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5 ) La nullité de l'opposition à Maria Valtorta enfin révélée - réponse au pamphlet de René Gounon

Mon petit René, te souviens-tu de l'histoire que je t'avais racontée la nuit dernière ?

- Oui maman, je m'en souviens : c'était le rêve de Maria Valtorta qu'elle a écrit dans son autobiographie... Mais moi aussi, je fais plein de rêves !! La dernière fois tu te souviens, c'était un méchant loup garou ! Ça m'a fait très peur !!

- Oui mon chéri, c'est tout, c'est tout :)) mais vois-tu, le rêve de Maria Valtorta n'avait rien à voir avec l'un des tiens ! Ecoute ce qu'elle en dit elle-même.

- Oh oui, maman, raconte !

Autobiographie, p.194 :

"Revenons maintenant à mon récit.
Je disais donc que ce fut à ce moment là, alors que je me débattais dans l'obscurité la plus aveugle et que je me sentais entourée d'un millier de tentations sifflantes comme des vipères en fureur, que Dieu m'envoya un rêve.
Je sais très bien qu'il ne faut pas croire aux rêves comme y croient les petites sottes superstitieuse. Mais je sais également que croire aux songes n'est pas toujours une chose à déconseiller. Tout est dans la façon d'y croire. C'est une chose de s'abandonner au désespoir parce que, pour ne donner qu'un exemple, on a rêvé d'un chat ( trahison assurée !!! ), de raisin blanc ( larmes certaines !!! ) et ainsi de suite selon... l'enseignement de la cabale et de la superstition. Mais c'est tout différent d'accepter un songe pour ce qu'il est, c'est-à-dire comme un avis surnaturel. Au cours du sommeil, qui endort la matière, l'âme, qui reste éternellement en éveil, est libre et non distraite, mais attentive aux voix qu'elle peut recevoir d'autres mondes que nous ignorons. L'histoire sacrée est pleine d'exemples. Tant l'Ancien que le Nouveau Testament présentent des songes qui constituent des messages de l'Eternel à ses enfants pérégrinants sur la terre. L'hagiographie chrétienne est également pleine de ce genre de songes que je définirais des "songes guides", aptes à conduire ceux qui sont appelés sur le chemin que le Créateur a choisi pour telle créature déterminée.
Nombreux sont ceux qui disent : "Oh ! Quant à moi, je n'ai jamais eu ce genre d'histoire ! ". Peut-être. Mais il est plus probable que c'est leur lourdeur psychique, leur légèreté de réflexion qui les ferme au point de les rendre incapables de saisir les avertissements qui nous viennent des royaumes du mystère.

Moi, par contre, j'en ai eu plusieurs de ce genre de rêves, qui sont prémonitoires ou normatifs pour la vie. Je n'affirme pas qu'ils étaient là, prêts à descendre dans mon sommeil avec la même aisance où l'on renverse une soupe de la soupière. Non, s'il vous plaît. J'avais de nombreux rêves. Mais parmi les milliers de rêves qui étaient de simples divagations de l'esprit et qui me rapportaient de beaux paysages, des abords marins, des heures vécues précédemment, etc., il y avait aussi des Songes, avec un "S" majuscule. Lorsque je m'éveillais, quelque-chose d'indicible m'avertissait de prêter attention à ce songe. C'était comme si une main légère m'effleurait et une voix me murmurait à l'oreille : "Attention ! Réfléchis et rappelle-toi ! "
C'est comme cela que ça c'est passé cette fois-ci.
Le printemps 1916 était avancé et, après si longtemps, je me souviens parfaitement de la date : c'était la nuit du 17 au 18 juin. Je passais un moment terrible de désespoir et de désir... Je crois que de toutes les pratiques religieuses, avait survécu uniquement celle du premier vendredi du mois. Mon âme était intoxiquée et rebelle ( À cause des multiples épreuves de sa jeunesse, tant psychologiques, infligées par sa mère, que physiques n.d.ouam ). Pensez donc si je pouvais avoir Dieu à l'esprit. Non. Il n'y a certainement pas eu de ma part une préparation à ce rêve. J'étais même plutôt sur la rive opposée, la plus éloignée de Dieu.

- Tu sais quoi, mon petit René ? Est-ce que tu veux que je te le lise une seconde fois, son rêve ?

- oh oui, maman !!!

- Alors, écoute. Et je te lirais même ce qu'elle en dit après, si tu es sage :

" Je me vis en songe dans une belle campagne. Des prés verts sur lesquels glissait un vent tiède et léger qui revigorait les petits brins d'herbe verte et faisait que les petites fleurs multicolores s'embrassaient entre elles. Ca et là, quelques bosquets d'arbres, qui ressemblaient à des géants en conversation. Un fleuve de couleur azur, aux berges basses et aux eaux tranquilles, coupait en deux cette belle campagne. Au loin s'estompaient quelques collines... Je suis absolument sûre, encore aujourd'hui, comme je l'étais à l'époque, qu'au cours de mes nombreux voyages à travers le sol d'Italie, je n'ai jamais vu cet endroit. Je me promenais dans l'herbe smaragdine ( couleur émeraude) et me baissais pour cueillir des fleurs.
Tout d'un coup, je vis à côté de moi un jeune homme. Très beau. Grand. Brun. Les cheveux bouclés, des yeux très noirs, brillants comme des étoiles, une bouche tumescente et souriante. Il portait une tunique qui descendait jusqu'au sol. Il ressemblait à un oriental, quelque chose d'intermédiaire entre le bédouin et le romain antique. Il s'approcha encore, s'intéressant avec gentillesse à ce que je faisais et se mit lui aussi à cueillir des fleurs : c'était les plus belles fleurs que j'avais jamais vues, car dès qu'il touchait quelque chose cela devenait magnifique. Cela me faisait plaisir de parler avec lui et de l'avoir près de moi. Il était si beau et gentil ! ... Il me séduisait complètement et je me félicitais de l'avoir rencontré.
Mais... mais dans le fond, presque à l'horizon, au-delà du fleuve, surgirent trois personnages. Eux-aussi étaient vêtus d'un ample long vêtement et d'un manteau. Ils se dirigeaient vers nous. Ils se déplaçaient avec une grande aisance, mais aussi avec une grande majesté. J'étais comme fascinée. Je les observais, car ils rayonnaient quelque chose de mystérieux, qui augmentait au fur et à mesure qu'ils approchaient.
Le beau jeune homme, qui était auprès de moi, me dit : "Ne les regarde pas, viens ! " Et il posa une main sur mes épaules pour m'imposer plus fortement sa volonté, je levais la tête pour le regarder et lui répondre, car il était beaucoup plus grand que moi et je restais stupéfaite devant l'altération de ses traits. Une expression intermédiaire entre la peur et la colère avait envahi son visage et l'avait enlaidi. J'en eus presque peur et je répondis, en essayant de me libérer de son étreinte : "Laisse-moi voir, et j'arrive". Mais le jeune homme, toujours plus inquiet, continuait à répéter : "Viens donc. Hors d'ici, viens donc ! Ces trois là sont tes ennemis et veulent te faire du mal ". Et moi : " Ce n'est pas possible ! Ils ont un air trop gentil ".
Désormais je distinguais les traits de ces trois visages. L'un était un homme âgé, au visage rude, d'origine plutôt populaire. Une barbe plus grise que noire lui couvrait les joues et le menton, laissant seulement à découvert les pommettes de ses joues pleines, sillonnées de quelques rides légères. Il portait des cheveux coupés plutôt courts, mais pas comme les hommes d'aujourd'hui les portent : c'était quelque chose d'intermédiaire entre la tignasse et le crâne rasé. Ses yeux très vifs et sévères allaient constamment de moi à son compagnon du milieu, avec qui il parlait avec animation. L'autre était un jeune d'une vingtaine d'années environ, vingt-cinq ans au maximum. Alors que le premier portait un vêtement gris et un manteau de couleur tabac brun,, celui-ci était habillé de rouge, avec un manteau d'un rouge plus sombre. Il était plutôt grand, élancé, mais pas trop, avec un visage admirable, sans moustache ni barbe, la peau fraîche et rose, des yeux très doux et compatissants d'un azur clair, de longs cheveux d'un blond pâle, légèrement ondulés, qui descendaient dans le cou. Il parlait lui-aussi à celui du milieu, mais avec un grand calme et me regardait avec une grande compassion.
Celui qui se trouvait au milieu et qui m'attirait plus que les deux autres, était très grand, au point de dépasser de toute la longueur de son cou et de sa tête les deux autres. Il portait un manteau blanc, sous lequel il avait un manteau d'un rouge léger, presque rose. Il dégageait une impression de grande majesté, par sa démarche, par ses gestes, par sa façon de s'adresser à ses deux compagnons, par son regard qui exprimait une douceur surhumaine. Son visage était très pâle, mais pas terreux. Ses yeux était d'un azur sombre, et avait un beau front haut et lisse. Le visage en forme d'ovale allongé était recouvert, au menton seulement, d'une barbe, d'un blond-roux, qui ralongeait son aspect. Il portait des cheveux longs jusque sur les épaules, qui retombaient de la tête à droite et à gauche de la raie, en mèches molles, plus rousses que blondes, ce que les peintres appellent le blond Titien, et qui se terminaient en légères boucles. Il avait de longues mains, blanches, splendides. Son corps était élancé, plutôt maigre. Son regard était un poème de bonté : un peu triste quoique voilé d'un sourire : c'était un regard implorant qui disait : "aime-moi".

J'étais de plus en plus fascinée et de plus en plus attirée par Lui.
Mon compagnon me prit à deux mains pour m'entraîner hors de là. Il était furieux. Son visage était franchement laid maintenant, d'un air féroce, torve, défait. Je le voyais s'enlaidir davantage à chaque minute. Il tremblait et grinçait des dents. Mais je lui résistais. Je combattais désormais contre lui en le griffant et le mordant.
Tandis que je luttais de la sorte, je me rendis compte que les trois avaient passé le fleuve, sans pont, je ne sais de quelle façon, et désormais se trouvaient tout près. Je compris alors qui c'étaient : Jésus, saint Pierre, et l'apôtre saint Jean. Dans un dernier effort, je me libérais de mon compagnon en qui je reconnaissais désormais mon ennemi, et je courus me jeter aux pieds du Christ. "Seigneur, sauve-moi !" criais-je en m'agrippant au bord de son vêtement.
L'ennemi - mais je pourrais écrire l'Ennemi, car j'avais compris clairement maintenant de qui il s'agissait, car son visage avait pris les traits authentiques du démon - courut à nouveau auprès de moi, avec une telle fureur qu'il surmontait le frisson que lui procurait la vue de Jésus et me saisit brutalement par une épaule. Je sentais sa main, devenue une griffe, se planter dans ma chair.
Je répétais en pleurant : "Seigneur, sauve-moi !"

Jésus se taisait. Il me regardait et se taisait. Une grande pitié s'exprimait dans son regard. Mais ses lèvres étaient fermées et ses mains tombaient inertes le long de sa robe blanche.

Saint Pierre... Eh! Saint Pierre était loin d'être gentil, car il disait à Jésus que je ne méritais pas de pitié. Saint Jean au contraire, d'une voix empreinte d'affliction et d'un regard triste, plaidait ma cause. "Maître, aie pitié de cette pauvre créature. Libère-là. Toi qui le peux ! Au fond, elle t'a toujours respecté. Autrefois, elle t'aimait. Aujourd'hui, elle est bouleversée par un traquenard... Aide-là, Maître !"
L'Ennemi hurlait : "Non, elle m'appartient. Je ne la lâcherai pas. Je l'ai prise et je la garde !"

Jésus se taisait.

Alors je levais la tête et les bras et je lui prenais les mains et les couvrais de baisers et lui disais : "O Seigneur, Seigneur ! Comment peux-tu ne point m'aider ? Au fond, je t'ai aimé ! Tu ne t'en souviens plus ? Je n'ai pas commis véritablement le mal. Pourquoi donc ne me libères-tu pas de celui qui veut m'entraîner chez lui ?"

Jésus prit alors la parole... Comment pourrais-je jamais oublier cette voix ? Qui donc sera jamais capable de me faire entendre ce ton, son accent qui vibre encore en moi, où je crois qu'il résonnera jusqu'au bienheureux instant où je réentendrai sa voix dans le Ciel ? ( Maria ne sait pas qu'elle va avoir plus tard des visions, et réentendre cette voix bien avant de mourir n.d.ouam )

Alors, Jésus parla et dit : " Maria, sache qu'il ne suffit pas de ne point commettre le mal; mais il faut encore ne point désirer l'accomplir".
Tandis que Pierre me repoussait presque, m'arrachant des bras de Jésus, tandis que Jean me caressait en suppliant en ma faveur, tandis que l'ennemi enserrait plus fortement sa griffe sur mon épaule au milieu des blasphèmes et d'horribles grimaces, j'entendis encore Jésus répéter à deux reprises ce qu'il venait de me dire, puis sa main se posa sur ma tête en geste d'absolution et de bénédiction. Je sens encore le toucher délicat de ses longs doigts dans mes cheveux...
Je compris que je venais d'être pardonnée et sauvée et, dans un élan de gratitude, je me jetais contre sa poitrine en pleurant des larmes de reconnaissance, de repentir, de joie ; c'était un bain qui me purifiait entièrement, tandis que l'Ennemi fuyait dans un hurlement de désespoir et que Jésus m'embrassait.

Je m'éveillai, l'âme illuminée par quelque-chose qui n'était pas terrestre.

Vingt-six ans et neuf mois ont passé depuis cette nuit là. Mais ce songe est encore en moi, vivant comme à l'instant où je m'éveillai. Je le revois exactement dans tous les moindres détails, et si j'étais peintre je pourrais peindre ces visages et ces moments de mon rêve. Je n'ai pas changé un seul mot, je n'ai pas ajouté de décor ni de dentelle. Je vous ai raconté fidèlement ce que j'ai vu en songe ( à son père spirituel, dom Migliorini )

J'ai cherché dans tous les magasins d'art et d'objets sacrés un visage de Jésus qui ressemble à celui que j'ai vu. Mais je ne l'ai jamais trouvé. Parfois j'ai trouvé le regard, mais il manquait l'expression de la bouche. Parfois encore j'ai trouvé la bouche, mais pas ses joues. J'en suis arrivée à la conviction qu'aucune main humaine ne peut reproduire ce visage... J'ai souvent rêvé de Jésus depuis lors, et il avait toujours ce visage-là , cette même stature, les mêmes mains. Depuis quelques temps, je perçois quelque-chose de plus qu'un songe... et je vois Jésus toujours avec ce même visage, cette même stature, ces mêmes mains.

Lorsque vous m'avez donné, Père, ce livre sur le Saint Suaire, j'en ai été secouée car, malgré l'altération due aux souffrances endurées, j'ai reconnu ce visage, cette stature, ces mains...

La période la plus mauvaise de ma tentation était passée. Je ne dis pas que je n'ai pas connu ensuite des moments noirs de rébellion. Non. J'en ai eu encore beaucoup. Mais lorsque le démon de la rébellion, du sens et du désespoir m'assaillait pour susciter en moi de funestes pensées, les mots de Jésus faisaient en sorte que je savais repousser le désir de commettre le mal."


" Alors, mon petit René, as-tu compris pourquoi je t'ai lu, ce rêve de Maria Valtorta ? Qu'est-ce qu'il t'apprend ?"

- Oh oui, maman, j'ai bien compris ! En fait, il montre beaucoup de choses très importantes :

- Le Seigneur voulut ainsi montrer à sa petite servante que, lorsqu'on vit comme elle alors, dans l'éloignement de Dieu, IL EST AISÉ POUR LE DÉMON DE SE FAIRE PASSER AUPRÈS DE NOUS POUR QUELQU'UN DE BEAU, DE GENTIL, D'ATTENTIONNÉ, pour mieux nous influencer et nous entraîner à sa suite. Mais même alors, il se fait démasquer par Dieu, pour peu qu'on ai voulu aimer Celui-ci et le suivre, même imparfaitement ! Dieu ne nous abandonnera pas à sa tromperie sans nous prévenir.

- Que même du temps où Maria Valtorta n'était pas entièrement convertie, mais qu'elle était encore un peu attachée au monde, Jésus l'aimait et a voulu l'arracher aux mains de l'ennemi, lui accorder son pardon : alors, à combien plus forte raison, quand elle fut devenue plus tard une authentique sainte, offrant sa vie et ses souffrances pour le salut du monde, désirant ardemment souffrir beaucoup pour être plus unie à son Jésus, Celui-ci fut là pour la défendre en empêchant tout à fait Satan de la tromper !

- Mais que aussi, Jésus ne voulait pas tout de suite la bénir, lorsqu'elle était encore accaparée par le monde : Il souhaitait sa conversion, mais Il ne la forçait pas, c'est elle qui a du rassembler ses forces pour le vouloir vraiment, et même ainsi, elle a du commencer par accepter un reproche sévère de la part du Christ : Lui, Il veut tout, Il ne se contente pas d'une demie conversion, d'un coeur qui l'écoute un peu, et aussi un peu l'ennemi quand ça ne va pas. Il veut un coeur qui ne désire même plus le péché !
Mais À COMBIEN PLUS FORTE RAISON IL FUT LÀ, À SES CÔTÉS POUR LA BÉNIR ET LA PROTÉGER DU DÉMON, LORSQU'ELLE FUT DEVENUE UNE AUTHENTIQUE SAINTE !

Maria Valtorta a ainsi appris à se donner entièrement à Dieu, sans rien garder pour elle, comme la petite Thérèse son modèle, et alors, elle n'a plus jamais été dans l'illusion du démon, avec ses fleurs empoisonnées.

- Et on peut donc être sûr, ma chère maman, que puisqu'après cela, Jésus a voulu lui donner des visions de sa Vie : Il ne l'aurait certainement jamais fait si Maria Valtorta était restée intérieurement comme du temps de son rêve, assise entre deux chaises, sans avoir choisi définitivement le camp de Jésus son Sauveur !


" - Bravo ! Félicitations, mon petit René, tu apprends vite ! Et sais-tu que les signes ne manquent pas qu'il en fut bien ainsi ? notamment : le fait que Maria Valtorta développa tout au long de sa vie une avertion irrépressible contre l'oeuvre du démon, spécialement envers le spiritisme qu'elle eut à côtoyer de près, la pauvre. Comme Jésus qui chassait les démons, elle chassa les spirites par la force du petit exorcisme qu'elle récitait.

Et sais-tu que sur la fin de sa vie, lorsque - comme tu diras plus loin dans ton livre - elle était dans un complet isolement psychologique, ne parlant plus à personne, les responsables de l'édition de son oeuvre entrèrent un jour chez elle pour la saluer, l'un d'entre eux étant un.... docteur en parapsychologie ( un spirite ). Immédiatement, alors qu'elle ne l'avait jamais rencontré, et était prostrée dans son lit sans réagir, elle se mit à crier : "VA-T-EN ! VA-T-EN ! VA-T-EN ! " en lui montrant la porte ! On essaya de la raisonner, mais devant la violence de son insistance, on du faire sortir le monsieur tout déconfit. Elle ne supportait pas la présence du mauvais. Et après, elle retomba dans son isolement, dont elle ne sortit encore qu'une fois. Mais rappelle-toi que même le grand saint Thomas d'Aquin connu ce genre d'état avant de mourir !

"-Tu comprends encore mieux; mon petit René ?
"- Oui, maman, maintenant j'y vois beaucoup plus clair ! J'aime bien quand tu me parles de Maria Valtorta, tu pourras continuer ?
"- Oui mon amour, mais pas ce soir, maintenant il est l'heure pour toi d'aller au dodo !
"- Bisous, maman ! Je t'aime très fort :)
"- Bisous mon coeur, je t'aime très fort aussi :)
"- A demain !
"- A demain, ferme tes yeux... et dors maintenant..."

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