Lux Æterna

La messe Paul VI est valide. C'est Dieu qui le dit!

Quand la science rencontre la foi

Quand Foi et Science semblent opposées, les miracles eucharistiques de Buenos Aires, Lanciano et Sokolka apparaissent comme des preuves tangibles et stupéfiantes de la présence réelle du Christ dans l'Eucharistie. Validés par des analyses scientifiques rigoureuses, ces miracles défient la compréhension humaine et renforcent la foi en un Dieu vivant !

Collège des Bernardins

« À l’époque moderne, on a pensé que la lumière de la foi était suffisante pour les sociétés anciennes, mais qu’elle ne servirait pas pour les temps nouveaux, pour l’homme devenu adulte, fier de sa raison, désireux d’explorer l’avenir de façon nouvelle. En ce sens, la foi apparaissait comme une lumière illusoire qui empêchait l’homme de cultiver l’audace du savoir… La foi a été comprise comme un saut dans le vide que nous accomplissons par manque de lumière, poussés par un sentiment aveugle ; ou comme une lumière subjective, capable peut-être de réchauffer le cœur, d’apporter une consolation privée, mais qui ne peut se proposer aux autres comme lumière objective et commune pour éclairer le chemin »

“Cependant des miracles eucharistiques récents, soumis aux analyses de la technique moderne, apportent une lumière qui confirme les données de la foi et rappellent à la science qu’elle ne peut rendre raison de toute la réalité. Ces miracles apportent une preuve de la présence réelle objective du Corps et du Sang du Seigneur dans le Saint-Sacrement.”

(Pape François, encyclique Lumen fidei, 29 juin 2013, 2-3).

Le miracle eucharistique de Buenos Aires en 1996

Le 18 août 1996, le Père Alejandro Pezet célèbre la Messe dans l’église du centre commercial de la ville de Buenos Aires, en Argentine.

Il finit de donner la sainte Communion, lorsqu’une femme vient lui dire qu’elle a vu une hostie dont quelqu’un s’est débarrassé au fond de l’église. Se rendant à l’endroit indiqué, le prêtre voit l’hostie souillée ; il la place dans un petit récipient d’eau qu’il dépose dans le tabernacle de la chapelle du Saint-Sacrement. Le lundi 26 août, ouvrant le tabernacle, il voit, à sa grande stupéfaction, que l’hostie est devenue une substance sanglante. Il en informe Mgr Jorge Bergoglio, évêque auxiliaire du Cardinal Quarracino et futur Pape François, qui donne des instructions afin que l’hostie ainsi transformée soit photographiée par un professionnel. Les photographies, prises le 6 septembre, montrent clairement que l’hostie, devenue un fragment de chair sanglante, a beaucoup grandi en taille. Pendant trois ans, elle reste conservée dans le tabernacle, toute l’affaire étant gardée secrète.

“Mais, constatant que l’hostie ne souffre d’aucune décomposition visible, Mgr Bergoglio décide de la faire analyser scientifiquement.”

À partir d’octobre 1999, des analyses sont faites sur des échantillons de l’hostie. Elles aboutissent à la déclaration faite en 2005 par le docteur Frédéric Zugibe, expert en cardiologie et pathologiste médico-légal :

« La matière analysée est un fragment du muscle du cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. Le ventricule gauche du cœur agit comme une pompe qui envoie le sang à travers tout le corps. Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Cela indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant, étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant ; ils ont besoin d’un organisme vivant pour se maintenir. Donc, leur présence indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. De plus, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »

Deux Australiens, le journaliste Mike Willesee et le juriste Ron Tesoriero, ont été les témoins de ces tests. Après la conclusion du médecin, on l’informe que la substance d’où provenait l’échantillon datait de 1996. Le docteur Zugibe demande :

« Vous devez m’expliquer une chose : si cet échantillon provient d’une personne morte, comment se peut-il que, pendant que je l’examinais, les cellules de l’échantillon aient été en mouvement et animées de pulsasions ? Si ce cœur provient de quelqu’un qui est mort en 1996, comment peut-il être toujours en vie ? »

Alors seulement, Mike Willesee explique au docteur Zugibe que l’échantillon analysé provient d’une hostie consacrée qui s’est mystérieusement transformée en de la chair humaine sanglante. Stupéfait de cette information, le docteur répond : « Comment et pourquoi une hostie consacrée peut-elle changer son caractère et devenir de la chair et du sang humains vivants ? Cela restera un inexplicable mystère pour la science, un mystère totalement au-delà de sa compétence. »

Le miracle Eucharistique de Sokolka, en Pologne, en 2008

En confirmation de la foi de l’Église, le Seigneur a voulu donner au monde, en 2008, une nouvelle preuve de son amour par un autre miracle eucharistique qui présente des caractéristiques tout à fait semblables à celles du miracle de Buenos Aires.

Le 12 octobre de cette année, le Père Jacek Ingielewicz célèbre la Messe à l’église Saint-Antoine de Padoue, à Sokólka (Pologne), en présence de deux cents personnes. Pendant la distribution de la Communion, une hostie tombe à terre.

Le Père Jacek la ramasse et la met dans un petit vase liturgique en argent qu’il remplit d’eau pour que l’hostie se dissolve, puis il place le tout dans un coffre-fort à la sacristie. En effet, après qu’une hostie s’est complétement dissoute, le corps du Christ n’est plus présent.

Informé par le Père Jacek, le Père Stanislaw Gniedziejko, curé de la paroisse, laisse le vase dans le coffre-fort pendant deux semaines. Il constate alors que non seulement l’hostie ne s’est pas dissoute dans l’eau, mais qu’une forme évoquant une tache de sang est apparue.
« Bouleversé, je ne savais que penser de cela, affirmera le père Stanislaw, mes mains tremblaient quand je refermai le coffre : je pouvais à peine parler. ». Il décide d’en référer au métropolitain de Bialystok, la ville voisine, Mgr Edward Ozorowski. Quand celui-ci vient à Sokólka, on lui montre l’hostie qu’on a déposée sur un corporal. Il y voit, outre une tache de sang, quelque chose qui ressemble à une substance organique. Cela ressemble, fait remarquer le Père Jacek, à la nature des tissus que « beaucoup de nous ont analysés dans nos cours de biologie ».

Le 5 janvier 2009, l’évêque demande à deux professeurs de médecine à l’Université de Bialystok, Maria Elizabeth Sobaniec-Lotowska et Stanislaw Sulkowski, d’effectuer une analyse d’une parcelle de l’hostie.

Tous deux ont travaillé dans le domaine de l’histopathologie pendant plus de trente ans. Le Père Andrzej Kakareko, chancelier de la curie métropolitaine de Bialystok, remet à chacun des experts un échantillon de l’hostie. L’étude est menée à l’Institut de pathologie de l’Université. Lorsque les échantillons ont été prélevés, la partie demeurée intacte de l’hostie restait intimement liée au tissu à analyser, sans avoir rien perdu de sa blancheur.

“Les deux spécialistes, après avoir travaillé séparément, arrivèrent à la même conclusion : ce qu’on leur a remis provient du tissu d’un muscle cardiaque humain encore en vie, mais à l’agonie.”

Le professeur Sulkowski déclare avoir observé la présence « de nombreux indicateurs typiques bio-morphologiques des tissus du muscle cardiaque », ainsi que des dommages visibles sous forme de petites ruptures des fibres du tissu. Il ajoute : « Ces dommages ne peuvent être observés que dans des fibres vivantes et ils sont des signes de spasmes rapides du muscle cardiaque dans la période qui précède la mort. »

Le professeur Sobianiec-Lotowska confirme : « Il s’agit du tissu du muscle cardiaque en vie. ». Après réflexion, elle manifeste sa stupéfaction devant le fait d’un tissu resté vivant après avoir été séparé de l’organisme dont il était partie intégrante, c’est un
« phénomène incroyable ! »

Elle explique : « Pendant longtemps, l’hostie est restée immergée dans l’eau, puis déposée sur le corporal ; donc le tissu devrait avoir subi le processus “d’asphyxie”, mais cela n’a pas été observé lors de nos tests… L’état actuel des connaissances en biologie ne nous permet pas d’expliquer scientifiquement ce phénomène. » Très intriguée également par la liaison du tissu cardiaque avec l’hostie consacrée, elle déclare que « ce phénomène extraordinaire de l’inter-absorption du tissu du muscle cardiaque et de l’hostie, observé au microscope et également par transmission électronique, prouve qu’aucune intervention humaine sur l’échantillon n’a pu avoir lieu ».

“En effet, la structure des fibres du myocarde et la structure du pain sont en l’occurrence si étroitement liées qu’on ne peut admettre une intervention humaine pour réaliser cela (cf. déclaration du professeur M. Sobaniec-Lotowska dans le rapport « Le miracle de l’Eucharistie de Sokólka », Lux Veritatis, 2010).”


D’autre part, le sang de l’hostie a les mêmes caractéristiques que celui du Suaire de Turin et du miracle de Lanciano (groupe AB).

La dévotion s’accroît

Après avoir obtenu les résultats des tests, l’archevêque en informe le nonce apostolique à Varsovie qui transmet le dossier à Rome pour examen. En septembre 2009, le public, qui a eu connaissance du rapport des deux experts, commence à venir à Sokólka de toute la Pologne, mais aussi de Biélorussie et de Lituanie.

”À Sokólka même, on constate un accroissement immédiat de la dévotion à la Sainte Eucharistie. Les gens viennent prier à l’église pour les familles brisées, les enfants qui abandonnent la foi, pour obtenir des guérisons…“

Après avoir officiellement déclaré que le tissu visible sur l’hostie est vraiment miraculeux, Mgr Ozorowski place celle-ci dans un ostensoir exposé à la dévotion des fidèles dans une chapelle de l’église Saint-Antoine.

À l’égard de l’Eucharistie, l’Église demande le culte de latrie,
« c’est-à-dire l’adoration réservée à Dieu seul, soit durant la célébration eucharistique, soit en dehors d’elle » (Compendium du Catéchisme de l’Église Catholique, 286).

« Il convient tout particulièrement, écrivait saint Jean-Paul II, aussi bien dans la célébration de la Messe que dans le culte eucharistique hors de la Messe, de développer une vive conscience de la présence réelle du Christ » (Lettre apostolique Mane nobiscum Domine, 7 oct. 2004, 18).

À cette fin, « comme la femme de l’onction à Béthanie, l’Église n’a pas craint de gaspiller, dépensant le meilleur de ses ressources pour exprimer son admiration et son adoration face au don incommensurable de l’Eucharistie. De même que les premiers disciples chargés de préparer la “grande salle”, elle s’est sentie poussée, au cours des siècles et dans la succession des cultures, à célébrer l’Eucharistie dans un contexte digne d’un si grand Mystère… Si la logique du “banquet” suscite un esprit de famille, l’Église n’a jamais cédé à la tentation de banaliser cette “familiarité” avec son Époux en oubliant qu’il est aussi son Seigneur et que le “banquet” demeure pour toujours un banquet sacrificiel, marqué par le sang versé sur le Golgotha »
(Encyclique Ecclesia de Eucharistia, Jeudi Saint 2003, 48).

« En effet, l’Eucharistie rend présent et actualise le sacrifice que le Christ a offert à son Père, une fois pour toutes, sur la croix, en faveur de l’humanité… Le sacrifice de la croix et le sacrifice de l’Eucharistie sont un unique sacrifice. La victime et celui qui l’offre sont identiques. Seule la manière de l’offrir diffère. Le sacrifice est sanglant sur la croix, non sanglant dans l’Eucharistie » (Compendium du CEC, 280).

Puisque du Sacrifice de la Messe découlent toutes les grâces nécessaires à notre salut, « l’Église fait obligation aux fidèles d’y participer tous les dimanches et aux fêtes de précepte, et elle recommande d’y participer aussi les autres jours » (ibid. 289).

« Il faut apprendre à vivre la Messe », a dit un jour saint Jean-Paul II à des jeunes qui l’interrogeaient sur le profond recueillement avec lequel il célébrait (18 octobre 1981).

Saint Padre Pio nous en offre un bel exemple : « Lorsque le Padre Pio célébrait la Messe, il donnait l’impression d’une si intime, si intense, si complète union avec Celui qui s’offrait au Père Éternel, en victime d’expiation pour les péchés des hommes. Dès qu’il était au pied de l’autel, le visage du célébrant se transfigurait… Le Padre Pio possédait le don de faire prier les autres. On vivait la Messe »
(Fr. Narsi Decoste, Le Padre Pio).

“Le fruit du Sacrifice actualisé sur l’autel est la communion au Corps et au Sang de Jésus-Christ, anticipation de la communion éternelle du Ciel.”

Un si grand don ne peut être reçu que par celui qui est « pleinement incorporé à l’Église catholique et en état de grâce, c’est-à-dire sans conscience d’avoir commis de péché mortel. Celui qui est conscient d’avoir commis un péché grave doit recevoir le sacrement de la Réconciliation avant d’accéder à la Communion… Il importe aussi d’observer le jeûne prescrit par l’Église et d’avoir des attitudes corporelles dignes (gestes, vêtements), comme marques de respect envers le Christ » (Compendium, 291).

« La Communion fait grandir notre union au Christ et avec son Église… Elle nous rend forts pour notre pèlerinage en cette vie et elle fait désirer la vie éternelle, nous unissant déjà au Christ assis à la droite du Père, à l’Église du ciel, à la Bienheureuse Vierge Marie et à tous les saints » (ibid., 292 et 294).

Le suprême accomplissement
Les miracles eucharistiques sont des faits indéniables.

“Ils nous placent devant la grande Réalité : Dieu existe, Il s’est fait chair, Il est présent et agissant dans notre histoire, Il s’est exposé à la souffrance et à la mort, pour détruire la mort et nous donner la Vie ! Le bonheur que nous cherchons tous dépend de notre relation d’amour avec Lui seul !”

Dans l’encyclique Fides et ratio, saint Jean-Paul II écrivait :

« Divers systèmes philosophiques, faisant illusion, ont convaincu l’homme qu’il est le maître absolu de lui-même, qu’il peut décider de manière autonome de son destin et de son avenir en ne se fiant qu’à lui-même et à ses propres forces. La grandeur de l’homme ne pourra jamais être celle-là. Pour son accomplissement personnel, seule sera déterminante la décision d’entrer dans la vérité, en construisant sa demeure à l’ombre de la Sagesse devenue chair et en l’habitant. C’est seulement dans cette perspective de vérité qu’il parviendra au plein exercice de sa liberté et de sa vocation à l’amour et à la connaissance de Dieu, suprême accomplissement de lui-même ».

Source: Collège des Bernardins.
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Paul1977

N'importe quoi...
Il ne s'agit nullement de preuves.
Rien ne prouve qu'il ne s'agisse pas de manifestations démoniaques.

Lux Æterna

Vous nous expliquerez comment le diable, simple créature, peut transformer un bout de pain en coeur sanguinolant et palpitant. Seul Dieu peut s'affranchir des lois de la nature et donc faire des miracles. Seule l"Eglise peut en juger avec certitude et autorité, et nullement votre secte, encore moins Paul1977.

Paul1977. Pour l'avoir vécu personnellement, je vous assure de la Présence Réelle de Mon Seigneur Jésus-Christ aux consécrations dans cette Eglise post-Vatican II. Ce que je n'ai jamais vécu d'ailleurs, lors des messes tradis (ce qui ne retire rien à la tradition, bien entendu). Que vous me croyez ou non, cela n'a aucune espèce d'importance, c'est juste factuel.

Bien entendu que la consécration demeure valide. C'est élémentaire.

Lux Æterna

Les miracles eucharistiques du novus ordo sont la preuve indubitable du caractère hérétique du sédévacantisme. En effet les sédévacantistes ne cessent de vouloir se convaincre que l'Église catholique est devenue une secte, qu'elle ne représente pas la véritable religion et par conséquent que tous ses sacrements sont invalides. Le novus ordo est le lieu de la grâce de Dieu confirmé par des miracles.
Les sectaires rétorquent pour s'en sortir qu'il s'agirait d'une oeuvre du démon. Mais comme tout catholique le sait bien, le démon ne peut faire que des prodiges et non des miracles. Or il s'agit ici de miracles confirmés par la science et non de simples illusions, les lois de la nature sont largement débordées.
Il ne se produit pas de miracles dans les sectes hérétiques. Où sont les miracles eucharistiques chez les sédévacantistes ?

Lux Æterna

L'Eglise catholique ne peut pas promulguer des sacrements illicites, cela n'a aucun sens. Sinon cela veut dire qu'elle n'est pas l'Église. Les sacrements douteux ne le sont que si les prêtres ne suivent pas les rubriques de la messe, les sacrements douteux sont donc très rares. Le problème avec le novus ordo n'est pas la validité, mais son minimalisme quant à l'expression de la Foi. Cela conjugué à un catéchisme défaillant ou inexistant chez les fidèles, et vous avez la catastrophe postconciliaire.

Une messe promulguée par le pape à l'Église universelle ne peut détruire l'Église, sinon la religion catholique n'a aucun sens.

L'Obéissance aveugle découle du manque de Prudence ! Vous semblez être un fin connaisseur alors répondez à ces deux questions s'il vous plaît. Depuis quand les papes dénoncent une infiltration maçonnique au sommet de l'Eglise ? Et Depuis quand ils ne la dénoncent plus? Quand un pape dit hors de l'église point de salut et qu'un autre après dit toutes les religions mènent à Dieu... l'Eglise ne peut point nous tromper mais les démons ne font que ça. Divinum Auxiliuum maneat semper nobiscum !