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François semble rejeter les critiques formulées par le cardinal Burke

Il n'y a pas de place pour l'idéologie dans le synode sur la synodalité, a déclaré François sans détour lors de sa conférence de presse en vol sur le chemin de Rome (4 septembre).

Les personnes présentes ont eu la gentillesse de ne pas rire. L'objectif de ce synode est de "discuter [= remettre en question] la doctrine" et d'"avancer" [dans l'abîme].

François a ouvertement menti en disant que que son synode suit la "réalité ancienne" des Églises orientales alors que les synodes orientaux ne sont pas composés de laïcs.

Interrogé sur un livre récent, soutenu par le cardinal Burke, selon lequel le synode est une boîte de Pandore, François a lancé une attaque ad hominem en affirmant qu'"ils" défendent la doctrine catholique "comme de l'eau distillée, qui n'a pas de goût et n'est pas la vraie doctrine catholique".

Bien que la Chine ait violé à deux reprises son accord avec le Vatican, François a prétendu que "la relation avec la Chine est très respectueuse, très respectueuse". Là encore, personne n'a ri.

Concernant ses remarques sur la Russie, François a déclaré qu'il n'était "pas approprié" d'invoquer les "impérialistes" Pierre Ier et Catherine II [= une Allemande] et qu'ils lui étaient venus à l'esprit "parce que je les avais étudiés à l'école".

Il a poursuivi en projetant que "dans l'Église aussi, nous devons faire la distinction entre doctrine et idéologie : la vraie doctrine n'est jamais idéologique, jamais". Alors pourquoi François est-il un tel idéologue ?

Pour François, la doctrine est "enracinée dans le saint peuple fidèle de Dieu", qu'il méprise ouvertement, outre le fait que la doctrine est enracinée dans la Révélation.

Il insiste sur le fait que "l'idéologie est séparée de la réalité, séparée du peuple". Mais qui décide de ce qu'est la "réalité" et de ce qu'est le "peuple" ?

Image: Vatican Media, #newsDehlmetabo

Etienne bis
N'attendez pas Mgr : li caudillo Imbroglio n'est qu'on bourreu de craques.