Méthode anglicane : François se dirige vers l'abîme
• En 1841, un évêché commun aux anglicans, luthériens et calvinistes est établi à Jérusalem, provoquant un grand scandale et poussant John Henry Newman à se convertir.
• En 1847, le révérend Gorham est nommé à la paroisse de Brampford Speke bien qu'il nie que le baptême confère la grâce sanctifiante. Cela a poussé Henry Manning, Robert Wilberforce et James Hope, membre de la Chambre des Lords, à se convertir.
• En 1913, les diocèses anglicans de Mombasa et d'Ouganda ont concélébré avec les protestants de Kikuyo. Cela a conduit Ronald Knox, un prêtre anglican, à se convertir.
• En 1947, l'évêque anglican de Birmingham, Ernest Barnes, remet en question la virginité de Marie, la résurrection de Jésus et encourage le contrôle des naissances. Le prêtre écossais Onich MacFarlene-Barrow, devenu catholique par la suite, a demandé s'il était possible d'être en communion avec un évêque blasphémateur.
• Caminante remarque que le groupe Novus Ordo actuel promeut ce que les anglicans promouvaient il y a 100 ans : l'homosexualisme (François), la négation de la virginité de la Vierge et de la résurrection du Christ, la communion oecuménique (François).
• Les anglicans d'aujourd'hui sont une structure vide, entretenue par l'État avec une fonction décorative, une foi vide et des temples vides. Le même sort attend l'Église de François.
Image: © Mazur/catholicnews.org.uk , CC BY-NC-ND, #newsWscdqokyvd
