Cardinal Müller : Les fascistes de gauche veulent dire aux gens ce qu'ils doivent penser

La réaction névrotique obsessionnelle des idéologues anti-discussion à la Conférence nationale sur le conservatisme (NatCon) qui s'est tenue à Bruxelles les 16 et 17 avril était prévisible, écrit le cardinal Müller dans une déclaration du 18 avril.

"Les militants fascistes de gauche ont accueilli avec enthousiasme la privation du droit fondamental à la liberté de réunion des organisateurs, en grande partie juifs".

Le cardinal Müller condamne l'instrumentalisation illégale de la police et écrit que le maire local, responsable de la répression, est accusé d'avoir des liens avec des groupes terroristes en Turquie.

Le cardinal met en garde contre les "idéologues fascistes, national-socialistes, communistes, sexistes (= anti-mariage et anti-famille) et infanticides (= pro-avortement) qui veulent dicter à tous les habitants du territoire qu'ils gouvernent ce qu'ils doivent penser, ce qu'ils doivent manger ou comment ils doivent s'exprimer et s'habiller".

Ce que Müller ne dit pas : Sans l'intervention de la police, la conférence NatCon n'aurait guère été remarquée.

Traduction de l'IA
Catholique et Français
Rien à fo.tre de ces accusations qu'ils se lancent comme des mégères ! Moi, je ne suis ni "de droite" ni "de gauche" ni "du centre" ni d'"extrême droite" ou d'"extrême gauche" dans ce bocal putride dont aucune de ces mouches à me.de ne peut ni ne veut sortir, dans ce "jeu" démocratique dont les règles ont été établies par satan : je suis catholique, en dehors de ce jeu vicieux, truqué et …Plus
Rien à fo.tre de ces accusations qu'ils se lancent comme des mégères ! Moi, je ne suis ni "de droite" ni "de gauche" ni "du centre" ni d'"extrême droite" ou d'"extrême gauche" dans ce bocal putride dont aucune de ces mouches à me.de ne peut ni ne veut sortir, dans ce "jeu" démocratique dont les règles ont été établies par satan : je suis catholique, en dehors de ce jeu vicieux, truqué et monstrueux, en dehors de cette Démocratie Maçonnique dont ne peut mathématiquement, infailliblement, sortir que le pire. Vive le Christ-Roi qui nous libèrera !
Etienne bis
La chape de plomb qui interdit toute idée de dissidence est particulièrement épaisse et lourde dans la Belgique officielle. 😭
Arthur De la Baure
Comme les fascistes de droite ! De l'idolâtrie politique, delivrez-nous Seigneur !
PREMIER LIVRE DE SAMUEL chapitre 8
01 Quand Samuel fut devenu vieux, il établit ses fils juges en Israël.
02 Son fils aîné s’appelait Joël, et le second, Abiya ; ils jugeaient à Bershéba.
03 Mais ses fils ne marchèrent pas sur ses traces. Attirés par le gain, ils acceptèrent des cadeaux et firent dévier le droit. …Plus
Comme les fascistes de droite ! De l'idolâtrie politique, delivrez-nous Seigneur !

PREMIER LIVRE DE SAMUEL chapitre 8

01 Quand Samuel fut devenu vieux, il établit ses fils juges en Israël.

02 Son fils aîné s’appelait Joël, et le second, Abiya ; ils jugeaient à Bershéba.

03 Mais ses fils ne marchèrent pas sur ses traces. Attirés par le gain, ils acceptèrent des cadeaux et firent dévier le droit.

04 Tous les anciens d’Israël se réunirent et vinrent trouver Samuel à Rama.

05 Ils lui dirent : « Tu es devenu vieux, et tes fils ne marchent pas sur tes traces. Maintenant donc, établis, pour nous gouverner, un roi comme en ont toutes les nations. »

06 Samuel fut mécontent parce qu’ils avaient dit : « Donne-nous un roi pour nous gouverner », et il se mit à prier le Seigneur.

07 Or, le Seigneur lui répondit : « Écoute la voix du peuple en tout ce qu’ils te diront. Ce n’est pas toi qu’ils rejettent, c’est moi qu’ils rejettent : ils ne veulent pas que je règne sur eux.

08 Tout comme ils ont agi depuis le jour où je les ai fait monter d’Égypte jusqu’à aujourd’hui, m’abandonnant pour servir d’autres dieux, de même agissent-ils envers toi.

09 Maintenant donc, écoute leur voix, mais avertis-les solennellement et fais-leur connaître les droits du roi qui régnera sur eux. »

10 Samuel rapporta toutes les paroles du Seigneur au peuple qui lui demandait un roi.

11 Et il dit : « Tels seront les droits du roi qui va régner sur vous. Vos fils, il les prendra, il les affectera à ses chars et à ses chevaux, et ils courront devant son char.

12 Il les utilisera comme officiers de millier et comme officiers de cinquante hommes ; il les fera labourer et moissonner à son profit, fabriquer ses armes de guerre et les pièces de ses chars.

13 Vos filles, il les prendra pour la préparation de ses parfums, pour sa cuisine et pour sa boulangerie.

14 Les meilleurs de vos champs, de vos vignes et de vos oliveraies, il les prendra pour les donner à ses serviteurs.

15 Sur vos cultures et vos vignes il prélèvera la dîme, pour la donner à ses dignitaires et à ses serviteurs.

16 Les meilleurs de vos serviteurs, de vos servantes et de vos jeunes gens, ainsi que vos ânes, il les prendra et les fera travailler pour lui.

17 Sur vos troupeaux, il prélèvera la dîme, et vous-mêmes deviendrez ses esclaves.

18 Ce jour-là, vous pousserez des cris à cause du roi que vous aurez choisi, mais, ce jour-là, le Seigneur ne vous répondra pas ! »

19 Le peuple refusa d’écouter Samuel et dit : « Non ! il nous faut un roi !

20 Nous serons, nous aussi, comme toutes les nations ; notre roi nous gouvernera, il marchera à notre tête et combattra avec nous. »

21 Samuel écouta toutes les paroles du peuple et les répéta aux oreilles du Seigneur.

22 Et le Seigneur lui dit : « Écoute-les, et qu’un roi règne sur eux ! » Alors Samuel dit aux hommes d’Israël : « Allez ! chacun dans sa ville ! »