Contrairement aux nazis, les criminels actuels ne craignent pas d’avoir à rendre des comptes.
Nous connaissons tous la célèbre phrase de Goebbels : « Si nous gagnons la guerre nous serons des héros, si nous la perdons nous serons considérés comme les plus grands criminels de tous les temps ». Cette phrase montre en creux que pour abominables que fussent les nazis, il leur restait cependant une étincelle de conscience universelle. Ils savaient, au fond, que ce qu’ils faisaient était mal. Pour ce qui est des criminels actuels, les choses sont différentes. En effet pour la premières fois dans l’histoire de l’humanité, les grands criminels, et notamment ceux qui prônent l’assassinat légal des enfants à naître (Macron, Fillon, Merkel, Juppé, Sarkozy, Marine le Pen, Hillary Clinton, et toute la clique…), assassinat qui conduit chaque année au génocide de 96% d’enfants à naître » trisomiques occidentaux, non seulement n’ont aucune crainte quant à leur éventuel jugement, mais cette possibilité d’avoir à rendre des comptes dans le cas où ils « perdraient la guerre » ne leur vient même pas à l’idée. Pour la première fois dans l’histoire des hommes, nous assistons à une sorte de triomphe complet du sentiment d’impunité.
Il nous appartient donc à nous disciples du Christ, catholiques et ultime rempart terrestre contre l’universalisation de l’indifférenciation entre le bien et le mal (fruit des lumières), de dire clairement à Monsieur Macron and Co, que si un jour nous reprenons le pouvoir, nous les jugerons. Oui, nous jugerons Mr Macron pour avoir basé sa campagne sur la déculpabilisation absolue de l’avortement, nous le jugerons pour avoir osé faire la promotion du mariage « contre Dieu et nature », auprès de petites filles dans une école de la république www.youtube.com/watch ,
nous le jugerons pour avoir eu l’ignominie de vouloir devenir le président de la Fille aînée de l’Église tout en promouvant la culture de mort dont le but est la destruction du catholicisme et de la France éternelle ; car au fond, c’est cela que nous a dit Mr Macron : « vote pour moi, pour que je te tue ».
N’oublions pas que le pardon chrétien et la miséricorde s’appliquent uniquement quand le pécheur reconnait ses torts et fait son mea culpa ; en revanche ils ne s’appliquent pas à l’endroit de ceux qui persistent dans le mal. Leur pardonner, reviendrait, au fond, à donner raison au diable, et cela n’a jamais été un commandement du Christ. Il me semble vital de rétablir, dans la vérité, la notion de jugement et de châtiment. L’amour chrétien repose sur la vérité et non pas sur le sentimentalisme New Age qui n’est que ruse du Démon. Refuser de juger les scélérats revient à les encourager dans le mal. Les faux cathos qui font semblant de ne pas comprendre cette évidence, sont des traîtres.
Nous vous jugerons, Monsieur Macron.
PHOTO: Au conseil des ministres nous reconnaissons le traître Bayrou qui avait accepté de travailler pour Mr Macron. Lui aussi, avec les autres cathos tièdes "à vomir", Sarko, Juppée, Marine Le Pen, Fillon etc., devra être jugé.
Il nous appartient donc à nous disciples du Christ, catholiques et ultime rempart terrestre contre l’universalisation de l’indifférenciation entre le bien et le mal (fruit des lumières), de dire clairement à Monsieur Macron and Co, que si un jour nous reprenons le pouvoir, nous les jugerons. Oui, nous jugerons Mr Macron pour avoir basé sa campagne sur la déculpabilisation absolue de l’avortement, nous le jugerons pour avoir osé faire la promotion du mariage « contre Dieu et nature », auprès de petites filles dans une école de la république www.youtube.com/watch ,
nous le jugerons pour avoir eu l’ignominie de vouloir devenir le président de la Fille aînée de l’Église tout en promouvant la culture de mort dont le but est la destruction du catholicisme et de la France éternelle ; car au fond, c’est cela que nous a dit Mr Macron : « vote pour moi, pour que je te tue ».
N’oublions pas que le pardon chrétien et la miséricorde s’appliquent uniquement quand le pécheur reconnait ses torts et fait son mea culpa ; en revanche ils ne s’appliquent pas à l’endroit de ceux qui persistent dans le mal. Leur pardonner, reviendrait, au fond, à donner raison au diable, et cela n’a jamais été un commandement du Christ. Il me semble vital de rétablir, dans la vérité, la notion de jugement et de châtiment. L’amour chrétien repose sur la vérité et non pas sur le sentimentalisme New Age qui n’est que ruse du Démon. Refuser de juger les scélérats revient à les encourager dans le mal. Les faux cathos qui font semblant de ne pas comprendre cette évidence, sont des traîtres.
Nous vous jugerons, Monsieur Macron.
PHOTO: Au conseil des ministres nous reconnaissons le traître Bayrou qui avait accepté de travailler pour Mr Macron. Lui aussi, avec les autres cathos tièdes "à vomir", Sarko, Juppée, Marine Le Pen, Fillon etc., devra être jugé.