Tucho s'est adressé à Francis parce qu'il craignait d'être "surveillé".
Le journal controversé révèle que Tucho est allé voir le pape François pour lui faire part de ses craintes d'être surveillé.
La source de cette information est une personne anonyme [= probablement Fernández lui-même, puisqu'il a parlé au journal].
Ces craintes présumées étaient fondées sur une innocente photo nocturne publiée en novembre par un blog catholique de langue espagnole, montrant Tucho en train de parler au téléphone à distance à travers une fenêtre de sa maison sur le terrain du Vatican, où de nombreuses personnes ont accès, toutes possédant des téléphones portables équipés d'appareils photo. La photo indique l'emplacement de ses quartiers privés bien connus, dont Tucho a beaucoup parlé en public.
Aujourd'hui, Tucho Fernández tente de faire passer cette photo inoffensive pour une "atteinte à la vie privée" et une "menace voilée".
Interrogé sur l'utilisation par François de la très vulgaire expression italienne "frociaggine" pour désigner les actes homosexuels, Fernández a déclaré qu'"il serait souhaitable de trouver un autre mot pour exprimer cette réalité".
"Mais j'ai vu des homosexuels eux-mêmes utiliser des expressions similaires". On peut se demander dans quelles circonstances cela s'est produit.
Fernández voudrait réécrire le catéchisme, qui décrit correctement les actes homosexuels comme "intrinsèquement désordonnés" :
"Tous les sujets peuvent être affinés", a-t-il déclaré. Tous les sujets peuvent être affinés", a-t-il déclaré, "et le langage que nous utilisons peut toujours être bien meilleur. Il est donc possible d'être plus clair" - alors que la déclaration du catéchisme est parfaitement raffinée et claire, ce qui est précisément le problème de Tucho.
En ce qui concerne ses livres grossiers sur les baisers et les orgasmes, y compris les péchés homosexuels, Fernández a déclaré que ces sujets ne devraient pas être interdits dans le discours spirituel ( !): " Je n'ai pas honte de ces sujets", a-t-il déclaré. "Si je devais les écrire aujourd'hui, ils seraient plus riches et plus complets". Tucho n'a toujours pas de remords pour ces livres scandaleux.
En janvier dernier, il a joué les victimes auprès de LaStampa.it, se plaignant d'avoir "reçu trois fois des menaces [disant] 'Nous allons vous détruire'". Mais, Dieu merci, Tucho est toujours en vie.
Image: Tucho Fernández © Mazur/cbcew.org.uk, CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA
