Le caudillo Bergoglio passe outre à une foultitude de "contraintes" qu'il devrait respecter, c'est bien pourquoi la question se pose de savoir s'il a été validement désigné à la fonction qu'il prétend exercer.
Aussi longtemps qu'une enquête sérieuse n'aura pas été menée sur cette validité, depuis le conclave qui désigna Benoît XVI jusqu'à nos jours, permettez qu'on refuse d'agréer la désignation dont le caudillo prétend bénéficier.

Personnellement, j'ignore tout des moeurs supposées de "saint" Paul VI et mes accusations ou mes critiques portent uniquement sur sa doctrine et sa praxis. En revanche j'ai connu personnellement l'abbé de Nantes qui portait ces accusations d'une exceptionnelle gravité; je crois me rappeler que l'abbé de Nantes était à Rome au moment de l'élection de Montini; s'entretenant au Vatican avec un prince de l'Église et lui faisant part de ses craintes que Montini puisse accéder au Trône pontifical, le prélat lui répondit à peu près : "c'est impossible, à cause de ses moeurs, connues de beaucoup !" Et pourtant Montini fut élu... L'abbé de Nantes me dit un jour : "Jean-Paul II est hérétique; c'est un gnostique. Mais Paul VI c'est un peu différent : on le fait chanter..." Une autre personne, père d'une religieuse carmélite, monsieur pour moi au dessus de tout soupçon, a porté les mêmes accusations sur les moeurs de Paul VI. Et je serais donc plutôt porté à ajouter foi aux accusations de ce monsieur comme à celles de l'abbé de Nantes, car ni l'un ni l'autre n'ignorait évidemment que le fait de porter à la légère ou de colporter une telle accusation sans preuve certaine sur une personne revêtue d'une telle charge met très gravement en péril votre éternité : le péché mortel est alors certain ! En revanche, si ces faits sont avérés, il est criminel et monstrueux d'avoir fait monter un tel personnage sur le Trône de Saint-Pierre, car un tel "secret" ferait le bonheur de pires ennemis d'une Église tenue en laisse par un abominable chantage. Et cela pourrait expliquer beaucoup des comportements, des discours et de tolérance de ces abominations ("Qui suis-je pour juger ?" etc...) que nous avons subis depuis les années 60.