François minimise la contraception

Dans l'avion qui le ramenait de Bruxelles à Rome (29 septembre), François a de nouveau condamné l'avortement : "N'oublions pas de le dire : l'avortement est un meurtre. On tue un être humain. Et les médecins qui le pratiquent sont - permettez-moi d'utiliser ce mot - des tueurs à gages. Ce sont des tueurs à gages. On ne peut pas le nier. Une vie humaine est tuée".

François a ajouté, semblant minimiser la contraception : "Il y a aussi les méthodes contraceptives, c'est autre chose. Ne les confondez pas. Je ne parle que de l'avortement. Et cela ne peut pas être contesté. Pardonnez-moi, mais c'est la vérité".

En réalité, de nombreuses formes de contraception entraînent la mort de l'œuf fécondé, le stade le plus précoce de la vie, en empêchant l'implantation du blastocyste.

François a ensuite parlé des féministes qui veulent devenir "prêtres" : "Un féminisme exagéré, qui signifie que les femmes sont chauvines, ne fonctionne pas. Une chose est un masculinisme qui n'est pas correct. Une autre est un féminisme qui n'est pas acceptable. Ce qui fonctionne, c'est que l'Église féminine est plus grande que le ministère sacerdotal".

Il a également parlé d'une déclaration publiée par l'Université catholique de Louvain selon laquelle "l'université regrette les positions conservatrices exprimées par le pape François sur le rôle des femmes dans la société". Le pape François a déclaré que cette déclaration avait été "publiée alors que je parlais encore (à l'université). Elle a été rédigée à l'avance et ce n'est pas moral".

Il a ajouté une phrase hilarante : "Si cela semble conservateur à ces dames, je suis Carlos Gardel". Carlos Gardel (+1935) était un chanteur argentin né en France, un acteur et la figure la plus importante de l'histoire du tango.

Au sujet du bombardement du Liban, François a déclaré que toute défense disproportionnée est immorale.

Traduction de l'IA

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