Stop à la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté pour les citoyens vulnérables !
Un projet de loi sur la fin de vie a été présenté au Conseil des ministres le mercredi 17 avril et en mai, notre gouvernement dévoilera son plan inquiétant qui implique une aide active à mourir, y compris l'euthanasie et le suicide assisté.
Le fait qu'Emmanuel Macron l'appelle "aide à mourir" a le mérite de couvrir à la fois l'euthanasie et le suicide assisté, tout en présentant le projet de loi à travers le prisme de la "solidarité".
Le texte vise à offrir "un soutien global de la société à travers la solidarité et la fraternité pour les personnes qui sont sur le point de mourir", souligne l'Élysée, nous rappelant que cela crée "ni un droit ni une liberté". "La société offre de la solidarité aux personnes en fin de vie, qui doivent être aidées jusqu'au bout".
De plus, cela ne s'appliquerait qu'à ceux condamnés à moyen terme.
Mais que signifie moyen terme quand la maladie évolue différemment chez chaque personne ?
Les professionnels de santé, notamment en soins palliatifs, pensent que nous devrions d'abord nous concentrer sur le développement de ce type de soins, qui n'est pas encore largement disponible en France, pour s'assurer que les patients ne demandent pas à mourir parce qu'ils ne trouvent pas les soins appropriés pour leurs derniers jours.
Le gouvernement nous a promis une "stratégie décennale" pour les soins palliatifs, et la dernière annonce de la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, semble le confirmer. Mais n'oublions pas que cela se déroulera en parallèle du projet "d'aide à mourir", et ne le remplacera pas. Pourquoi soudainement, maintenant, après des années d'attente pour les patients ?
Le gouvernement nous assure également que ce projet de loi controversé n'inclut pas les moins de 18 ans... pour l'instant.
C'est un chemin sombre que d'autres ont emprunté avant, menant à des conséquences inexprimables. Les pays qui ont adopté cette politique terrifiante ont vu l'inimaginable devenir la norme.
Nous savons que le gouvernement favorisera l'euthanasie et le suicide assisté à moins que nous ne fassions entendre notre voix. Le silence est un consentement, et nous ne pouvons pas y consentir !
Selon l'Organisation mondiale de la Santé, environ 1 million de personnes se suicident chaque année. Si l'euthanasie et le suicide assisté étaient légalisés, le nombre de décès dus à ces pratiques pourrait doubler ou tripler. De plus, cela faciliterait l'élimination des personnes atteintes de maladies incurables ou chroniques sans chercher de remède ou de traitement.
Nous devons laisser en héritage un monde dans lequel chaque vie est précieuse, où tuer n'est PAS universellement accepté.
