Je ne suis pas d'accord avec cette phrase "le Pape est quand même le Pape, le Pape a été élu", relire les pages 95 à 104 de "la Suite et Fin du huitième livre avec une nouvelle terrible" du 1er juin 2024. Et aussi l'annexe : Annexe concernant le Pape François :

« Ecrit par Don Alessandro Maria Minutella, né en 1973, Prêtre et docteur en théologie dogmatique et en histoire du dogme, il est un expert de la pensée de H. U. von Balthasar et un conférencier populaire sur les réseaux sociaux.
Et 23 publications en Italie dont « Pierre, où Es-Tu ? , aussi en français aux Presses de la Délivrance, Paris 2022.

La Vierge à la Salette a parlé d’une « Eglise éclipsée »
Le Souverain pontife obtient l’autorité suprême sur l’Eglise par une élection légitime (C.331 §1 CIC)

Le Canon 748 § 1 déclare : » Tous les hommes sont tenus de chercher la vérité en ce qui concerne Dieu et son Eglise, et lorsqu’ils l’ont connue, ils sont tenus, en vertu de la loi divine, par l’obligation d’y adhérer et de la garder, et ils en ont le droit. » page 29 dans le livre cité.

C’est donc une obligation de chercher la vérité dans les choses qui concernent l’Eglise ; le Code ajoute que la vérité ne doit pas être ignorée, mais une fois connue, on reste lié par elle.
Pour que les démissions soient valables, il faut donc qu’elles soient faites librement et de manière formellement correct, conditions qui, comme nous le verrons plus loin, - à l’examen de la Declaratio de Benoit XVI – ne sont pas respectées.

… Par conséquent, le soi-disant Pape François, de facto et de jure, n’existe pas. Son élection s’est faite alors que Benoît XVI régnait encore et, selon les déclarations du cardinal Danneels, le conclave de 2013 est invalide en raison de l’orchestration de l’élection du candidat, puni d’excommunication latae sententiae. (page 33)

Un peu plus d’un an après le conclave de 2013, plusieurs indices ont été révélés, grâce aux déclarations de deux journalistes et, surtout du feu cardinal belge Godfried Danneels, qui parlait d’une « mafia de Saint-Gall » (photo 1), qui a manigancé la démission de Benoît XVI et orchestré l’élection de Bergoglio.

Aux Etats-Unis, Monseigneur René Henry Gracida, évêque émérite de Corpus Christi, Texas, a déclaré publiquement qu’il doutait de la validité de la démission de Benoit XVI dès le premier jour, et de validité du conclave pour la même raison. Raison de plus, il a douté de la validité du conclave quand, en 2015, la nouvelle de l’existence de la « mafia de Saint-Gall » a éclaté. Aucun démenti de ses affirmations par le Saint Siège. Silence ici également ! (page 39)

Ecrit par Don Alessandro Maria Minutella, né en 1973, Prêtre et docteur en théologie dogmatique et en histoire du dogme …
La réponse de Bergoglio est surprenante : « Elles (âmes damnées) ne sont pas punies, celles qui se repentent obtiennent le pardon de Dieu et entrent dans les rangs des âmes qui le contemplent, mais qui ne se repentent pas et ne peuvent donc pas être pardonnées disparaissent. Il n’y a pas d’enfer, il y a la disparition des âmes pécheresses.

Ainsi, comme il est maintenant clair dans le style de Bergoglio, il rassemble au moins trois hérésies, atteignant l’apostasie : la négation de l’enfer, la négation du jugement de Dieu, la négation de l’immortalité de l’âme. L’Eglise enseigne cependant que l’enfer existe et que quiconque le nie est un hérétique (CEC 1035 : « l’enseignement de l’Eglise affirme l’existence de l’enfer et de son éternité ») ; affirme qu’il y aura un jugement universel (CEC 682 :
« En venant à la fin des temps juger les vivants et les morts, le Christ glorieux révèlera la disposition secrète des cœurs et rendra à chaque homme selon ses œuvres et selon son accueil ou son refus de la grâce ») ; affirme enfin l’immortalité de l’âme (CEC 366 : « L’Eglise enseigne que toute âme spirituelle est immédiatement créée par Dieu, n’est pas produite par les parents, et est immortelle : elle ne périt pas au moment de sa séparation d’avec le corps en la mort et elle rejoindra à nouveau le corps au moment de la résurrection finale »). Page 132.

En outre, précisément parce qu’il a été invalidement élu au conclave de 2013, Bergoglio a été excommunié latae sententiae également en raison de la Constitution apostolique Universi Dominici Gregis (nn.79-81.82). Celui qui lui obéit, en réalité, est complice, sauf s’il n’en a pas connaissance, du délit. Page 150.
Saint Thomas d’Aquin écrit : « Parfois, les commandements des supérieurs sont contre Dieu. Par conséquent, il ne faut pas obéir aux supérieurs en tout. » (S.Th.II-II,q.104,a.5). Page 151.
[…]
Page 151. (S.Th.III,q.82,a.9), c’est-à-dire : « QUICONQUE ENTEND LEUR MESSE OU RECOIT LES SACREMENTS DE LEUR PART COMMET UN PECHE. […]
La deuxième division commence par la question : « Qui est le pape, aujourd’hui ? » Dans cette partie, Don Minutella discute de tous les complots et pactes derrière l’élection de Bergoglio et comment cela rend invalide le choix du Conclave de lui.

La troisième, avec le thème de Sagesse 21:15, « Il n’y a pas de sagesse, là où il y a méchanceté », une réflexion théologique sur l’imprudence spirituelle d’ignorer les faits et les lois, pour avoir son propre chemin. Dans cette partie, Don Minutella discute des faits qui montrent que Bergoglio est intentionnellement un hérétique public et manifeste persévérant, et comment cela rend impossible qu’il occupe un poste ou soit élu pape.

Le livre se termine par un passage qui sert également d’excellente introduction. Voici ma traduction :
La situation actuelle dans l’Église est dramatique, à tel point que les pasteurs, les théologiens, les canonistes, connaissant l’anomalie en cours, préfèrent passer sous silence les questions abordées dans ce livre. »

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« François Bergoglio est le digne héritier de la lignée d’antipapes de l’église Conciliaire — issue du Réseau Rampolla — qui crucifie l’Église de N.S.J.C. depuis la mort de Pie XII.
Nous ne sommes pas sédévacantiste car la question du ‘Pape’ n’est qu’un épiphénomène : « L’Église sera éclipsée » ! En conséquence nous rejetons tout de cette fausse Église que les Conciliaires ont d’ailleurs dénommée eux-mêmes ‘Église Conciliaire’ ; tout : son ‘pape’, ses ‘cardinaux’, ses ‘évêques’, son ‘clergé’, ses ‘actes’, tous frappés d’invalidité, à commencer par les actes de Vatican II et tous les actes subséquents » (je précise que c’est écrit par Louis Hubert Rémy et ce que je confirme aussi).
« Qui est le Pape François ? Un Anti-Pape ? La réponse est apportée par Louis-Hubert Rémy en 2017. Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l'Antéchrist », sujet présenté sous mon nom Béatrice Marie Malleron le 6 juin 2024.