gloriatvfree
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655 bébés sauvés de l'avortement. Dr. Luc Perrel, président de "Laissez les vivre, SOS futures mères", Nancy, Wilfried Wuermeling secrétaire général de l'UNEC (Union des Nations de l'Europe Chrétienne …Plus
655 bébés sauvés de l'avortement.
Dr. Luc Perrel, président de "Laissez les vivre, SOS futures mères",
Nancy,
Wilfried Wuermeling secrétaire général de l'UNEC (Union des Nations de l'Europe Chrétienne), président de SOS-Mamans, AMEN (Arrêtons le Massacre des Enfants à Naître)
0134120268
amen-net@orange.fr
Père Guy Pagès
Foyer El Paso Nanterre (92) www.facebook.com/groups/435602795547 01 47 47 97 60 Onze adresses d’accueil pour femmes enceintes: www.famillechretienne.fr/…/onze-adresses-d… Libre Journal Lumière de l’espérance Radio Courtoisie (Jean-Pierre Dickès, absent) (dimanche 5 août 2012) www.radio-silence.org/menuINT.html www.radio-silence.org/Sons/2012/INT/int20120805.mp3 http://youtu.be/LNE0mSIBs4Q
fr.sourire
A diffuser également autour de nous :
NEUVAINE DE NOËL POUR LES FAMILLES ET LA FRANCE , du 24 décembre au 1er janvier, à faire prier spécialement par les enfants, et à faire circuler largement autour de nous !
La situation est grave pour la société française. Tournons-nous vers Marie, patronne principale de la France. En 1947, la France était « foutue », dis le père Finet à Marthe Robin à …
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A diffuser également autour de nous :

NEUVAINE DE NOËL POUR LES FAMILLES ET LA FRANCE , du 24 décembre au 1er janvier, à faire prier spécialement par les enfants, et à faire circuler largement autour de nous !

La situation est grave pour la société française. Tournons-nous vers Marie, patronne principale de la France. En 1947, la France était « foutue », dis le père Finet à Marthe Robin à Chateauneuf de Galaure. « Non, la France sera sauvée à la prière des petits enfants. » lui répond-elle. Si la tempête se lève, regarde l’Étoile Marie ! (St Bernard)

Décembre 1947, à l'Ile-Bouchard, quatre fillettes témoignent voir « une belle dame » dans l'église. Elle leur demande de prier pour la France alors en grand danger, et promet du bonheur dans les familles.
La neuvaine consiste à :
- Réciter trois Je vous salue Marie par jour : un pour les enfants, un pour les Mamans, un pour les Papas ;
- On peut ajouter après les trois Je vous salue Marie l'invocation de la rue du Bac : « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous ! » ;
- Le dimanche 30 décembre, fête de la Sainte Famille, on peut ajouter une prière au choix de chaque famille ;
- Le mardi 1er janvier, ajouter un Magnificat.

Retrouvez toutes ces informations ICI et aussi sur le site Du bonheur dans les familles : www.dubonheurdanslesfamilles.com
Jésus est Dieu
A FAIRE CIRCULER !!!
Le Cardinal Barbarin appelle à un jour de jeûne avant Noël
Dans la basilique de Fourvière à la messe des jeunes célébrée par le Cardinal pour la fête de l'Immaculée Conception, le Cardinal s'est adressé aux jeunes en leur disant qu'il avait une demande grave à leur faire. (Ce sont ses propres mots). Après leur avoir conseillé comme tous les ans de se tourner vers le pardon …Plus
A FAIRE CIRCULER !!!

Le Cardinal Barbarin appelle à un jour de jeûne avant Noël

Dans la basilique de Fourvière à la messe des jeunes célébrée par le Cardinal pour la fête de l'Immaculée Conception, le Cardinal s'est adressé aux jeunes en leur disant qu'il avait une demande grave à leur faire. (Ce sont ses propres mots). Après leur avoir conseillé comme tous les ans de se tourner vers le pardon de Dieu dans le sacrement de réconciliation, il leur a demandé à chacun d'observer une journée de jeûne, avant Noël, afin que la loi sur le mariage pour tous ne passe pas…
Il a redit à chacun l'importance de parler, de s'engager, de manifester et a rappelé que nous devons, avant tout, prier quotidiennement pour cela et que dans l'évangile, Jésus nous demande de prier et de jeûner (dans le secret et en se parfumant la tête). Un grand recueillement a suivi cette demande grave.
Le Cardinal, qui avait reçu cette intuition dans la prière les jours précédents, nous encourage à diffuser sa demande au-delà des jeunes.
www.fssp.fr/index.php
Kénose
Merci pour ce partage en nous faisant part de votre expérience dvdenise. De cœur et de prière avec vous pour toutes les femmes. Merci, pour cette association qui ne peut que nous toucher et merci à tous ses intervenants lors de cette émission. Comme il a été dit, en quelque sorte, ce sont aussi les hommes qui avortent. En effet, ce n’est pas seulement aux femmes d’attendre et d’accueillir …Plus
Merci pour ce partage en nous faisant part de votre expérience dvdenise. De cœur et de prière avec vous pour toutes les femmes. Merci, pour cette association qui ne peut que nous toucher et merci à tous ses intervenants lors de cette émission. Comme il a été dit, en quelque sorte, ce sont aussi les hommes qui avortent. En effet, ce n’est pas seulement aux femmes d’attendre et d’accueillir l’enfant. Un enfant cela s'espère ensemble, se «désire», s’appelle, se reçoit, s’accueille en chœur -comme nous étant donné tout en y prenant part.

Récemment encore une jeune fille de 19 ans enceinte est venue me demander : «dois-je le garder ?». Comme je pars du postulat que le Seigneur nous précède chez l’autre, qu’il y a du «déjà là» de sa part, j’ai simplement demandé dans la foulé de sa question- en faisant un peu l’idiot (à toutes fins utiles) : «le garder, c’est-à-dire, garder quoi, je ne comprends pas ?!». Elle s’est écriée dans cette même foulée : «ben mon enfant ! ». – j’ai repris : «Ton enfant ! Quel enfant. Tu es une mère qui me demande si tu dois garder ton enfant, c’est cela ! ?». A cette question, elle a su alors quelle réponse elle portait déjà en elle. C’est de cette réponse aussi qu’il faut accoucher. Permettre à l’autre de poser sa propre question comme de posée sa propre décision, car souvent, c’est l’entourage qui en a décidé a sa place dans un tourbillon de personnes et d'avis fusionnels. Mais, l'on porte en soi, une parole singulière, comme l’on porte un enfant singulier.

Un mois d’été en 1990, je me suis retrouvé en train de me battre avec un type qui dans la rue la nuit martelait de coup de pied le ventre d’une aussi jeune fille pour la faire avorter de force en provoquant la perte de l’enfant. Effectivement, hormis les «problèmes matériels» l’enfant parait toujours dans une histoire qui le précède et dans laquelle d’autres que la mère voudraient que ne paraisse pas cette enfant et exercent dans ce sens -bien des pressions souvent violentes, verbales ou physiques.

Étant un enfant adultérin, m’a mère s’est vu chasser de sa famille et de ses proches très catholiques, se retrouvant enceinte et a la rue avec en son sein, le fruit de son pécher à ses yeux et à ceux des autres. C’est donc d’une pierre deux coups, par le suicide, que ma mère s’est jetée sous un tramway pour en finir avec elle comme avec moi-même, (l’avortement n’étant pas à sa portée dans l’année 60). Je suis donc moi-même issue d’un avortement qui a échoué in extrémiste, en quelque sorte. Même si j’ai dû être placé après ma naissance, il a fallu beaucoup de courage, de «virilité féminine» et d’accueil de la grâce certainement -à cette femme, pour consentir seule, livrée qu’a elle-même dans la rue, à accueillir en dépit de tout et de tous, cet enfant que je fus. 🙏
Jésus est Dieu
« À partir des années 1970, Marthe Robin se trouva de plus en plus confrontée à la question de l’avortement. Elle était très sensible à cette question. Quand on lui expliqua qu’à Lyon un grand hôpital avait équipé tout un étage pour pratiquer les avortements, elle dit : "C’est un vrai abattoir… On s’indignera devant tous ces morts à la guerre et on laisse massacrer ces petits innocents. Va …Plus
« À partir des années 1970, Marthe Robin se trouva de plus en plus confrontée à la question de l’avortement. Elle était très sensible à cette question. Quand on lui expliqua qu’à Lyon un grand hôpital avait équipé tout un étage pour pratiquer les avortements, elle dit : "C’est un vrai abattoir… On s’indignera devant tous ces morts à la guerre et on laisse massacrer ces petits innocents. Va-t-on trouver cela normal ? Non ! On ne peut pas trouver cela normal… Et ils souffrent, ces petits." Elle pensait aussi beaucoup aux parents des enfants avortés, et elle croyait qu’au Ciel ces enfants priaient pour eux : "Mon Père, ces enfants, ce sont les sauveurs de leurs parents." Même au sein de l’injustice la plus grande, elle conservait l’espérance. » (Bernard Peyrous, Vie de Marthe Robin, Paris, Éditions de l’Emmanuel, 2006, pp. 266-267)
blanche52
@dvdenise : il faut bien situer les propos de l'abbé : il pense à une jeune fille qui regrettait son avortement, mais qui refusait le pardon du Seigneur dans le sacrement, pour ne pas s'engager à mener une vie pure. C'est bien gentil de dire : "je ne me le pardonnerai jamais", mais ça ne vous fait pas rentrer en amitié avec Dieu ! il ne faut pas refuser la grâce des sacrements !
Il est bien clair …Plus
@dvdenise : il faut bien situer les propos de l'abbé : il pense à une jeune fille qui regrettait son avortement, mais qui refusait le pardon du Seigneur dans le sacrement, pour ne pas s'engager à mener une vie pure. C'est bien gentil de dire : "je ne me le pardonnerai jamais", mais ça ne vous fait pas rentrer en amitié avec Dieu ! il ne faut pas refuser la grâce des sacrements !
Il est bien clair pour lui (cf, son propre témoignage en video) qu'on peut être relevé de ses péchés ... encore faut-il le vouloir ! 🤗
dvdenise
WO!Monsieur l'abbé, si vous me permettez de vous donner mon expérience.
Je suis une mamie de 60 ans qui a vécu l'avortement d'une de ses filles et je peux vous dire que j'étais entrain de mourir avec elle et ce n'est pas du tout une farce.
J'ai clairement senti le bébé qui sortait de moi. Incroyable me direz-vous, eh oui, et l'infirmière me l'a bien dit en me donnant des claques dans le visage …Plus
WO!Monsieur l'abbé, si vous me permettez de vous donner mon expérience.
Je suis une mamie de 60 ans qui a vécu l'avortement d'une de ses filles et je peux vous dire que j'étais entrain de mourir avec elle et ce n'est pas du tout une farce.

J'ai clairement senti le bébé qui sortait de moi. Incroyable me direz-vous, eh oui, et l'infirmière me l'a bien dit en me donnant des claques dans le visage; elle me disait vous êtes verte, prenez sur vous.
C'est des années plus tard que j'ai compris et j'ai demandé à Dieu de me pardonner d'avoir laisser faire, car à ce moment là, je ne pouvais rien faire. j'ai beaucoup pleuré et j'ai vu défiler un livre devant moi et j'ai su à ce moment-là que j'étais pardonné et la paix m'a envahi.
Monsieur l'Abbé, Soyex certain que Tout est possible à Dieu et Dieu pardonne tout si on le regrette et d'ailleurs, il nous permet de comprendre. DIEU EST MISÉRICORDIEUX et Sainte Faustine nous a très clairement expliquer cela quand elle a fait peindre son image avec l'inscription: JÉSUS, J'AI CONFIANCE EN TOI.

Autre expérience que moi-même j'ai vécu. Au début de ma rencontre avec mon futur mari, j'étais enceinte mais il ne le savait pas. Moi j'étais heureuse de l'être mais lui, il me disait qu'il ne voulait rien savoir d'avoir un enfant tout de suite. Et sans m'en rendre compte, j'ai fait une fausse couche; c'était très douloureux pendant qq jours et c'est le docteur qui m'a dit que j'avais perdu un bébé et m'a donné des médicaments pour la douleur. (Dans le fond de mon coeur, je sais que mon enfant le savait et c'est pour ça qu'il n'a pas voulu de ce père qui le rejetait) Et d'ailleurs dans un rêve, j'ai vu s'écrire des lettres dans ma main KEVIN. Ça devait être son nom, mais je ne m'en fait pas car il est aimé de Dieu maintenant, ce petit qui devait naître.

Je suis une mamie de 60 ans avec 2 belles filles et 4 beaux petits enfants et si j'avais un conseil à donner à une jeune fille ou une maman aujourd'hui JE LUI DIRAIS: Fais ce que ton coeur te dit, garde-le. Car il n'y a aucune femme au monde qui veut tuer son petit bébé, ce n'est que son environnement qui l'en persuade.

Que Dieu vous bénisse et vous garde. xxx 😉