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Homélie du Père Jean Perrin On ira tous au paradis! C’est ce que chantait avec une certaine impertinence Michel Polnareff. « Aujourd’hui avec moi, tu seras dans le paradis ! » ; c’est la dernière …Plus
Homélie du Père Jean Perrin On ira tous au paradis!
C’est ce que chantait avec une certaine impertinence Michel Polnareff.
« Aujourd’hui avec moi, tu seras dans le paradis ! » ; c’est la dernière parole de Jésus dans l’évangile de Luc, avant qu’il se remette entièrement entre les mains du Père : « Père entre tes mains je remets mon esprit ».
Parole d’autant plus significative qu’elle s’adresse à un malfaiteur, celui que la tradition appelle « le bon larron ».
Ineffable
<<Pilate rédigea aussi un écriteau et le fit placer sur la croix. Il y était écrit: "Jésus le Nazôréen, le roi des Juifs." Cet écriteau, beaucoup de Juifs le lurent, car le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville, et c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. Les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate: "N'écris pas: Le roi des Juifs, mais: "Cet homme a dit : Je suis le …Plus
<<Pilate rédigea aussi un écriteau et le fit placer sur la croix. Il y était écrit: "Jésus le Nazôréen, le roi des Juifs." Cet écriteau, beaucoup de Juifs le lurent, car le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville, et c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. Les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate: "N'écris pas: Le roi des Juifs, mais: "Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs". Pilate répondit: "Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit.">>

Jn 19, 19-22
Ne nous laissez pas sucomber
P.S. Et il n'y a pas de RACE JUIVE comme de RACE CATHOLIQUE se sont des actions de FOIS .Merci dit pensés .
Ne nous laissez pas sucomber
J'aime bien le (en l'occurrence)care il veut dire Ce que je pense mois. mais sais vrais il nous faut embouché les trompettes des modernoeucomunico pour ne pas être traité de HERETIQUE CHRETIENS ?Je vous AIME.
tantumergo+
(suite) D'ailleurs, si l'antisémitisme était un terme vide de substance, on se demande alors bien pourquoi le site prétendument catholique et royaliste Bibliothèque de combat, que "Roy-XXIII" a régulièrement cité sur Gtv, a publié ce genre d'articles abjects *** ( qui au passage ne figurent plus dans ses archives (sans doute pour des raisons judiciaires... ) ?!
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Vers la Sainte Ligue Fasciste etPlus
(suite) D'ailleurs, si l'antisémitisme était un terme vide de substance, on se demande alors bien pourquoi le site prétendument catholique et royaliste Bibliothèque de combat, que "Roy-XXIII" a régulièrement cité sur Gtv, a publié ce genre d'articles abjects *** ( qui au passage ne figurent plus dans ses archives (sans doute pour des raisons judiciaires... ) ?!

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Vers la Sainte Ligue Fasciste et Antisémite

Publié le 1 janvier 2015 par bibliothequedecombat

Dans une interview remarquée diffusée début décembre 2014 sur MetaTV, le national-socialiste (et moyennement recommandable) Daniel Conversano nous livre une analyse pertinente de la possible arrivée du FN au pouvoir – une analyse proche de celle d’Adrien Abauzit, que nous partageons également :

« Le FN sera au pouvoir dans 10-15 ans. Dans un premier temps, cela soulagera une grande partie de la population dont l’espoir de renouveau était grand. Mais dans un second temps, de quoi vont se rendre compte les gens ? Qu’il ne se passe finalement pas grand chose. Et le choc va être terrible, parce que les gens vont se dire « Ca fait 50 ans qu’on attend que le FN arrive au pouvoir, et finalement, à part 2-3 mesures symboliques, ça ne change quasiment rien. » Et alors, ce sera le moment pour ces gens de se dire : « finalement, le fascisme, pourquoi pas. »

Nous avons donc quelques années devant nous pour préparer l’après-FN, et surtout pour l’orienter sur des bases saines : une Sainte Ligue catholique, fasciste, corporatiste et antisémite – autrement dit tout ce qu’exècre la secte judéo-maçonnique au pouvoir en France depuis juin 1944, comme le rappelait l’ancien Grand Maître satanique du Grand Orient Jacques Mitterrand en 1973 :

« Il n’y a pas d’interdit dans la Maçonnerie, sauf pour les corruptions de pensée tels le fascisme et l’antisémitisme, les dogmes et les religions, parce que que ces dernières soumettent les hommes que la Maçonnerie libère. »

Vive le Christ-Roi ! Bonne et sainte année 2015 à tous nos fidèles lecteurs !

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CQFD
🤮
tantumergo+
JeanBaptiste a écrit : " Jésus était bien juif puisqu'il a dit lui-même que "le salut vient des juifs". Ces contestations sont typiques des nationalistes antisémites, Roy. "
Réponse : Je pense que vous avez parfaitement raison d'affirmer cela. Car derrière les pinallleries verbales quant aux juifs, se cachent de la haine, du mépris et/ou de l'envie de la part de nationalistes antisémites et/…Plus
JeanBaptiste a écrit : " Jésus était bien juif puisqu'il a dit lui-même que "le salut vient des juifs". Ces contestations sont typiques des nationalistes antisémites, Roy. "

Réponse : Je pense que vous avez parfaitement raison d'affirmer cela. Car derrière les pinallleries verbales quant aux juifs, se cachent de la haine, du mépris et/ou de l'envie de la part de nationalistes antisémites et/ou judéophobes, qu'ils soient catholiques, prétendus tels, ou non catholiques. Edouard Drumont est le représentant le plus connu de ce courant de pensée détestable qui de glissements en glissements idéologiques à travers l'Histoire est passé de l'antijudaïsme ou judéophobie (hostilité envers la confession judaïque et tous ceux qui la pratiquent) à l'antisémitisme ( haine des juifs vus comme une race à part entière ). L'on sait depuis à quelle horreur contemporaine a conduit ce courant idéologique.

Etre un juif religieux au sens commun du terme, c'est bien entendu pratiquer avec zèle les prescriptions de la loi de Moïse, qu'elles viennent de la tradition écrite (Tanakh = Pentateuque vétérotestamentaire). Pour la grande majorité d'entre eux c'est aussi suivre les enseignements de prétendues authentiques traditions orales séculaires mises par écrit dans les Talmud, Mishnah, Guémara et Midrash. Etre un juif non religieux au sens classique c'est être né d'une mère juive et se reconnaître en grande partie dans l'héritage culturel juif.

Saint Paul lui-même reconnaît évidemment l'existence de ces juifs selon la chair, de cette partie d'Israël composée de ses frères dans la chair " qui ont du zèle pour Dieu mais c'est un zèle mal éclairé " ( Romains 10 ). " Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne soyez pas sages à vos propres yeux: c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'aveuglement jusqu'à ce que la masse des Gentils soit greffée." " Si leur faux pas [en l’occurrence celui des juifs] a fait la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, que ne fera pas leur totalité !… [Et] si leur mise à l’écart fut une réconciliation pour le monde, que sera leur admission [dans le corps de l’Église], sinon une résurrection d’entre les morts ! " (Romains 11)

Du reste, on peut comprendre en partie, sans pour autant la justifier, la résistance d'une large partie d'Israël à la révélation du Verbe divin incarné. En effet, le Dieu jaloux de l'AT a fermement désiré durant plusieurs siècles qu’Israël ne soit pas comme les autres nations, et voilà qu’un jour Dieu semble lui dire à travers ces "hérétiques de chrétiens" que les lois de Moïse sont en fait accessoires voire inutiles, et semble vouloir que les autres nations deviennent comme Israël ! Telle la réaction du fils aîné de la parabole du fils prodigue qui dirait à son père : voilà tant d’années que je te sers, et tu te mets en frais pour ces pécheurs de païens qui n’ont fait aucun effort pour te servir ! Et par dessus le marché, tu voudrais les mettre au même rang que moi !

Combien ce fils aîné de la parabole nous ressemble dans certaines de nos réactions humaines, trop humaines ! Du genre : " Quoi ? J'obéis scrupuleusement aux commandements de l'Eglise et j'apprends que le magistère catholique enseigne qu'une partie des non-catholiques de bonne volonté pourront hériter du Royaume éternel grâce au baptême de désir et en tenant compte de leur ignorance invincible !? A quoi bon être fidèles, alors ?! " Il y a fort à parier que nombre d'entre nous, si nous étions nés juifs selon la loi de Moïse, en raison de cette mentalité trop humaine, le serions restés jusqu'à notre mort.

Pour ma part, je crois que Dieu a puni la superbe, l'orgueil, la haine et le mépris d'une bonne partie des chrétiens vis-à-vis des juifs à travers les siècles, en permettant que les juifs aient de plus en plus d'influence sur la marche du monde à l'ère contemporaine, notamment depuis la création de l'Etat d'Israël, pour le meilleur ( par exemple grâce à leur ingéniosité dans le domaine scientifique) et pour le pire ( de par leur tendance au messianisme politique universaliste ).
Spina Christi 2
"Il n'y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre; mais le Christ est tout et en tous."
"Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur"
"Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ."

Comment dire de …
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"Il n'y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre; mais le Christ est tout et en tous."

"Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur"

"Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ."


Comment dire de Jésus - "le Fils de l'homme"- qu'il était Juif alors que les membres mêmes de son Corps mystique ne le sont pas ?


"Comment donc David, animé par l'Esprit, l'appelle-t-il Seigneur, lorsqu'il dit : "Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied ?"
Si donc David l'appelle Seigneur, comment est-il son fils ?"
Ne nous laissez pas sucomber
MERCI Roy-XXIII de nous apporter votre savoir toujours agréable merci.
Roy-XXIII
JeanBaptiste (citation) : « Antisémite » Le mot « antisémite » est encore un mot qu’on devrait retirer de la langue anglaise. Aujourd’hui, le mot « antisémite » ne sert plus qu’un seul objectif : c’est devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) sentent qu’un quidam va s’opposer à l’un de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immédiatement …Plus
JeanBaptiste (citation) : « Antisémite » Le mot « antisémite » est encore un mot qu’on devrait retirer de la langue anglaise. Aujourd’hui, le mot « antisémite » ne sert plus qu’un seul objectif : c’est devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) sentent qu’un quidam va s’opposer à l’un de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immédiatement pour cible, et ils le discréditent en lui collant systématiquement l’étiquette « antisémite ! ». Et ils le font dans tous les médias qu’ils possèdent ou qu’ils contrôlent indirectement. Je parle ici après une longue expérience personnelle, vous pouvez me croire. Lorsqu’en 1946, j’ai fait ma première déclaration publique sur les événements de Palestine, mes anciens coreligionnaires ont été bien incapables de me réfuter, ils ont donc dépensé des millions de dollars pour me salir, en faisant soudain de moi un grossier « antisémite » ; espérant par là me discréditer aux yeux du public qui manifestait pourtant un grand intérêt à ce que je lui disais. Jusqu’en 1946, j’étais un « petit Saint » pour tous les « Juifs » de ce pays (prétendus ou autoproclamés tels). Mais lorsque j’ai manifesté publiquement mon désaccord envers la politique sioniste en Palestine, je suis devenu d’un coup : « l’antisémite numéro 1 ».
Il est honteux de voir comment le clergé chrétien reprend à son compte l’usage à tout propos du terme : « antisémite ». Les prêtres devraient chercher à savoir de quoi ils parlent. Ils savent pourtant bien que ce mot n’a pas le moindre sens dans l’usage qu’on lui donne aujourd’hui. Ils savent que le terme correct pour désigner une personne qui s’opposerait au judaïsme en tant que religion, n’est pas « anti-sémite », mais bien « judéo-phobe ». Mais s’ils ont préféré la racine « -sémite », à la racine « judéo- », c’est justement pour forger un terme de diffamation ; sachant pertinemment que dans l’esprit des chrétiens, le mot « Sémite » est étroitement lié à celui de « Jésus-Christ ». En tolérant l’usage de ce mot de diffamation, les chrétiens sont devenus des instruments dans l’entreprise de destruction de leur propre foi ; puisque ce mot permet de persécuter, puis de réduire au silence, tous les chrétiens qui s’opposent à la conspiration.
jili22
Si on allait tous au paradis ,comme dirait Michel Polnareff, à quoi cela servirait de se convertir !
Roy-XXIII
Vulgate Latin J 4:22 vos adoratis quod nescitis nos adoramus quod scimus quia salus ex Iudaeis est
À l’époque de Jésus-Christ, les Romains désignaient le territoire actuel de la Palestine sous le nom de Iudaea. Cette province était administrée par Ponce Pilate comme une partie intégrante de l’Empire romain. La traduction française de Iudaea est : « la Judée ». Le seul adjectif français que …Plus
Vulgate Latin J 4:22 vos adoratis quod nescitis nos adoramus quod scimus quia salus ex Iudaeis est

À l’époque de Jésus-Christ, les Romains désignaient le territoire actuel de la Palestine sous le nom de Iudaea. Cette province était administrée par Ponce Pilate comme une partie intégrante de l’Empire romain. La traduction française de Iudaea est : « la Judée ». Le seul adjectif français que l’on puisse construire sur ce nom latin de Iudaea est « Judéen », et non pas « Juif ». Ainsi, la population qui vivait à l’emplacement de la zone géographique connue actuellement sous le nom de Palestine, était désignée en latin, à l’époque de Jésus-Christ, par le mot Iudaeus : « les Judéens ». À strictement parler, ce mot ne désignait rien d’autre que les habitants vivant à l’intérieur des frontières de la Judée à cette époque. Or qui pourrait nier que Jésus-Christ ne fut, Lui aussi, un habitant de la Judée de cette époque ?
Or vous savez très bien, mon cher Docteur Goldstein, que le génitif pluriel du latin Iudaeus est : Iudaeorum. Et que la traduction française littérale du génitif pluriel Iudaeorum, devrait être : « des Judéens », et non pas : « des Juifs ». Il est complètement impossible de donner une autre traduction littérale au latin Iudaeorum. C’est pourquoi comme je vous le disais, tous les théologiens et les historiens, qui maîtrisent bien ce problème, savent qu’il faut traduire Iesus Nazarenus rex Iudaeorum par « Jésus le Nazarénien chef souverain des Judéens ».
Dans la Vulgate, Jésus est désigné comme « l’un des Judéens », grâce au génitif pluriel Iudaeorum.
Jésus est désigné pour la première fois par le mot Jew au XVIIIe siècle, dans l’édition révisée de la première traduction anglaise du Nouveau Testament qui remontait au XIVe siècle. L’étymologie du mot Jew dans la langue anglaise, ne laisse aucun doute sur le fait que le mot Jew du XVIIIe siècle provient directement du mot Iudaean de la Vulgate.
Personne ne pourra contredire le fait que le mot Jew (Juif) n’existait pas dans la langue anglaise avant l’année 1775.
La première acception écrite du mot Jew en langue anglaise, nous a été laissée au XVIIIe siècle par Sheridan dans sa pièce de théâtre : Les Rivaux. Dans l’Acte 2, scène 1 de cette pièce, nous lisons : « Elle aura la peau d’une momie, et la barbe d’un Juif ». Avant cette utilisation du mot Jew faite par Sheridan, ce mot n’existait pas dans notre langue. Ainsi, Shakespeare ne l’employa dans aucune de ses pièces, comme vous pourrez le vérifier vous-même. Certes, dans le Marchand de Venise, acte 5 scène 3, il est bien question d’un « Juif ». Mais pour ce passage précis, l’édition originale nous donne : « Et pourquoi ? Je suis un Iewe, et un Iewe n’a t-il pas d’yeux ? ».
Ne nous laissez pas sucomber
Simon André du temps de notre Seigneur et ce n'ais pas pour rien qu'il est venu en ce temps le monde Romain avait européen africain asiatique et autre en son empire ,alors dans la foule a Jérusalem nous avons tous crier crucifié le avec les Juifs ,réfléchissez le .Et pour la pureté des mœurs ,voyez nos politiques et François bénissant des libertins sexuelles et allez cherché cela chez Pie XII …Plus
Simon André du temps de notre Seigneur et ce n'ais pas pour rien qu'il est venu en ce temps le monde Romain avait européen africain asiatique et autre en son empire ,alors dans la foule a Jérusalem nous avons tous crier crucifié le avec les Juifs ,réfléchissez le .Et pour la pureté des mœurs ,voyez nos politiques et François bénissant des libertins sexuelles et allez cherché cela chez Pie XII et avant .un peut de modestie SVPL.
Simon André
Notre Seigneur était bien juif et il n'y a aucune honte d'être d'ascendance juive. Les juifs avaient globalement des moeurs bien plus pures que les catholiques d'aujourd'hui, y compris un certain nombre de catholiques traditionalistes. Les femmes juives ne portaient pas de haut talons aiguille et des jupes au-dessus du genou en position debout comme certaines femmes à la messe FSSPX...
Simon André
Beaucoup de catholiques traditionalistes fanfaronnent et disent "nous, nous n'aurions pas crucifié le Christ", mais quand on voit combien la morale du Christ était pure et faisait violence aux hommes, quand il enseignait par exemple qu'il faut garder la continence absolue après la conception, on comprend qu'en réalité, à la place des juifs, même des traditionalistes l'auraient crucifié, et le …Plus
Beaucoup de catholiques traditionalistes fanfaronnent et disent "nous, nous n'aurions pas crucifié le Christ", mais quand on voit combien la morale du Christ était pure et faisait violence aux hommes, quand il enseignait par exemple qu'il faut garder la continence absolue après la conception, on comprend qu'en réalité, à la place des juifs, même des traditionalistes l'auraient crucifié, et le crucifient aujourd'hui, en menant une vie impure indigne du Christ.
JeanBaptiste
Jésus était bien juif puisqu'il a dit lui-même que "le salut vient des juifs". Ces contestations sont typiques des nationalistes antisémites, Roy.
Roy-XXIII
Dans la Vulgate, Jésus est désigné comme « l’un des Judéens », grâce au génitif pluriel Iudaeorum. les spécialistes les plus qualifiés s’accordent sur ce point précis que Jésus-Christ n’était pas un « Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original à l’appui, que pendant sa vie Jésus-Christ était désigné comme un « Judéen » par ses contemporains, et non comme un « Juif » ; ils vous …Plus
Dans la Vulgate, Jésus est désigné comme « l’un des Judéens », grâce au génitif pluriel Iudaeorum. les spécialistes les plus qualifiés s’accordent sur ce point précis que Jésus-Christ n’était pas un « Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original à l’appui, que pendant sa vie Jésus-Christ était désigné comme un « Judéen » par ses contemporains, et non comme un « Juif » ; ils vous diront également que Jésus-Christ Se désignait Lui-même comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Pendant son passage ici sur Terre, Jésus fut désigné par les historiens de l’antiquité comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Tous les théologiens de l’antiquité, dont la maîtrise de la question pourrait difficilement être mise en doute, désignent Jésus-Christ pendant Sa vie, ici, sur Terre, comme un « Judéen », et non comme un « Juif ».
Maintenant mon cher Docteur Goldstein, ainsi que vous le savez, le mot latin rex ne signifiait pas « roi » initialement, mais « chef d’une tribu », leader en anglais ; et aux temps de Jésus-Christ, ce mot n’avait pas d’autre sens pour les Judéens qui connaissaient la langue latine. Le mot latin rex, vient du verbe latin rego, regere et signifie « diriger, conduire, mener, être à la tête de… ». Évidemment, le latin était la langue officielle dans toutes les provinces de l’Empire Romain, et c’est pourquoi l’inscription sur la croix fut rédigée également en latin.
Or, après leur invasion des Îles Britanniques, les Anglo-Saxons remplacèrent le mot latin rex, par le motking. Mais le remplacement du mot rex par le mot king à cette époque postérieure, ne modifie pas rétroactivement le sens que les Romains donnaient au mot rex à l’époque de Jésus-Christ. Le latin rex signifiait simplement pour eux « chef souverain », un leader. Le mot anglo-saxon king, avait d’ailleurs une graphie différente de celle d’aujourd’hui, lorsqu’il a remplacé le mot latin rex, mais toutefois son sens était encore à peu près équivalent à celui du latin.
Pour Ponce Pilate, il était bien évident que Jésus-Christ était la dernière personne que les Judéens auraient acceptée comme « chef de tribu ». Malgré cela, Ponce Pilate n’a pas hésité à ordonner cette inscription : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, et je répète que même par le plus sauvage étirement de l’imagination, on ne peut soutenir que ces mots de Pilate furent autre chose qu’un misérable sarcasme. Par cette référence à Jésus-Christ comme « chef des Judéens », ceux-ci auraient ourdi la crucifixion de leur chef souverain.
Ne nous laissez pas sucomber
A part que notre Seigneur n'était pas Juif mais Judéen ,que les Juifs l'ont crucifié cars il n'était le Dieu Vengeur espéré et qu'ils le reconnaisse comme un prophète maudit qui est en enfer dans un fut d'immondices ,alors JUIF ?
shazam
On ira tous au paradis. Tant mieux.
Si le jour venu j’y croise les suppôts de Satan de l’histoire des hommes mais pas mon chien, alors je saurais que je suis en enfer.Plus
On ira tous au paradis. Tant mieux.

Si le jour venu j’y croise les suppôts de Satan de l’histoire des hommes mais pas mon chien, alors je saurais que je suis en enfer.