Le cardinal Parolin a proposé au camp adverse d'annuler Traditionis Custodes et Fiducia Supplicans
- Certains cardinaux auraient aimé avoir plus de temps pour les discours, étant donné le nombre sans précédent de cardinaux électeurs (135) qui ne se connaissent pas.
- L'ordre des discours a été manipulé, certains cardinaux se plaignant d'avoir été "oubliés". Les discours ont également été réduits de 10 à 5 minutes.
- Cette précipitation sert surtout à dissimuler les graves défauts du cardinal Parolin et à empêcher un examen plus approfondi de son parcours et de ses idées.
- Parolin peut actuellement compter sur les votes des partisans de la continuité avec François, au maximum soixante-dix. Il a besoin du soutien d'une vingtaine de cardinaux du camp adverse.
- Au cours des dernières heures, il a été question d'un accord avec ceux qui étaient prêts à voter pour le cardinal hongrois Peter Erdo en tant que premier candidat. C'est le cardinal Parolin lui-même qui a approché certains de ses collègues cardinaux, promettant d'annuler Traditionis Custodes (la chasse aux sorcières contre l'ancien rite) et Fiducia Supplicans (la "bénédiction" des concubins homosexuels) en échange de leurs votes [bien qu'il soit clair qu'il ne tiendrait pas sa promesse une fois élu pape].
- Parolin n'a aucune expérience pastorale. Il a toujours occupé des postes diplomatiques.
- Il a échoué dans la gestion de la Secrétairerie d'État.
- L'accord secret entre le Saint-Siège et la Chine était censé garantir au Saint-Siège le droit de nommer des évêques dans les dizaines de diocèses qui n'avaient pas été découverts. Jusqu'à présent, il n'a fait qu'aggraver la situation des catholiques chinois. En plus de six ans, il n'y a eu qu'une dizaine de nominations épiscopales, et il est devenu clair qu'il s'agissait de nominations faites par le parti communiste, auxquelles le pape a donné son accord, de gré ou de force.
Image: © Mazur, CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA