"Le secret le plus strict" : François rompt son serment
Des extraits ont été publiés le 31 mars par le quotidien espagnol ABC. François a déclaré avoir été "utilisé" par d'autres cardinaux qui ont tenté d'empêcher l'élection de Ratzinger.
Bien que les cardinaux aient prêté serment de garder le secret sur tout ce qui concerne l'élection, tant pendant qu'après le conclave, il a été rapporté de manière crédible que Bergoglio était arrivé en deuxième position lors du scrutin final.
Aujourd'hui, François est l'un de ceux qui ne respectent pas leur serment. Il a déclaré qu'un groupe de cardinaux s'était livré à une "véritable manœuvre" en proposant son nom "pour bloquer l'élection de Ratzinger et négocier ensuite l'élection d'un autre, d'un troisième candidat".
Il a déclaré avoir obtenu 40 des 115 voix des cardinaux électeurs de la chapelle Sixtine - "suffisamment pour arrêter la candidature du cardinal Joseph Ratzinger, car s'ils avaient continué à voter pour moi, il n'aurait pas été en mesure d'atteindre la majorité des deux tiers nécessaire pour être élu pape".
"Ils n'étaient toujours pas d'accord sur le choix du candidat, mais ils étaient sur le point de proposer un nom.
Lorsqu'il a appris la stratégie après le deuxième ou le troisième tour de scrutin, François a déclaré qu'il avait dit au cardinal colombien Darío Castrillón Hoyos de ne pas "plaisanter avec ma candidature" et qu'il n'accepterait pas d'être pape s'il était élu. "Et à partir de là, Benoît a été élu.
François affirme que le cardinal Ratzinger "était mon candidat" lors du conclave et se décrit comme quelqu'un qui "met le bazar".
La version de François selon laquelle "Ratzinger était mon candidat" est contredite par le fait que François l'a maltraité, même après sa mort.
Voici le texte intégral du serment que François et les autres cardinaux traîtres ont prêté avant le conclave de 2013. Le texte ressemble à une blague hypocrite :
"Nous, cardinaux électeurs présents à cette élection du Souverain Pontife, promettons, nous engageons et jurons, en tant qu'individus et en tant que groupe, d'observer fidèlement et scrupuleusement les prescriptions contenues dans la Constitution apostolique du Souverain Pontife Jean-Paul II, Universi Dominici Gregis, publiée le 22 février 1996.
Nous promettons également, nous nous engageons et nous jurons que celui qui sera élu Pontife romain par la Divine Providence accomplira fidèlement le munus Petrinum de Pasteur de l'Église universelle et ne manquera pas d'affirmer et de défendre vigoureusement les droits et la liberté spirituels et temporels du Saint-Siège.
De manière particulière, nous promettons et jurons d'observer avec la plus grande fidélité et avec toutes les personnes, clercs et laïcs, le secret de tout ce qui concerne de quelque manière que ce soit l'élection du Pontife romain et de tout ce qui se passe sur le lieu de l'élection, en relation directe ou indirecte avec les résultats de l'élection.
Nous promettons et jurons de ne violer ce secret en aucune manière, ni pendant ni après l'élection du nouveau Pontife, sauf autorisation expresse du même Pontife ; et de ne jamais soutenir ou favoriser aucune ingérence, opposition ou autre forme d'intervention par laquelle des autorités séculières de quelque ordre ou degré que ce soit, ou tout groupe de personnes ou d'individus, pourraient intervenir dans l'élection du Pontife romain. "
Traduction de l'IA
