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Admission involontaire : pour les évêques de la Curie, les pratiques post-Vatican II constituent un "suicide".

Pendant le couvre-feu du coronavirus, l'évêque pro-gay Mario Grech, nouveau secrétaire général du Synode des évêques, a découvert les fonds de tiroir du protestantisme.

Il a déclaré à LaCiviltaCattolica.com (14 octobre) que nous devrions cesser de nous centrer sur les prêtres, mais réfléchir aux ministères laïcs, et contempler "d'autres moyens" que les sacrements pour faire l'expérience de Dieu. Il mentionne la prière et la Bible, bien qu'il connaisse peu les deux.

Grech est si enthousiaste à propos de ces nouveautés de l'an 1517 qu'il les appelle "une nouvelle ecclésiologie, peut-être même une nouvelle théologie, et un nouveau ministère".

Pour lui, ce ne serait rien de moins qu'un "suicide" de revenir, après le virus, "aux mêmes modèles pastoraux que nous avons pratiqués jusqu'à présent". Il n'aurait pas pu condamner plus fermement les méthodes du concile pastoral Vatican II mais, comme Caïphe, "il n'a pas dit cela de lui-même" (cf. Jean 11, 51).

Grech veut "projeter la sacristie dans la rue" et "transformer les salles d'hôpital en d'autres "cathédrales"" - le blabla habituel des prélats bâtisseurs de concepts vides.

Il trouve "curieux" que les fidèles se soient plaints de ne pas pouvoir communier et célébrer des funérailles à l'église, plutôt que de se demander "comment se réconcilier avec Dieu et le prochain, comment écouter et célébrer la Parole de Dieu et comment vivre une vie de service".

En d'autres termes : Les catholiques pratiquants qui financent le clergé pourri - y compris Grech - par le biais de la collecte sont à ses yeux des hypocrites.

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