"Je pense que vous avez tort" : Le Vatican défend Rupnik au nom de François
C'est ce qu'a déclaré le chef du dicastère, Paolo Ruffini, lors d'une conférence de presse le 21 juin (AmericaMagazine.org). Il est clair que ces propos sont basés sur des ordres directs de François.
Pas plus tard que le 7 juin ( !), le dicastère a inclus une photo de Rupnik pour illustrer un article sur le Sacré-Cœur.
Ruffini a inventé qu'il y avait aussi une raison "chrétienne" pour ne pas enlever l'œuvre d'art. Il a fait allusion à l'enseignement de Jésus sur la nécessité de ne pas juger les autres. "Qui suis-je pour juger ? a-t-il demandé de manière rhétorique. "Nous devons prier pour ceux qui jugent" (comme s'ils étaient le problème dans ce cas).
"Je ne pense pas qu'il faille jeter des pierres et penser que c'est le moyen de guérir quelqu'un" - alors que François juge les catholiques et leur jette des pierres tout le temps.
M. Ruffini estime que "supprimer, effacer, détruire l'art n'est jamais un bon choix".
Il a ajouté que la Curie jésuite n'avait pas retiré l'œuvre de M. Rupnik de sa chapelle.
Enfin, M. Rupnik a demandé à la journaliste Paulina Guzik si elle pensait que retirer l'œuvre de M. Rupnik du site web signifierait être "proche des victimes", ce à quoi elle a répondu par l'affirmative. Ruffini : "Vraiment ? Vous pensez que c'est le cas ? Je pense que vous avez tort.
Rupnik a été reconnu coupable d'avoir forniqué avec des sœurs et d'avoir absous l'un de ses complices en confession, un crime passible d'excommunication. Mais l'excommunication a été levée par François dans les semaines qui ont suivi.
Le Dicastère pour la destruction de la foi a rouvert le dossier pour apaiser les médias des oligarques sans aucune intention de le poursuivre.
Le père Rupnik a été accusé d'abus sexuels et spirituels par des dizaines de sœurs de la communauté de Loyola. L'une d'entre elles a déclaré qu'il avait abusé de 41 membres. Un homme aurait fait partie de ses partenaires sexuels.
Il reste prêtre en règle dans un diocèse de sa Slovénie natale, où il a été réintégré par l'évêque local.
Traduction de l'IA
