"...L'analogie avec Louis XVI ne vaut pas..." (sic !) : C'est Notre-Seigneur Lui-même, en Personne, le Roi des rois, qui, le premier, utilise cette "analogie"; cet argument d'Autorité (et quelle Autorité !!!) est donc amplement suffisant pour clore toute discussion ! : de fait, dans une lettre de soeur Lucie dos Santos à son Evêque, datée du 29/08/1931, confirmée par une lettre ultérieure, puis …Plus
"...L'analogie avec Louis XVI ne vaut pas..." (sic !) : C'est Notre-Seigneur Lui-même, en Personne, le Roi des rois, qui, le premier, utilise cette "analogie"; cet argument d'Autorité (et quelle Autorité !!!) est donc amplement suffisant pour clore toute discussion ! : de fait, dans une lettre de soeur Lucie dos Santos à son Evêque, datée du 29/08/1931, confirmée par une lettre ultérieure, puis de vive voix dans un entretien plus tardif, la confidente de Notre-Dame de Fatima rapporte ces Paroles terribles qu'elle a entendues de Notre-Seigneur : "...Fais savoir à mes ministres (les Papes), étant donné qu'ils suivent l'exemple du Roi de France en retardant l'exécution de ma demande, qu'ils le suivront dans le malheur. Jamais, il ne sera trop tard pour recourir à Jésus et Marie."
Ensuite, il est plus que jamais nécessaire et urgent de faire la part des lettres, des critiques ou des accusations légitimes, même graves, qui peuvent être adressées au Saint Père actuel et celle des scandaleuses calomnies, des délires ou des méchancetés sans fondement ajoutées à ces légitimes lettres, critiques ou accusations !
Enfin, ce n'est pas le duc d'Orléans qui était en 1789 le Chef d'Etat, le "Lieutenant du Christ"; ce n'est pas le duc d'Orléans qui a avalisé le monstrueux coup d'état de juin 1789, acceptant que NSJC soit découronné; ce n'est pas non plus le duc d'Orléans qui a été le premier chef d'état au monde a accepter et à promulguer l'abominable et diabolique "Déclaration des Droits de l'Homme" en août 1789 etc... etc... jusqu'au Testament de Louis XVI où, à la veille de sa mort, il n'a même pas conscience de ses prévarications, préférant s'accuser de fautes secondaires sans rapport avec sa responsabilité majeure dans le drame de la Révolution !