François appelle à une "gouvernance mondiale" et à des "vaccins pour tous".

François lance l'idée d'une "dette écologique" qui existe "entre le Nord et le Sud" dans une lettre adressée le 8 avril aux participants à une réunion des financiers du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international.

Ces deux institutions sont dominées par le système oligarchique américain. "Nous avons, en fait, une dette envers la nature elle-même", argueFrançois. Selon lui, les pays développés devraient limiter leur consommation d'énergie non renouvelable et payer des programmes de développement durable aux pays plus pauvres.

A la lumière du covid-19, François a appelé à un "plan mondial" pour "créer de nouvelles institutions ou régénérer les institutions existantes, en particulier celles de la gouvernance mondiale" pour faire progresser le développement humain.

Il a réitéré son appel aux chefs de gouvernement à fournir "des vaccins pour tous".

François n'a aucune compétence dans ces domaines, et ses déclarations générales sont de peu d'utilité. Selon le principe de subsidiarité, il devrait laisser ces questions aux autres et se concentrer sur son devoir et sa propre Église décrépite.

Image: © Mazur, CC BY-NC-ND, #newsAagysapvfa