testament sont structurés de manière analogue à ceux que nous connaissons déjà dans l’antiquité »; «On a donc l’impression que le Nouveau Testament a enrichi la figure de Jésus de nombreux motifs extra-chrétiens, pour en souligner la grandeur et l’autorité ».
Et il continue à les démolir :«Quelques récits miraculeux se sont révélés, sous l’enquête de l’histoire des formes (?!) Comme des projections de l’expérience des Pâques sur la vie terraine de Jésus, ou comme des anticipations sur l’activité du Christ glorifié. Parmi ces histoires épiphaniques on doit compter, par exemple, le miracle de la tempête apaisée, la scène de la Transfiguration, le chemin sur les eaux, la multiplication des pains pour 4 -5.000 personnes, la pêche miraculeuse. Les récits du réveil de la fille de Jaïre, du jeune homme de Naim et de Lazare ne visent qu’à présenter Jésus comme Seigneur de la vie et sur la mort ».
Et il poursuit:«Beaucoup d’histoires miraculeuses que les Évangiles nous racontent doivent être considérées légendaires. Beaucoup de légendes doivent être analysées pas vraiment dans leur contenu historique mais dans leur contenu théologique», c’est-à-dire :«ces récits non historiques sont des énoncés de foi en le signifié sauveteur de la personne et du message de Jésus »5.
Incroyable! Ce fanfaron de la théologie moderne fait de tout l’Évangile une grande fourberie de l’histoire ! Et quoiqu’il admette que « Jésus a accompli des œuvres extraordinaires qui laissèrent stupéfiés ses contemporains », toutefois, il ajoute que cela
« a une importance plutôt relative », même parce que ces miracles » peuvent être interprétés comme une œuvre du diable aussi. En eux-mêmes, ils ne sont pas du tout si clairs, et ils ne fournissent pas nécessairement une preuve de la divinité de Jésus ».
Là aussi, il est évident que Kasper est contre la Tradition et contre le concile Vatican I qui décréta que « les miracles de Jésus sont des arguments très certains de la Divine Révélation et ils sont indiqués pour l’intelligence de tout le monde »6 (“Miracula divinae Revelationis signa sunt certissima per omnium intelligentiae accomodata”).Mais pour ce traître de la Foi, imbibé d’orgueil satanique, « le concept apologétique de miracle se révèle une formule vide”, parce que les miracles seraient sûrement vérifiables seulement au cas où nous serions en mesure de connaître complètement toutes les lois de la nature et de pénétrer jusqu’au bout tout cas particulier », donc ces mêmes difficultés et d’autres encore ont induit les théologiens (?) à dépasser en partie, ou complètement, le concept apologétique de miracle ».
Voilà un autre déraisonnement qui mérite encore l’autre anathème du Vatican 1 «
Si quelqu’un dira que les miracles ne sont pas possibles et que, pour cela, tous les récits miraculeux contenus dans l’Écriture sainte doivent être relégués parmi les légendes et les mythes, ou que les miracles ne peuvent jamais être connus avec certitude, ni qu’avec eux on peut dûment démontrer l’origine divine de la religion chrétienne, qu’il soit excommunié ! »7.En plus, pour Kasper il n’y a pas eu de résurrection corporelle de Jésus.
En effet, il écrit :«Quand on parle de Jésus ressuscité, on pense presque spontanément aux tableaux de Matthias Grünewald, où nous observons un Christ qui sort transfigurer du tombeau. Mais il suffit de jeter un coup d’œil rapide sur la donnée de la Tradition du Nouveau Testament pour se rendre compte qu’un pareil tableau ne reflète pas du tout le déroulement réel des faits »8Et il continue:«Les énoncés de la Tradition néotestamentaire de la résurrection de Jésus ne sont pas du tout neutres: ce sont des aveux et des témoignages produits par des gens qui croient ».
Et il poursuit avec morgue que:
« nous devons supposer qu’il ne s’agit pas d’aperçus historiques mais seulement d’artifices stylistiques mijotés pour attirer l’attention et créer de la suspense ».
Et il continue encore: «Ce sur quoi on veut attirer l’attention n’est pas le tombeau vide; on annonce la résurrection, et le tombeau est considéré seulement comme un signe de cette foi »… De toute façon,
«La Révélation d’un noyau historique, présent dans les récits du tombeau vide, ne constitue pas, bien sûr, une preuve de la résurrection ».
« Le tombeau vide représente un phénomène ambigu, ouvert à de différentes possibilités d’interprétations ».Un tel déraisonnement peut valoir pour des idiots, non parce qu’il sait qu’ « objectivement » tout s’est passé comme çà, mais parce qu’il sait que Jésus est vraiment Dieu. Donc cette défaillance mentale de Kasper ne peut que tomber, là aussi, dans l’autre anathème du Vatican I
«Si quelqu’un dira que la Révélation divine ne peut pas être rendue croyable par des signes extérieurs, et que donc les hommes ne doivent être conduits à la foi que par la seule expérience intérieure, ou inspiration privée, qu’il soit excommunié ! »9.Mais il n’y eut pas d’Ascension de Christ au ciel, pour Kasper, comme il n’y eut pas d’apparitions.
Pour Lui, Christ n’est jamais monté au ciel parce qu’il n’en était jamais descendu.«Ces nuages qui cachent Jésus au regard de ses disciples béants, donc, ne sont pas un phénomène météorologique, mais un symbole théologique ».
DOCTEUR EN THEOLOGIE !!!
![🤮](/emoji/f09fa4ae)
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J'aurais eu envie de vous dire : " BONNE FÊTE DE L'ASCENSION ! " Mais vu à qui vous prêtez confiance, stan, je doute que cela changerait grand chose pour vous.
Il est impensable que sainte Thérèse d'Avila, qui rejetait comme la peste tout ce qui déviait un tant soit peu de l'Evangile, serait allé consulter Kasper pour lui demander son avis sur quoi que ce soit. elle aurait vu la déviation évidente du torchon d'Amsterdam, et l'aurait aussitôt brûlé.« Quand à la moindre parole, dit-elle, qui ne serait pas absolument conforme à la Sainte Écriture, vous n’en ferez pas plus de cas que si vous l’entendiez de la bouche même du démon. »replay :« Quand/Quand/Quand/Quand/Quand à la moindre parole, dit-elle, qui ne serait pas absolument conforme à la Sainte Écriture, vous n’en ferez pas plus de cas que si vous l’entendiez de la bouche même du démon. »Mgr Punt n'a pas fait preuve de la moindre humilité en se faisant l'écho de Mgr Ito ayant autoproclamé valide les manifestations d'Amsterdam, bafouant ainsi l'avis manifeste de l'Eglise.aveclimmaculee.blogspot.ro/…/i-que-penser-de…" (...) Donc Mgr Ito, dit en fait que l'approbation qu'il a donnée aux faits d'Akita, montre que Dieu approuve Amsterdam... Cela revient à dire : Moi, Mgr Ito, je déclare que Dieu approuve l'apparition Notre-Dame de tous les peuples d'Amsterdam puisqu'il a approuvé Akita par ma voix... …