« Philippe Auguste porte bien son nom, et nous continuons ici dans une succession de rois dont chaque successeur semble surpasser son prédécesseur en sainteté et en justice. Philippe Auguste ouvre l’âge d’or de notre histoire sous de nombreux aspects : le lumineux treizième siècle.
Ce siècle d’or, comme nous le voyons déjà, et comme nous le verrons encore par la suite, n’est pas le fruit du …Plus
« Philippe Auguste porte bien son nom, et nous continuons ici dans une succession de rois dont chaque successeur semble surpasser son prédécesseur en sainteté et en justice. Philippe Auguste ouvre l’âge d’or de notre histoire sous de nombreux aspects : le lumineux treizième siècle.

Ce siècle d’or, comme nous le voyons déjà, et comme nous le verrons encore par la suite, n’est pas le fruit du hasard, mais du travail acharné de saints hommes pieux, qui, confiant toutes leurs œuvres à Dieu et les réalisant pour Dieu, les accomplissent avec toute la rigueur nécessaire, loin de toute paresse et de toute naïveté — que, hélas, les conciliaires affectionnent tant… [...]
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Commentaire de l’« Abrégé de l’Histoire de France » de Bossuet. Partie 16 : Philippe Auguste, roi …

Philippe, appelé Auguste le Conquérant, ou Dieudonné, âgé d’environ quinze ans, et couronné à …
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« Philippe Auguste porte bien son nom, et nous continuons ici dans une succession de rois dont chaque successeur semble surpasser son prédécesseur en sainteté et en justice. Philippe Auguste ouvre l’âge d’or de notre histoire sous de nombreux aspects : le lumineux treizième siècle.
Ce siècle d’or, comme nous le voyons déjà, et comme nous le verrons encore par la suite, n’est pas le fruit du …Plus
« Philippe Auguste porte bien son nom, et nous continuons ici dans une succession de rois dont chaque successeur semble surpasser son prédécesseur en sainteté et en justice. Philippe Auguste ouvre l’âge d’or de notre histoire sous de nombreux aspects : le lumineux treizième siècle.

Ce siècle d’or, comme nous le voyons déjà, et comme nous le verrons encore par la suite, n’est pas le fruit du hasard, mais du travail acharné de saints hommes pieux, qui, confiant toutes leurs œuvres à Dieu et les réalisant pour Dieu, les accomplissent avec toute la rigueur nécessaire, loin de toute paresse et de toute naïveté — que, hélas, les conciliaires affectionnent tant… [...]