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"Satan ne veut pas que vous sachiez cette lecon" - l'Esprit-Saint à Maria Valtorta - Clap de fin pour les négateurs de l'oeuvre qui l'accusent de présenter le péché originel comme premièrement une …More
"Satan ne veut pas que vous sachiez cette lecon" - l'Esprit-Saint à Maria Valtorta
- Clap de fin pour les négateurs de l'oeuvre qui l'accusent de présenter le péché originel comme premièrement une faute charnelle ( cf min 53, précédentes et suivantes )
- Clap de fin pour les calomniateurs qui prétendent que Maria Valtorta présenterait son oeuvre comme supérieure aux saints Evangiles ( cf 1h 43 min, précédentes et suivantes)
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Les catholiques traditionnels vaincront leurs démons, et reconnaîtront dans l'oeuvre de Maria Valtorta, à la suite de Mgr Williamson mais surtout de Pie XII , la Main tendue de Dieu, son aide toute puissante pour rétablir un jour l'Eglise sur les bases solides de la vraie foi traditionnelle.
Joséphine Farinelle
3. Les rapports de l’oeuvre avec l’autorité ecclésiastique
L’oeuvre de Maria Valtorta, avant même d’être achevée, commença à être en difficulté avec la hiérarchie ecclésiastique. C’est le Père Migliorini qui devait en être la cause involontaire.
Le Père Romualdo M. Migliorini, un saint prêtre selon les souvenirs qu’en ont gardés ses confrères et tous ceux qui l’ont connu, ne se contentait …More
3. Les rapports de l’oeuvre avec l’autorité ecclésiastique

L’oeuvre de Maria Valtorta, avant même d’être achevée, commença à être en difficulté avec la hiérarchie ecclésiastique. C’est le Père Migliorini qui devait en être la cause involontaire.

Le Père Romualdo M. Migliorini, un saint prêtre selon les souvenirs qu’en ont gardés ses confrères et tous ceux qui l’ont connu, ne se contentait pas d’aider Maria Valtorta spirituellement, mais prit sur lui de transcrire à la machine ses cahiers autographes. Dans son application à ce travail, il fut pris d’un enthousiasme croissant pour Ces écrits, au point d’en faire une distribution imprudente en fascicules dactylographiés: geste auquel le Père Berti, dans son langage coloré, donna le nom significatif de « becquée », passe à l’histoire. En outre, le Père Migliorini avait insisté, semble-t-il, sur le caractère de « révélation divine » de ces pages, qui, détachées du contexte de l’oeuvre, pouvaient paraître provocantes par leur originalité, Surtout en ce temps-là. Par-dessus le marché, le bon Père commença à s’occuper d’au moins deux autres femmes qui, se jugeant investies d’une mission d’en-haut, avaient pris des initiatives qui sont demeurées discutables. Le résultat le plus évident en fut l’éloignement du Père Migliorini, qui, en 1946, sur l’ordre de ses supérieurs, dut quitter Viareggio pour Rome; mais il est vraisemblable que fut jointe à cette mesure l’interdiction de continuer à diffuser les copies dactylographiées.

A Rome, le Père Migliorini rencontra le Père Berti. Il lui apprit l’existence de Maria Valtorta et avec lui se mit à imaginer de quelle manière rendre possible et licite la publication des écrits valtortiens, même si l’harmonie de ses propres rapports avec leur auteur était de plus en plus ébranlée par une incompréhension croissante, qui atteignit parfois dans les lettres qu’ils échangeaient le ton polémique. Par la suite, les deux allaient cesser de s‘écrire.

En 1947, les Pères Migliorini et Berti, confrères dans l’ordre des Servites de Marie, réussirent à faire parvenir au pape Pie XII les 12 volumes dactylographiés de l’oeuvre. Après avoir pris connaissance du texte personnellement, le pape accorda une audience spéciale aux deux religieux et à leur prieur le Père Andrea M. Cecchin, en février 1948. Son jugement était favorable. Aussi conseilla-t-il de publier l’oeuvre sans rien enlever, pas même les déclarations explicites de rapporter des « visions » et des « dictées »; mais en même temps il n‘approuva pas le texte d’une préface qui parlait d’un phénomène surnaturel. Selon le conseil du pape, toute interprétation devait etre laissée au lecteur: « Qui lira comprendra ».

Rassurés par une telle réponse en haut lieu, les deux religieux se mirent en frais pour chercher un éditeur. Après quelques démarches sans résultat, leur enthousiasme les conduisit à l’imprimerie polyglotte vaticane. Ils y trouvèrent une bonne disposition à accepter le travail, qui, cependant, devait être soumis préalablement au Saint Office, où l’oeuvre finit par être sévèrement et inexplicablement bloquée en 1949. Le Père Berti fut forcé d’apposer sa signature au texte de la sentence du Saint Office sans avoir la liberté de parler, et l’ordre lui fut intimé de remettre au Saint Office les originaux autographes et toutes les copies existantes. Mais le Père, qui ne gardait à Rome que quelques-uns des originaux, s’empressa de faire de nuit le voyage à Viareggio afin de les rendre à leur propriétaire légitime; il n’apporta au Saint Office que les seules copies dactylographiées incomplètes et les doubles qui étaient alors en sa possession. Quelques personnalités qui, entre-temps, s’étaient intéressées à l’oeuvre, essayèrent en vain d’obtenir une nouvelle audience pontificale, suite à la demande que leur en avait faite Maria Valtorta elle-même qui était fort abattue.

Au début des années 50, l’oeuvre fut enfin retenue par notre maison. Nous ne voulûmes pas aller au fond ce cette affaire passée qui nous paraissait n’avoir obligé que les ecclésiastiques, et nous estimions avoir suffisamment de garanties dans le jugement suprême du pape et dans les attestations qu’avaient mises par écrit des personnalités indiscutablement compétentes et en pleine autorité. (Pour ces témoignages nous renvoyons au bulletin n° 19 de juin 1979, à partir de la deuxième colonne de la page 2). Mais, par-dessus tout, nous étions profondément convaincus que nous nous mettions au service d’une oeuvre sainte dont l ‘Eglise aurait beaucoup à se réjouir.

Notre évêque (qui était alors Mgr Fontevecchia), de qui nous obtenions l’imprimatur pour toutes les publications religieuses qui sortaient de nos presses, n’eut pas le courage de l’accorder à cette masse accaparante de feuilles dactylographiées, qu’il appréciait cependant et qu’il se faisait lire, étant sur le point de sombrer dans la cécité.

La première édition de l’oeuvre parut en quatre gros volumes, maintenant introuvables, le premier en 1956, le dernier en 1959. Elle ne portait pas de nom d’auteur: tel était le désir de Maria Valtorta qui ne voulait pas être connue de son vivant. L’oeuvre se répandit lentement, avec succès, sans rencontrer de difficultés.

Mais à la mort de Pie XII et après l’élection de Jean XXIII, qui favorisait une décentralisation marquée du gouvernement de l’Eglise par rapport à ses dicastères, les hostilités assoupies semblèrent se ranimer. La mise à l’index éclata comme un coup de foudre dans un ciel bleu, sans le préavis normal d’une admonition. Le décret de condamnation par le Saint Office était publié en première page de L ‘Osservatore Romano du mercredi 6 janvier 1960, Epiphanie du Seigneur, où paraissait aussi un article d’une colonne entière, sans signature, portant le titre: « Une vie de Jésus mal romancée ».

Le contenu de cet article, que nous pouvons, après 20 ans, relire avec une sérénité éprouvée, correspond à son titre, puisqu’il ne signale aucune erreur substantielle dans l’oeuvre.

L’auteur anonyme de l’article, après avoir fait remarquer l’absence de l’imprimatur, prescrit pour une telle publication, et l’inconsistance du rapprochement avec Dante que fait l’éditeur dans sa brève préface, décrit l’oeuvre comme n’étant qu’une longue vie de Jésus, prolixe et romancée, et dénonce l’abus de confiance dont auraient été victimes les illustres personnalités qui lui ont accordé leur appui. Il expose ensuite les motifs, qu’il dit facilement reconnaissables à tout lecteur armé d’une patience de bénédictin, pour lesquels le Saint Office a cru nécessaire de mettre l’oeuvre à l’Index des livres défendus (nous mettons en italique tous les passages de l’article):

* la longueur des discours attribués à Jésus et à la très sainte Vierge; les interminables dialogues entre de nombreux personnages

* Jésus est loquace à l’extrême, en véritable publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu et à faire des exposés de théologie dans les termes mêmes qu ‘emploierait un professeur de nos jours

* la très sainte Vierge a la faconde d’une propagandiste moderne; elle est présente partout, toujours prête à donner des leçons d’une théologie mariale mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière

* le récit se déroule au rythme lent de vains bavardages; on y trouve de nouveaux faits, de nouvelles paraboles, de nouveaux personnages et tout un cortège de femmes à la suite de Jésus

* quelques pages… plutôt scabreuses (dont deux exemples sont donnés: la confession de la pécheresse Aglaé à la Vierge Marie et une danse exécutée devant Pilate) suscitent imprévisiblement cette remarque particulière: l’oeuvre.., pourrait facilement tomber entre les mains de religieuses et des étudiantes de leurs collèges. Dans ce cas, la lecture de passages de ce genre… pourrait difficilement être faite sans danger ou dommage sur le plan spirituel

* les spécialistes des études bibliques y trouveront certainement beaucoup d’erreurs historiques, géographiques et autres (qui cependant ne sont pas indiquées)

* au milieu d’un si grand étalage de connaissances théologiques, on peut cueillir quelques perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie catholique; et on en énumère quatre: 1) ici et là s‘exprime, au sujet du péché d’Adam et Eve, une opinion plutôt extravagante et inexacte; 2) l’affirmation que Marie peut être appelée la seconde-née du Père est suivie d’une explication qui, tout en évitant une hérésie authentique, n‘enlève pas l’impression fondée qu‘on veut construire une nouvelle mariologie qui dépasse facilement les bornes de la conformité théologique; 3) à propos d’une définition du Paradis qui y est donnée, on présente une notion hermétique et plus confuse que jamais, ce qui est heureux, car si on devait la prendre à la lettre, elle n‘échapperait pas à une censure sévère; 4) une autre affirmation au sujet de la sainte Vierge est qualifiée d’étrange et imprécise, mais on ne fait que la citer

* l’oeuvre aurait donc mérité une condamnation même s’il ne se s’agit que d’un roman, ne serait-ce que pour des raisons d’irrévérence

* mais en réalité l’intention de l’auteur va plus loin encore… l’auteur se révèle une femme qui déclare avoir été témoin de tout le temps messianique et se nommer Maria. Ces mots évoquent des souvenirs d’il y a environ une dizaine d’années, alors que circulaient certains textes dactylographiés volumineux, qui contenaient de prétendues visions et révélations. On sait qu‘alors I‘autorité ecclésiastique compétente avait défendu l’impression de ces textes dactylographiés et avait ordonné qu’ils soient retirés de la circulation. Et maintenant nous les voyons reproduits presque en entier dans la présente oeuvre. Cette condamnation publique de l’oeuvre par la Suprême Sacrée Congrégation est donc d’autant plus opportune, qu‘ils ‘agit de désobéissance grave.

Tels sont les passages essentiels que nous avons retenus de l’article.
Faisons maintenant les observations suivantes (les citations sont encore en italique):

1) L’auteur anonyme de l’article n’a pas réussi à trouver dans ces quelques 4,OOO pages imprimées en petits caractères, ne serait-ce qu’une seule erreur véritable et précise, mais seulement: quelques perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie catholique; une opinion plutôt extravagante et inexacte; une affirmation dont l’explication limite le sens, tout en évitant une hérésie authentique; l’impression fondée qu‘on veut construire une nouvelle mariologie; une notion hermétique et plus confuse que jamais, de sorte que, si on devait la prendre à la lettre, elle n’échapperait pas à une censure sévère; une autre affirmation étrange et imprécise; des raisons d’irrévérence.

2) Il laisse échapper des éloges de l’oeuvre qui feraient l’envie de tout auteur religieux:

des leçons de théologie dans les termes mêmes qu‘emploierait un professeur de nos jours; des leçons d’une théologie mariale mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière; un si grand étalage de connaissances théologiques.

3) Il énonce une contre-vérité lorsqu’il affirme que, dans cette oeuvre, Jésus est loquace à l’extrême, en véritable publicitaire.., et que la très sainte Vierge Marie a la faconde d’une propagandiste moderne, est présente partout….

4) Il se montre superficiel ou incompétent en critique littéraire, à laquelle d’ailleurs il aurait dû renoncer, car elle ne peut apporter aucun critère qui ait sa place dans une censure ecclésiastique.

5) Il affirme, dans sa conclusion, le caractère avant tout disciplinaire des dispositions prises par le Saint Office.

Si le décret de condamnation issu de la Suprême Sacrée Congrégation du Saint Office nous chagrinait comme catholiques, nous étions cependant rassurés par cet article qui en expliquait les motifs. Nous nous sommes aussitôt rendu compte que l’Eglise, en frappant l’oeuvre de Maria Valtorta par une mesure légitime mais étrangère à son magistère infaillible, ne faisait que répéter un geste plusieurs fois posé dans son histoire, et toujours mystérieusement permis par Dieu, contre des personnes et des écrits dont, par la suite, elle aurait à se glorifier. Nous l’acceptâmes en silence.

Maria Valtorta, déjà entrée dans son inexplicable isolement psychique, allait mourir l’année suivante, le 12 octobre 1961. Le Père Migliorini, emporté par la maladie, s’était éteint en 1953. Avec l’étroite collaboration du Père Berti, nous avons trouvé le moyen de reprendre la publication de l’oeuvre selon des critères qui n’excluraient pas le respect dû à l’autorité de l’Eglise. Il s’agissait, au fond, de ne pas trahir une foi qui s’était enracinée en nous et d’empêcher que d’autres éditeurs, au cas où nous renoncerions à cette publication, s’approprient cette grande oeuvre et la fassent servir à d’autres intentions, pouvant même tirer profit de la condamnation ecclésiastique à des fins publicitaires.

En décembre 1961 après la parution des premiers volumes de la nouvelle édition qui allait en compter dix, le Père Berti fut de nouveau convoqué par le Sainte Office. Il y trouva une atmosphère de dialogue qui lui permit, entre autre, de rapporter les paroles de Pie XII en 1948 et de montrer les témoignages favorables qu’avaient formulés quelques personnalités, parmi lesquelles il y avait trois conseillers du même Saint Office: le Père Bea (devenu cardinal), Monseigneur Lattanzi et le Père Roschini. Suite à la demande qu’on lui fit d’un rapport et de quelques documents, le Père Berti dut retourner au Saint Office à quatre reprises en janvier 1962. Il put toujours s’entretenir avec le vice-commissaire, le Père Giraudo, dominicain, et en obtint, enfin, un jugement qui avait la forme d’une autorisation modérée: « Nous verrons comment l’oeuvre sera accueillie ».

Puis ce fut l’annonce d’un Concile oecuménique, et l’Église tourna ailleurs son attention. L’oeuvre de Maria Valtorta s’étant relevée du coup qu’elle avait subi, avait déjà repris le chemin, lent, silencieux et continu, de sa diffusion. Elle recueillit sans cesse des approbations et sema un bien incalculable pendant tout le pontificat de Paul VI. En 1966, l’Index des livres défendus fut supprimé et la censure des lecteurs et éditeurs qui en découlait fut abrogée, en vue d’une révision de toute la question, laquelle aboutit à une nouvelle réglementation en 1975.

Vers la fin de l’année 1978, un monseigneur de la Curie romaine, lecteur et amateur profond de l’oeuvre, et ami déjà du cardinal Wojtyla, conseillait à l’éditeur Emile Pisani d’offrir en hommage au Saint Père Jean-Paul II les dix volumes de l’oeuvre valtortienne. En janvier 1979, ce même monseigneur porta au palais apostolique le coffret contenant les volumes reliés, accompagnés d’une longue lettre écrite par lui-même et d’une autre plus brève de l’éditeur. Nous tentions ainsi de nous approcher du nouveau Pontife, qui aime tant le contact direct avec les fidèles et avec toute personne, sans discrimination aucune. Mais nous avons raison de croire que cette initiative, inspirée d’un sentiment sincère de dévouement filial, a été bloquée par la Secrétairerie d’Etat.

Il nous reste, pour le moment, la consolation de voir l’expansion prodigieuse de l’oeuvre de Maria Valtorta qui, sans recours à la publicité, rejoint ses lecteurs en Italie et à l’étranger, jusque dans les pays les plus éloignés, et nous en rapporte des échos du bien profond qu’elle accomplit dans les consciences, les éveillant à l’amour de Jésus-Christ et de son Eglise. Il y a là les signes d’une approbation qui, à nos yeux, commence à avoir une valeur ecclésiale, parce qu’elle montre que le peuple de Dieu, qui est Eglise, a reconnu l’oeuvre comme les disciples d’Emmaüs reconnurent le Seigneur, et il ne peut s’en détacher. Cette approbation prend du poids, lorsque, parmi ces fidèles lecteurs inconnus, ressortent des personnalités de renom qui attestent la grandeur de l’oeuvre, l’expliquent et s’en portent garantes. On ne peut les contredire sans porter atteinte à l’estime qu’a le monde catholique pour les champions de la doctrine sûre et des saintes moeurs.

Ecrit par Emile Pisani (Isola del Liri, Italie, 1981) et traduit de l’italien par Léo A. Brodeur (Sherbrooke, Canada, 1985).
Tiré du Bulletin d’informations valtortiennes, n°23, janvier-juin 1981, Editions Pisani, Isola del Liri (FR), Italie.
L‘éditeur Emile Pisani annonce avoir constitué, le 14 janvier 1985, la société éditrice CEV (Centre Editorial Valtortien), qui continuera de soigner la publication et la diffusion des oeuvres de Maria Valtorta
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France Fidele
Défense de Maria Valtorta par Mgr Williamson :
1. Doctrine – alors que le modernisme ravage l’enseignement immuable de l’Église, les âmes ont besoin de voir comment j’ai donné cet enseignement identique à l’Église dès le début : divin, parfait, immuable.
2. Amour – lorsque la charité se refroidit et se sentimentalise, les prêtres et les laïcs ont besoin que leur amour pour le Christ et pour …More
Défense de Maria Valtorta par Mgr Williamson :

1. Doctrine – alors que le modernisme ravage l’enseignement immuable de l’Église, les âmes ont besoin de voir comment j’ai donné cet enseignement identique à l’Église dès le début : divin, parfait, immuable.

2. Amour – lorsque la charité se refroidit et se sentimentalise, les prêtres et les laïcs ont besoin que leur amour pour le Christ et pour tout ce qui concerne le Christ soit renouvelé, surtout pour sa Mère.

3. Direction – lorsque les âmes s’égarent dans tous les sens, les directeurs spirituels ont besoin de voir par combien de chemins différents je les ai dirigées.

4. Réalité – quand l’amour est faussé et sali à si grande échelle, les êtres humains ont besoin de voir Jésus et Marie comme deux véritables êtres de chair et de sang, avec un amour parfait, mais réellement humain, entre eux.

5. Souffrance – lorsque le confort passe en premier partout, ceux qui recherchent le plaisir à tout prix doivent connaître combien variées furent les souffrances de ma Mère et de Moi-même, et comment elles ont commencé des dizaines d’années avant la Passion.

6. Monde – lorsque les mots sont complètement dégradés, les gens ont besoin de voir le pouvoir de mon Verbe, de mes mots, pour transformer les âmes, par exemple de grands pécheurs en de grands Apôtres.

7. Judas – lorsque le mal est sentimentalisé jusqu’au point d’être nié, il faut faire voir aux pécheurs le mystère d’iniquité dans sa forme humaine, pour qu’ils ne suivent pas Judas en Enfer.

Kyrie eleison.
Kée Quay Cléder
Vu ce qu'elle dit sur la Genèse, non merci.
apvs
... et vu ce que Kée dit sur la Genèse et Maria Valtorta : non, merci.
Alexandra GUYONNET
Merci 🙏🙏🙏🌟🌟🌟🕊️🕊️🕊️
France Vappereau
Merci cher apvs de diffuser cela😉🙏🏻👍💫j'ai répondu à votre précieux commentaire il y a quelques heures de cela. On reste sur le pont.....veillant et priant🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻🙏🏻
vobiscum
La Vérité est à la portée de tous! pagesperso-orange.fr FIAT-FIAT-FIAT