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"Les quinze erreurs du professeur" ou : "Comment il est dangereux d'improviser une critique scientifiques de l'œuvre de Maria Valtorta, lorsqu'on refuse toute remise en cause de ses propres conclusions …More
"Les quinze erreurs du professeur" ou : "Comment il est dangereux d'improviser une critique scientifiques de l'œuvre de Maria Valtorta, lorsqu'on refuse toute remise en cause de ses propres conclusions hâtives et bâclées.
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Pour qu'une démarche scientifique soit valable, cela implique de vouloir démontrer par tous les moyens que l'on a soi-même tort : or ce monsieur defend bec et ongle ses conclusions arrogantes, contre toutes les évidences du contraire. Ainsi, il n'arrive qu'à contrefaire admirablement les raisonnements scientifiques de pointe, mais ne conviendra jamais d'aucune de ses regrettables erreurs à propos …More
Pour qu'une démarche scientifique soit valable, cela implique de vouloir démontrer par tous les moyens que l'on a soi-même tort : or ce monsieur defend bec et ongle ses conclusions arrogantes, contre toutes les évidences du contraire. Ainsi, il n'arrive qu'à contrefaire admirablement les raisonnements scientifiques de pointe, mais ne conviendra jamais d'aucune de ses regrettables erreurs à propos du Linceul et de Maria Valtorta, il n'est tout simplement pas prévu pour se remettre en question. Je lui ai démontré son égarement, noir sur blanc (cf les commentaires), mais son envie de rabaisser autrui semble en lui bien plus forte que l'humilité, c'est le moins que l'on puisse dire.
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CHER MONSIEUR, VOS PAROLES SONT-ELLES PAROLES D'ÉVANGILE ?
À vous entendre : oui, absolument. Quand on vous entend affirmer la rigidité cadavérique immédiate après la mort du Divin Crucifié, on croirait entendre parler un livre, validé par l'ensemble de la communauté médicale.
Et on pourrait presque en oublier que, malgré tout votre indéniable bagage scientifique, vous ne faites que prendre …More
CHER MONSIEUR, VOS PAROLES SONT-ELLES PAROLES D'ÉVANGILE ?

À vous entendre : oui, absolument. Quand on vous entend affirmer la rigidité cadavérique immédiate après la mort du Divin Crucifié, on croirait entendre parler un livre, validé par l'ensemble de la communauté médicale.

Et on pourrait presque en oublier que, malgré tout votre indéniable bagage scientifique, vous ne faites que prendre des hypothèses pour des conclusions, sans réelle prudence ni preuve valable, ce qui est contraire à la vraie démarche scientifique :

notamment l’hypothèse de la rigidité cadavérique immédiate, dont la fausseté est absolument avérée, cf mes posts ci-dessous.

Et effectivement, cette seule hypothèse erronée vous permet de créer de toute pièce de nombreux "casus belli" à l'encontre de l'oeuvre de Maria Valtorta :

- les bras ne peuvent plus glisser, lors de la mise au tombeau : car depuis la mort, ils seraient raides comme un véritable morceau de bois !

Et au passage : il aurait donc fallu ... les casser ?? pour les ramener au centre du corps comme nous le voyons sur le linceul ?? Quelle incroyable incohérence que voilà...

Car vous ne pouvez pas inventer librement autre chose : je connais le cas de la rigidité cadavérique immédiate, survenue par exemple dans un cas d'un suicide par le feu. Le corps de la victime ne pouvait pas rentrer dans le cercueil, et ... détail macabre : il a bien fallu lui briser les os pour se faire, impossible de procéder autrement. Cela aurait été la même chose pour le Christ, si votre hypothèse était vraie, ce qui est rigoureusement impossible.

- La mandibule n'aurait pas eu besoin d'être maintenue fermée par un bandeau, si la machoire était de toute façon aussi raide qu'un billot de bois depuis la mort.

Et au passage : nous n'aurions pas alors sur le linceul l'image calme et reposée du visage du Christ, mais l'expression figée par la mort de son dernier cri de souffrance !? Quelle nouvelle incohérence dans votre propos ...

Bref, cher monsieur, si votre intonation donne l'illusion de la plus stricte et incontestable exactitude, il n'en est pas de même pour le contenu, basé en fait sur des erreurs qui vous conduisent à des conclusions erronées, je suis au grand regret de devoir vous le dire.

Veuillez croire à mes meilleurs sentiments à votre égard.

Bien cordialement.
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apvs
LES ONGUENTS LORS DE LA MISE AU TOMBEAU : ENFIN UNE PREUVE VALABLE CONTRE L'EMV ?
Sur ce sujet, cher monsieur, on ressent premièrement chez vous un certain malaise :
car si effectivement saint Matthieu, saint Marc et saint Luc ne parlent que de l'enveloppement du corps dans le linceul lors de la mise au tombeau, l'embaumement proprement dit ayant été remis à plus tard - ce qui vous arrange très …More
LES ONGUENTS LORS DE LA MISE AU TOMBEAU : ENFIN UNE PREUVE VALABLE CONTRE L'EMV ?

Sur ce sujet, cher monsieur, on ressent premièrement chez vous un certain malaise :

car si effectivement saint Matthieu, saint Marc et saint Luc ne parlent que de l'enveloppement du corps dans le linceul lors de la mise au tombeau, l'embaumement proprement dit ayant été remis à plus tard - ce qui vous arrange très nettement - , vous essayez de discréditer saint Jean en alléguant un défaut de traduction : or il n'y en a pas.

Saint Jean n'a pas pu se tromper dans son Evangile : s'il décrit comment le Corps de Jésus fut "préparé avec des onguents comme il était de coutume chez les juifs d'ensevelir les morts" ( sic ! ) , cela ne provient pas d'une quelconque approximation, mais du fait que saint Jean savait mieux que personne comment tout s'était passé, car il était le seul apôtre à avoir assisté aux côtés de Marie à toute la Passion et à la mise au tombeau.

Je comprends très bien pourquoi cela vous gêne, au point que vous aimeriez vous débarrasser de cette description, qui correspond trait pour trait à ce que décrit Maria Valtorta, la visionnaire non affabulatrice, en tout point fidèle aux saints Évangiles, spécialement a celui de saint Jean.

Cela ne va pourtant pas vous dissuader de brandir votre preuve "ultime" : pas de trace ni d'aloès, ni de myrrhe, sur le linceul ! Or si ce que disent saint Jean et Maria Valtorta était vrai : nécessairement, on en aurait retrouvé trace. CQFD.

CQFD ? Non, pas du tout en réalité.

Je ne sais pas si vous vous imaginez un Christ ressuscitant d'entre les morts, et prenant tout d'abord un bon bain après sa sortie du tombeau, afin de se débarrasser de la myrrhe et de l'aloès dont il etait englué de la tête aux pieds !

Bien sûr que non : car tous ces baumes disparurent instantanément au moment précis de sa Résurrection, cela ne fait aucun doute.

Mais je sais que je parle à quelqu'un qui ne croit pas au déluge, car cela impliquerait ( chose impossible selon vous ! ) que Dieu puisse avoir multiplié l'eau de dessus la terre, avant de la faire refluer par sa disparition.

Ainsi : je ne sais pas du tout si vous admettez la possibilité des miracles divins, autrement qu'en théorie.

Que le linceul ne présente aucune trace d'onguent n'a donc pas de quoi ébranler la foi en la véracité de l'EMV, et une énième fois, votre tentative de décrédibilisation échoue.

Bien cordialement.
apvs
DEUX CLOUS, OU BIEN UN SEUL, POUR FIXER LES PIEDS DU CHRIST À LA CROIX ? ( suite )
Et voilà, cher monsieur, c'est bien ce qui m'avait semblé dès le début :
votre analyse très fine du linceul est particulièrement édifiante, bien documentée et agréable à regarder, très instructive en bien des points.
Cependant, à aucun moment de ces 43 minutes de conférence, vous ne vous trouvez capable de …More
DEUX CLOUS, OU BIEN UN SEUL, POUR FIXER LES PIEDS DU CHRIST À LA CROIX ? ( suite )

Et voilà, cher monsieur, c'est bien ce qui m'avait semblé dès le début :

votre analyse très fine du linceul est particulièrement édifiante, bien documentée et agréable à regarder, très instructive en bien des points.

Cependant, à aucun moment de ces 43 minutes de conférence, vous ne vous trouvez capable de prouver qu'il avait fallu deux clous plutôt qu'un seul pour fixer les pieds du Christ à la Croix : pour le prouver, vous ne disposez en réalité que d'un seul élément qui est faux : celui que vous avancez en introduction, à savoir la prétendue rigidité cadavérique précoce du cadavre.

Je viens dans mon précédent message d'en démontrer la fausseté, et sans cet argument, c'est toute votre démonstration qui s'écroule : en réalité, rien n'indique sur le linceul l'impossibilité du clouage des pieds à l'aide d'un seul et unique clou.

Et cela est particulièrement important de le souligner, puisque cela rend nulle et non avenue votre tentative de décrédibilisation des écrits de Maria Valtorta, décrivant comment un seul clou fut utilisé pour fixer les pieds, ce qui est parfaitement plausible, vu que l'on put mettre les jambes du Christ l'une à côté de l'autre après la descente de la Croix, grâce à l'absence de rigidité cadavérique précoce ( cf mon précédent message sur cette page ).

Bien cordialement.
apvs
LE CLOUAGE DES PIEDS DU CHRIST : DEUX CLOUS PLUTÔT QU'UN SEUL, COMME DÉCRIT DANS L'EMV ?
Cher monsieur, dès l'introduction de votre vidéo, vous partez sur un principe faux ( la rigidité cadavérique précoce ) , et j'ai bien peur qu'il soit le fondement sur lequel s'appuie ensuite dans cette vidéo toute votre démonstration scientifique, visant à prouver que le Christ ait été cloué aux pieds …More
LE CLOUAGE DES PIEDS DU CHRIST : DEUX CLOUS PLUTÔT QU'UN SEUL, COMME DÉCRIT DANS L'EMV ?

Cher monsieur, dès l'introduction de votre vidéo, vous partez sur un principe faux ( la rigidité cadavérique précoce ) , et j'ai bien peur qu'il soit le fondement sur lequel s'appuie ensuite dans cette vidéo toute votre démonstration scientifique, visant à prouver que le Christ ait été cloué aux pieds avec deux clous au lieu d'un seul, comme le dit Maria Valtorta dans sa description de la Passion.

Pourquoi ce principe de départ est-il faux ? Pour plusieurs raisons évidentes :

1 ) L'aspect du visage du Christ sur le linceul de Turin : il n'a aucune apparence tourmentée, comme cela aurait du être le cas, si comme vous le prétendez, le visage avait été figé dans le dernier cri que poussa le Christ en mourant.

Au contraire, grâce au relâchement des muscles permis par la NON APPARITION IMMÉDIATE de la rigidité cadavérique, nous pouvons contempler le visage de notre Seigneur qui semble reposé, en paix, malgré les blessures apparentes.

Encore une fois, cela aurait été impossible, si le corps était resté figé comme bloc de métal après le dernier soupir, chose que vous affirmez pourtant contre toute évidence du contraire.

2 ) Ce qui vous a induit en erreur est votre comparaison - qui pour vous, on ne sait trop comment, devient une équivalence - entre deux genres de mort dont l'un a pu être décrit minutieusement par un médecin témoin des faits.

Il s'agit de :
- la pendaison du condamné par les bras sans que ses pieds ne touchent le sol, impliquant à terme une mort comparable à la strangulation
- et la crucifixion du Christ.

Mais là où le bas blesse sérieusement, c'est que vous occultez complètement le fait :

- que le Christ ait perdu énormément de sang, durant son agonie, sa flagellation, son couronnement d'épines, son chemin de croix, et enfin son clouage à la croix durant trois heures, ce qui rend impossible toute comparaison avec la mort par étouffement, avant et durant laquelle le condamné ne verse aucune goutte de sang,

- que le Christ ait pu parler jusqu'aux tout derniers instants de sa vie, ce qui montre qu'il ne mourut pas comme un simple "pendu par les mains", c'est-à-dire par étouffement.

Partant donc d'un principe faux, j'ai bien peur que toute votre démonstration ne soit fausse elle-aussi ! Ce que je vais maintenant vérifier.

Bien cordialement.
apvs
LA DIFFÉRENCE DE HAUTEUR DES COUDES, LA PLAIE DU CÔTÉ, LEUR EMPREINTE SUR LE LINCEUL
Cher monsieur, nous venons de voir ce qui explique la différence de hauteur des coudes sur le Linceul. Vous refusez d'admettre que ce soit en raison de la dislocation des membres supérieurs lors de la crucifixion, mais c'est pourtant bien le cas, si l'on en croit ce que Jésus-Christ révèle non seulement à Maria …More
LA DIFFÉRENCE DE HAUTEUR DES COUDES, LA PLAIE DU CÔTÉ, LEUR EMPREINTE SUR LE LINCEUL

Cher monsieur, nous venons de voir ce qui explique la différence de hauteur des coudes sur le Linceul. Vous refusez d'admettre que ce soit en raison de la dislocation des membres supérieurs lors de la crucifixion, mais c'est pourtant bien le cas, si l'on en croit ce que Jésus-Christ révèle non seulement à Maria Valtorta, mais également bien avant elle à sainte Brigitte de Suède dans les quinze oraisons.

Votre explication comme quoi ce serait du à une manipulation du Linceul modifiant la géométrie de l'image, n'est tout simplement pas valable, car cela impliquerait aussi une déformation de l'allure générale du corps, qui ressemblerait plus à un Picasso qu'à un portrait réaliste comme c'est pourtant bien le cas sur le Linceul.

Pour ce qui est de la plaie du côté, force est de constater que, vous comme tous les spécialistes, sont contraints de rester au stade des hypothèses : et c'est on ne peut plus logique, puisque la blessure est située juste à la frontière d''un grand trou dans le tissu. Difficile de savoir ce que le tissu manquant aurait pu nous révéler !

On peut donc penser voir l'empreinte exacte de la plaie du côté, et en mesurer la largeur de 4,5 cm, mais cela n'a rien d'une certitude absolue, cela peut très bien n'être qu'une partie de la blessure causée par la lance.

La plus grande largeur de la blessure pourrait très bien s'expliquer :

- soit par la plus grande largeur de la lance, ce qui est d'autant plus possible que 4,5 cm est vraiment très petit, pour une lance de soldat romain,

- ou par le fait que le coup porté dans la poitrine le fut de biais, ce qui occasionna forcément une plaie plus large que si le coup avait été porté de face.

Bref : rien ne vous permet de contredire formellement ce que dit l'EMV, sur le fait que "la petite main de la Vierge puisse entrer presque entièrement dans la plaie béante".

"PLAIE BÉANTE", ai-je dis ?? J'entends immédiatement votre fin de non recevoir. Oui cher monsieur, mais il se trouve portant que ce sont les termes qu'ont employés les spécialistes pour qualifier cette plaie visible sur le linceul !

Je cite :
" (...) Sous la plaie on trouve une grande coulé de sang mêlée à une matière séreuse, elle coule vers le bas du corps, ce qui prouve que la blessure a été faite alors que le corps était à la verticale. Cette même coulée semble se prolonger sur le dos de l'homme du linceul au niveau de ses reins, PREUVE QUE LA BLESSURE BÉANTE continuait à saigner alors que l'homme était cette fois-ci à l'horizontale dans son linceul.

Cette blessure a le mérite d’être claire. Elle indique que l’homme du linceul était mort au moment où la lance a pénétré son côté. (...) "

Vos objections concernant cette plaie du côté telle que l'EMV la décrit sont donc recalées par vos propres collègues spécialistes.

Bien cordialement.
apvs
L'ÉLONGATION DES MEMBRES SUPÉRIEURS : UN DÉTAIL IMPOSSIBLE, QUI INVALIDERAIT LE RÉCIT DE MARIA VALTORTA ?
Maria Valtorta est très claire à ce sujet : comme le trou préparé d'avance sur le montant horizontal de la croix était inadapté à l'envergure des bras du Christ, son bras encore libre fut saisi et étiré avec une telle violence que cela occasionna un déboîtement d'une ou des deux articulations …More
L'ÉLONGATION DES MEMBRES SUPÉRIEURS : UN DÉTAIL IMPOSSIBLE, QUI INVALIDERAIT LE RÉCIT DE MARIA VALTORTA ?

Maria Valtorta est très claire à ce sujet : comme le trou préparé d'avance sur le montant horizontal de la croix était inadapté à l'envergure des bras du Christ, son bras encore libre fut saisi et étiré avec une telle violence que cela occasionna un déboîtement d'une ou des deux articulations de ses épaules.

Cher monsieur, vous objectez que le Christ, dans ces conditions extrêmes, n'aurait pas pu endurer trois heures d'agonie après sa crucifixion, à cause de la douleur insoutenable qu'il aurait du supporter au niveau de ses épaules, devenues selon vous inutilisables : vous ne Lui donneriez ainsi pas plus d'une demi-heure de survie à cause de l'étouffement.

Mais cela ne fait que révéler une seule chose : vous avez peut-être étudié pendant 20 ans le saint Suaire de Turin, mais vous ne connaissez pas bien les révélations faites par notre Seigneur à sainte Brigitte de Suède, et en particulier les quinze oraisons qu'Il lui dicta, et qui confirment à 100% ce que dit l'EMV à propos de la crucifixion !

Et donc, c'est vous qui avez un très gros problème d'incohérence, et non pas Maria Valtorta. Je n'invente rien, vérifions ensemble :

3e oraison révélée par le Christ à sainte Brigitte de Suède :

O Jésus ! Créateur du ciel et de la terre, que nulle chose ne peut borner ni limiter, vous qui tenez tout sous votre puissance, souvenez-vous de la douleur très amère que vous avez endurée lorsque les juifs, attachant vos mains sacrées et vos pieds très délicats à la croix, les percèrent de part en part avec de gros clous émoussés et , ne vous trouvant pas dans l'état qu'ils voulaient pour contenter leur rage, agrandirent vos plaies, y ajoutèrent douleur sur douleur et, par une cruauté inouïe, vous allongèrent sur la croix et vous tirèrent de tous côtés EN DISLOQUANT VOS MEMBRES. Je vous conjure, par la mémoire de cette très sainte et très
aimante douleur de la croix, de me donner votre crainte et votre amour.

4ème oraison

O Jésus ! céleste médecin, élevé en croix pour guérir nos plaies par les
vôtres, souvenez-vous des langueurs et meurtrissures que vous avez
souffertes en tous vos membres, dont aucun ne demeura en sa place, en
sorte qu'il n'y avait douleur semblable à la vôtre. (...)"

Comme vous le constatez, c'est le Christ Lui-même qui vous dément ici, Lui que vous prenez pour un homme lambda, alors qu'Il avait une capacité à souffrir absolument hors du commun, inconnue de la médecine classique.

Après avoir sué autant de sang, un homme normal aurait du être hospitalisé suite à un malaise généralisé : mais pas Jésus.

Un homme normal serait mort à la suite de la flagellation ayant déchiré ses chairs, ou bien aurait été achevé par le couronnement d'épines. Jésus : non.

Aucun homme normal n'aurait atteint debout sur ses jambes ne serait-ce que le début du chemin de croix, mais imaginons que ce puisse être le cas : il serait mort en route, avant d'arriver au sommet du Golgotha. Jésus : non.

Un homme normal serait tombé sous le poids de la Croix, sans plus se relever : Jésus, Lui, se relève, une fois, deux fois, trois fois !

Aucun homme normal, effectivement, n'aurait pu endurer la crucifixion pendant trois heures avec les épaules démises, ce qui aurait représenté pour lui une douleur bien trop insoutenable : pas le Christ. Sa soif de souffrir pour nous était telle, qu'Il aurait enduré des souffrances physiques encore plus pénibles pour nous sauver.

Est-ce moi qui affabule ? Est-ce là un "argument tarabiscoté" ? Non. C'est tout simplement ce que le Christ Lui-même nous dit de sa propre Passion douloureuse.

Entre :
- vous avec toute votre science médicale,
- et le Christ qui nous dit la vérité sur Lui-même :
le choix est très vite fait.

Cest un nouvel échec, cher monsieur : votre tentative de décrédibilisation de l'EMV est recalée comme toutes les précédentes.

Bien cordialement vôtre.
apvs
UNE PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L'ABSENCE DE RIGIDITÉ CADAVÉRIQUE PRÉCOCE IMMÉDIATEMENT APRÈS LA MORT DU CHRIST, ET DE LA COHÉRENCE DE L'EMV.
Pour comprendre cette preuve, il suffit :
- de regarder le saint Suaire
- et de se souvenir de l'instant de la mort du Christ.
Votre décrédibilisation de l'EMV a en effet besoin que la rigidité cadavérique soit survenue pour le Corps du Christ à l'instant même …More
UNE PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L'ABSENCE DE RIGIDITÉ CADAVÉRIQUE PRÉCOCE IMMÉDIATEMENT APRÈS LA MORT DU CHRIST, ET DE LA COHÉRENCE DE L'EMV.

Pour comprendre cette preuve, il suffit :
- de regarder le saint Suaire
- et de se souvenir de l'instant de la mort du Christ.

Votre décrédibilisation de l'EMV a en effet besoin que la rigidité cadavérique soit survenue pour le Corps du Christ à l'instant même de sa mort. Car autrement, vous seriez contraint d'avouer que le récit de Maria Valtorta est en réalité pleinement cohérent.

Or, que nous disent les Evangiles : comment mourut Jésus ? " DANS UN GRAND CRI". Et non pas comme s'endort doucement un enfant, sans ressentir de souffrance.

Et donc, si la rigidité cadavérique était survenue immédiatement :

- nous aurions sur le Suaire, non pas l'empreinte que nous pouvons voir d'un visage apaisé, mais celle d'un visage horriblement torturé par la souffrance, difficile à regarder.

- et le Corps ne se serait pas non plus affaissé juste après le dernier soupir comme le dit l'Évangile, mais serait resté rigidifié, sans bouger.

Regardons la représentation que vous publiez sur votre vidéo consacrée à la rigidité cadavérique précoce, d'un homme mort dans une crise de tétanie : son visage est figé, et son expression déformée par la souffrance.

Rien de tout cela lorsqu'on regarde le saint Suaire ! Et c'est infiniment normal, puisqu'il n'y eut pas de rigidité cadavérique précoce pour Jésus, et son visage reprit donc une expression de sommeil, parfaitement apaisée, après sa mort.

Cette preuve finit de recaler définitivement votre objection, et d'innocenter l'EMV.

Bien cordialement.
apvs
METACARPES, CARPE, Y A-T-IL UNE RÉELLE CONTRADICTION DANS LES DÉTAILS DE LA CRUCIFIXION SELON MARIA VALTORTA ?
D'abord, il faut bien comprendre qu'ici, c'est Maria Valtorta et elle seule qui décrit l'évènement qu'elle voit se dérouler sous ses yeux : et elle a certes son bagage non négligeable de connaissances du à sa formation d'infirmière, renforcé par sa passion pour l'étude des planches …More
METACARPES, CARPE, Y A-T-IL UNE RÉELLE CONTRADICTION DANS LES DÉTAILS DE LA CRUCIFIXION SELON MARIA VALTORTA ?

D'abord, il faut bien comprendre qu'ici, c'est Maria Valtorta et elle seule qui décrit l'évènement qu'elle voit se dérouler sous ses yeux : et elle a certes son bagage non négligeable de connaissances du à sa formation d'infirmière, renforcé par sa passion pour l'étude des planches anatomiques, mais sans plus : elle n'est pas médecin.

Mais que dit-elle, au juste ?

1 ) Contrairement à ce qu'indique notre docteur dans la présente vidéo, elle parle NON PAS DU CARPE ( erreur ! ) mais DE LA JOINTURE RADIO-ULNAIRE DU POIGNET, pour le clou transperçant la main droite : ce qui est l'endroit idéal pour faire tenir le corps suspendu par le bras à la croix, et un endroit.... où il se trouve des muscles !

Que dit-elle d'autre ? Des précisions importantes concernant le clou : il est quadrangulaire, et se termine par une plaque arrondie et plate, large comme un sou d'autrefois.

C'est dire qu'il s'agit de tout autre chose que d'un clou de brico-marché ! C'est un énorme instrument de torture, capable de défoncer le poignet dans lequel il est planté.

Et comme un poignet est prévu pour tout, sauf pour être perforé par un tel engin de chantier, on comprend aisément que les dégâts causés sont terribles !

"Le clou pénètre en rompant (... tout, en fait : ) les muscles ( car nous sommes dans le poignet, et non dans le carpe ! ), les veines, les nerfs, en brisant les os..."

Et nous avons vu comment cela n'est en rien contradictoire avec la prophétie du psaume 33 : "Pas un os ne lui sera brisé", qui concernait l'acte de briser volontairement les os de la victime comme ce fut fait pour les deux larrons, et non l'acte de lui "percer les mains et les pieds", ce qui est également une prophétie du psaume 21, complètement oubliée par notre docteur !

Car le fait de "percer les mains et les pieds" ( psaume 33 ) avec de gros clous de chantier impliquait forcément de bousculer et briser quelques os mineurs des extrémités : une prophétie pouvait-elle donc en contredire une autre ? Pas si nous en faisons une juste exégèse, comme vu précédemment.

2 ) Le clouage de la main gauche :

Nous reviendrons plus tard sur l'élongation des membres supérieurs, qui permet seulement de clouer la main "là où ils peuvent, au commencement du metacarpe, près du poignet, entre le pouce et les autres doigts , exactement au centre du métacarpe."

À cette description, qui est reprise dans l'instruction de Jésus du 29 decembre 1943, vous opposez l'expérience qui fut faite avec un membre sectionné, appartenant à un homme de bonne musculature , clouée dans les mêmes conditions que décrit Maria Valtorta, et soumis à un poids mimant celui du corps : la main ainsi fixée par un clou dans la zone metacarpienne ne pu rester clouée très longtemps sans se déchirer.

Bravo ! Vous avez gagné, vous avez démontré que Maria Valtorta ne peut être qu'une affabulatrice !

Oui...... mais non, en fait.
Car, cher monsieur : je suppose que lors de cette expérience avec un membre sectionné, lorsque la main fut clouée dans la zone metacarpienne au centre de la paume, elle ne se recroquevilla pas soudainement en poing !

Cela paraît normal en effet qu'un membre mort n'ait aucune réaction...

Et ainsi, le poids exercé sur elle fit bien plus qu'occasionner "une grande lacération vers le pouce" comme dit Jésus, mais déchira complètement la main.

Alors que dans le cas de notre Seigneur Jésus, comme Il le dit Lui-même, "à cause du spasme et de la rupture des nerfs coupés, la main se ferma réellement en poing , et de plus en plus parce que le spasme et la contraction des fibres nerveuses augmenta avec le passage des heures. "

Cette contraction involontaire, sans rendre cette fixation aussi solide que celle de l'autre main, fit très certainement office de loquet, empêchant la déchirure d'être totale, et la main de tomber.

Vous me répliquerez peut-être intérieurement que je n'en sais strictement rien, car je n'en ai pas fait l'expérience : mais vous non plus, vous ne connaissez aucune expérience prouvant l'impossibilité d'une telle chose.

Et le fait que vous excluez la contraction en poing de la main gauche n'a aucun sens : puisque vous vous basez sur les fausses conclusions de votre vidéo sur la rigidité cadavérique précoce, comme je l'ai développé précédemment.

La main contractée en poing a très bien pu être dépliée après la descente de la croix, car la rigidité cadavérique n'était pas encore installée.

Encore une fois, le fait qu'il n'y eut pas de rigidité cadavérique précoce est prouvé par le fait que lors de sa mort, le corps du Christ , et en particulier sa tête, s'est affaissé, ce qui n'aurait pas pu se produire s'il était dès le départ raide comme un morceau de bois.

Votre objection est donc recalée.
France Fidele
Moralité : un peu de science éloigne de Jésus... beaucoup de science en rapproche !
Merci apvs pour votre correction.
apvs
Merci M. l'abbé de votre encouragement :)
jean-yves macron
Oui, merci M. l'abbé de soutenir de votre autorité de prêtre l'Oeuvre de Maria Valtorta. Cependant Maria Valtorta n'a jamais remis en question la légitimité et l'indéfectibilité de l'Eglise catholique romaine.
Quand l'Eglise catholique, sous l'autorité du pape François ou de son successeur la déclarera bienheureuse et sainte, vous soumettrez-vous humblement à sa canonisation par l'autorité …More
Oui, merci M. l'abbé de soutenir de votre autorité de prêtre l'Oeuvre de Maria Valtorta. Cependant Maria Valtorta n'a jamais remis en question la légitimité et l'indéfectibilité de l'Eglise catholique romaine.
Quand l'Eglise catholique, sous l'autorité du pape François ou de son successeur la déclarera bienheureuse et sainte, vous soumettrez-vous humblement à sa canonisation par l'autorité romaine ou bien en nierez-vous la validité ?
apvs
"PAS UN OS NE LUI SERA BRISÉ" ( Jean 19,36 ) : INVALIDATION DE LA CRUCIFIXION TELLE QUE MARIA VALTORTA LA DÉCRITE ?
Cette parole du psaume 34 invaliderait selon vous l'explication invoquée dans l'EMV pour le clouage de la main gauche du Christ dans la paume, ce qui aurait nécessité de briser un metacarpe, donc un os ! Impossible de contredire la prophétie : circulez, il n'y a rien à voir, sauf …More
"PAS UN OS NE LUI SERA BRISÉ" ( Jean 19,36 ) : INVALIDATION DE LA CRUCIFIXION TELLE QUE MARIA VALTORTA LA DÉCRITE ?

Cette parole du psaume 34 invaliderait selon vous l'explication invoquée dans l'EMV pour le clouage de la main gauche du Christ dans la paume, ce qui aurait nécessité de briser un metacarpe, donc un os ! Impossible de contredire la prophétie : circulez, il n'y a rien à voir, sauf des affabulations.

Sauf que la Bible doit être bien comprise et correctement interprétée, cher monsieur, contrairement à ce que vous faites.

Autrement, si l'on en fait une lecture didactique comme vous, on peut arriver à toutes sortes d'aberrations, par exemple en lisant ce passage :
" VA, ET TOI AUSSI, FAIS DE MÊME. " ( Luc 10, 37 ).

Si vous faites une lecture fideiste de ce passage, alors vous allez devoir prendre au plus vite l'avion jusqu'en Terre Sainte, et retrouver ce chemin descendant de Jérusalem à Jericho, en espérant trouver en passant un pauvre homme maltraité par des brigands et laissé pour mort sur le bord.

Vous prendrez grand soin de prendre avec vous un âne, et dans vos paniers : de l'huile et du vin, afin de oindre les blessures du malheureux, tout comme le bon samaritain avant vous. Vous aurez grand soin de charger le blessé sur votre monture, et de l'amener jusqu'à une possible hotellerie faisant également office d'hôpital, où vous laisserez de l'argent pour qu'ils prennent soin de votre protégé, leur promettant de payer le supplément à votre retour !

OUF ! Bravo si vous réussissez cet explois, mais vous avez tout intérêt de réussir !!! Parce que c'est Jésus Lui-même qui vous l'a demandé !!! Et autrement : et bien c'est raté, que voulez-vous...

Voilà. Vous avez à présent compris la nécessité d'une bonne exégèse, lorsqu'on lit la Bible.

"Pas un os ne lui sera BRISÉ" : or ici, lors de la crucifixion, est-ce que l'on a voulu BRISER un os du Christ ( sous entendu avec une pierre, ou un objet contondant ), ou bien : est-ce que plutôt on a du PERCER un os, par ailleurs très mineur, pour faire tenir le corps attaché à la croix ?

Bien entendu, c'est la deuxième solution qui est la bonne.
Ce qui était contraire à la prophétie, c'était d'accomplir intentionnellement le brisement ( et non le perçage ) d'un os, exactement comme on le fit pour les deux larrons :

il y eut des bourreaux qui vinrent exprès pour briser les os des condamnés : et bien, ces bourreaux ne briserent pas un seul os du Christ , et la prophétie, qui visait bien évidemment ce moment précis de la Passion, fut pleinement accomplie.

En voyant ce fait, les disciples se ressouvinrent de ce qui était écrit à son sujet, et crurent d'autant plus en Lui, qui accomplit toutes les Écritures.

ECHEC, cher monsieur. Encore une de vos tentatives de décrédibilisation de l'EMV ajournée : non seulement Maria Valtorta n'était pas une affabulatrice, mais elle seule décrit avec ce degré de précision comment chaques choses se sont passées dans les menus détails, lors de cet Événement majeur pour le salut de l'humanité.

Bien cordialement vôtre.
apvs
INVERSION MAIN DROITE, MAIN GAUCHE : UN PROBLÈME DU À MARIA VALTORTA ?
Votre affirmation, cher monsieur, manque d'un raisonnement pourtant on ne peut plus simple et élémentaire.
Selon vous en effet : la droite, c'est la droite !
Et la gauche : c'est la gauche !
Et il n'y aurait rien à rajouter à cela.
Et donc : s'il se trouvait quelque part dans l'EMV une inversion droite-gauche, surtout dans la …More
INVERSION MAIN DROITE, MAIN GAUCHE : UN PROBLÈME DU À MARIA VALTORTA ?

Votre affirmation, cher monsieur, manque d'un raisonnement pourtant on ne peut plus simple et élémentaire.

Selon vous en effet : la droite, c'est la droite !
Et la gauche : c'est la gauche !
Et il n'y aurait rien à rajouter à cela.

Et donc : s'il se trouvait quelque part dans l'EMV une inversion droite-gauche, surtout dans la bouche de Jésus de qui on attend une absence totale de faute, cela voudrait dire de manière infaillible que cette "révélation" serait en réalité un faux.

OR C'EST LE CAS ! D'où votre exultation : vous avez démontré ce que vous vouliez démontrer, bravo ;))
Oui.... mais non !

Car malheureusement pour vous, vous négligez complètement ceci :
il n'y a pas qu'une seule latéralisation droite-gauche ! Mais il y en a au minimum quatre, et on pourrait s'amuser à en trouver 6, voire peut-être plus.

Pour être sûr et certain de savoir de quelle latéralisation on parle, il faudrait impérativement que cela soit indiqué à chaque fois dans le texte, soit par Maria Valtorta, soit par Jésus Lui-même : or il n'y a rien, aucune indication de ce genre, ce qui ne simplifie pas la tâche, c'est très sûr.

Par exemple :

1 ) Si je parle de MA main droite, c'est une latéralisation possible : mais pour celui qui me regarde, elle sera à sa gauche.

2 ) Si je parle du côté DROIT du Crucifié, cela peut vouloir dire ce que je vois de Lui qui se situe à MA droite, ou bien à SA droite à Lui.

3 ) Un mouvement de DROITE à GAUCHE, peut vouloir dire de MA droite à MA gauche ( si je regarde le sujet ), mais égarement de SA droite à SA gauche.

4 ) La main DROITE sur le Linceul de Turin peut désigner la main droite en considérant l'homme représenté, c'est-à-dire la main qui est AU-DESSUS de l'autre.

5 ) Mais la main DROITE, sur le Linceul de Turin, peut désigner égarement la main qui est AU-DESSOUS de l'autre, si l'on considère que l'on parle de la main droite réelle du Christ, car c'est une empreinte faite sur le tissu.

6 ) 7 ) Même chose si l'on prend la photo en négatif du Linceul : on arrive à plusieurs autres résultats.

ET DONC :
Il ne peut y avoir d'erreur formelle que si la latéralisation droite-gauche est bien définie dans le texte, dans un cadre précis.

Or l'EMV manque de précision pour ce genre d'investigation tatillonne... Il faudrait en effet pouvoir interroger les personnages et l'auteur des descriptions pour être sûr et certain de ce qu'ils ont voulu dire !

Or : force est de constater que nous ne le pouvons pas.

Certains comme vous vont donc crier à l'erreur intolérable, car ils sont sûrs et certains de voir telle latéralisation sans aucune autre possibilité , et d'autres comme moi ou JF Lavère vont au contraire voir au-delà, sans se formaliser de ne pas pouvoir vérifier absolument tout : puisqu'au niveau du sens, cela ne change absolument rien.

Il n'y a en effet aucun scandale à ce que ce soit la main droite ou la main gauche réelle du Christ qui ait subit tel ou tel sévice, et qui soit au-dessus ou au-dessous, lors de la sépulture. C'est de l'ordre du détail sans importance.

Conclusion : c'est peut-être rageant pour vous, je n'en sais rien, mais vous échouer encore sur ce point précis à prouver la moindre affabulation chez Maria Valtorta.

Bien cordialement vôtre.
RG 44
Cahiers de 1943, 29 décembre :
Jésus dit :
« …/... L’idée des bourreaux était de me suspendre par les carpes, immédiatement au-dessus de la jointure du pouls, pour rendre la suspension plus solide. Et en effet, après m’avoir étendu sur la croix, ils me transpercèrent la main droite en ce point ».
Ici aucune difficulté de latéralisation, c'est Jésus qui parle et il parle sans ambiguïté de …More
Cahiers de 1943, 29 décembre :

Jésus dit :

« …/... L’idée des bourreaux était de me suspendre par les carpes, immédiatement au-dessus de la jointure du pouls, pour rendre la suspension plus solide. Et en effet, après m’avoir étendu sur la croix, ils me transpercèrent la main droite en ce point ».

Ici aucune difficulté de latéralisation, c'est Jésus qui parle et il parle sans ambiguïté de sa main droite.

« Mais, étant donné que le constructeur de l’échafaud avait marqué le trou de gauche …/... plus loin du point où pouvait arriver le carpe de ma main, on décida, après m’avoir étiré le bras jusqu’à déchirer les tendons, d’enfoncer le clou au centre de la paume, entre deux os du métacarpe. »

Ici non plus pas de problème de latéralisation, il s'agit de l'autre main, la main gauche de Jésus.

« Ça ne se voit pas dans le suaire parce que la main droite recouvre la main gauche. »

Là est le problème puisque c'est sur l'image sur le suaire que la main droite recouvre la main gauche. Cette image se trouvant sur la face interne du linceul, le supplicié a donc été enseveli la main gauche sur la main droite. On devrait donc voir la blessure au centre de la paume, ce qui n'est pas le cas. C'est la blessure de la main droite, décrite par « Jésus » comme au poignet, qui est cachée par la main gauche.

René Gounon
apvs
Monsieur,
vous faites ici exactement la même erreur que le docteur Giraud, en pensant être sûr d'une latéralisation, alors qu'elle n'est pas précisée dans l'EMV : et c'est très sûr que si l'on veut atteindre à une précision absolue, il manque des schémas, tant pour illustrer les paroles du Christ, que pour illustrer celles de Maria Valtorta.
Car ici, "Ma main droite" peut tout aussi bien désigner : …More
Monsieur,

vous faites ici exactement la même erreur que le docteur Giraud, en pensant être sûr d'une latéralisation, alors qu'elle n'est pas précisée dans l'EMV : et c'est très sûr que si l'on veut atteindre à une précision absolue, il manque des schémas, tant pour illustrer les paroles du Christ, que pour illustrer celles de Maria Valtorta.

Car ici, "Ma main droite" peut tout aussi bien désigner :
- la main que nous voyons à droite en regardant le Crucifié ( la main gauche réelle du Christ )
- ou bien : la vraie main droite du Christ, que nous voyons à notre gauche.

J'ai déjà parlé des diverses possibilités quand il s'agit du saint Suaire de Turin : c'est exactement la même imprécision dans la latéralisation de l'EMV.

Celle-ci n'est cependant pas d'une extrême importance, puisque cela ne change strictement rien au récit du Christ concernant les sévices qu'il a subit.
RG 44
Je ne parle pas d'une vision de MV toujours susceptible d'interprétation mais d'une dictée de Jésus. Quand je dis « j'écris de la main droite », il n'y a aucune ambiguïté, je parle bien de ma main droite. C'est pareil pour Jésus quand il dit « ils me transpercèrent la main droite ».
En tentant de nous expliquer que la blessure de la main gauche ne peut se voir sur le Suaire parce que la main …More
Je ne parle pas d'une vision de MV toujours susceptible d'interprétation mais d'une dictée de Jésus. Quand je dis « j'écris de la main droite », il n'y a aucune ambiguïté, je parle bien de ma main droite. C'est pareil pour Jésus quand il dit « ils me transpercèrent la main droite ».

En tentant de nous expliquer que la blessure de la main gauche ne peut se voir sur le Suaire parce que la main droite recouvre la gauche, celui qu'entend Maria nous trompe puisque le Suaire montre que le supplicié a bien été enseveli la main gauche sur la main droite et non l'inverse. C'est sur l'image du suaire que la main droite de l'image recouvre la gauche. Il n'y a jamais eu aucun débat là-dessus chez ceux qui ont étudié le linceul (voir la sculpture du Christ au tombeau réalisée d'après les données du Suaire par Luigi Mattéi sur le site www.maria-valtorta.org rubrique « Visage et aspect deJésus »): c'est bien la main gauche qui recouvre la droite. Cela ne change rien aux sévices qu'il a subi, oui, mais là n'est pas le sujet. Le sujet est que celui qui dit être le Christ ne saurait ni se tromper ni nous tromper.
apvs
Le sujet est que, tout imbu de vous même et dans une trop grande hâte de triompher de Dieu, vous en oubliez ce que je viens de vous dire : quoi qu'il advienne, vous ne pourez pas être sûr à 100% de la main dont parlait le Christ dans cette fameuse dictée à laquelle vous faites référence, à cause des plusieurs lateralisations possibles.
Et je pense même que notre Seigneur a pu laisser à dessein …More
Le sujet est que, tout imbu de vous même et dans une trop grande hâte de triompher de Dieu, vous en oubliez ce que je viens de vous dire : quoi qu'il advienne, vous ne pourez pas être sûr à 100% de la main dont parlait le Christ dans cette fameuse dictée à laquelle vous faites référence, à cause des plusieurs lateralisations possibles.

Et je pense même que notre Seigneur a pu laisser à dessein un certain flou, afin que les chicaneurs comme vous, qui de toute manière se seraient rués sur l'œuvre, y laissent leurs dents.

Vous, monsieur Gounon, vous n'êtes sans l'ombre d'un doute qu'un chicaneur, qu'aucune preuve de la nullité de vos objections n'a jamais pu dissuader de vous enfermer dans vos pinailleries.

Témoin de cela : votre discussion sans queue ni tête quand à l'unique pyramide visible depuis Mararea, lieu de séjour de la sainte Famille en Égypte selon l'EMV, chose que vous contestouillez sans fin à l'aide de "cosinus faits-maison roulés sous les essailles", alors que ceux qui ont été vérifier sur le terrain ont bien pu constater l'exactitude des faits.
apvs
Bonjour, cher détracteur de Maria Valtorta.
Pour moi, la compréhension de cette parole du Christ dans l'EMV ( catechese du 29 décembre 1943 ) est immédiate :
Jésus ne s'adresse pas ici spécialement à des scientifiques, mais à tous ceux qui regardent l'image qu'est le saint Suaire ( absolument authentique par ailleurs ).
Et si l'on regarde le linceul de Turin comme un tableau, sans en faire une …More
Bonjour, cher détracteur de Maria Valtorta.

Pour moi, la compréhension de cette parole du Christ dans l'EMV ( catechese du 29 décembre 1943 ) est immédiate :

Jésus ne s'adresse pas ici spécialement à des scientifiques, mais à tous ceux qui regardent l'image qu'est le saint Suaire ( absolument authentique par ailleurs ).

Et si l'on regarde le linceul de Turin comme un tableau, sans en faire une étude sindonologique poussée, on y voit bien un personnage, dont une main recouvre l'autre.

Et simplement pour se repérer sur le personnage que nous voyons de nos yeux sur le linceul, alors :.......... C'EST BIEN LA MAIN DROITE qui recouvre la main gauche ! Pas besoin de faire un dessin pour expliquer pourquoi.

Donc, ici Jésus ne parle de droite et de gauche que pour un simple spectateur du linceul, et afin d'éviter une explication scientifique plus complexe.

Cela est évident pour un connaisseur de l'oeuvre, mais beaucoup moins pour quelqu'un d'avant tout scientifique, arrivant avec stéthoscope et scalpel, en prétendant étudier l'EMV comme un pur objet de science ( ce qu'il n'est pas ), et sans même l'avoir lu ! ( assez bleuffant, tout de même, pour un critique ).

Par exemple : en un certain passage, Jésus parle des aliments qui deviennent le sang, par leur digestion DANS L'ESTOMAC ! Ce dont se gaussait un docteur de la chicane, souhaitant décrédibiliser l'EMV par le biais de la science, car selon lui, le sang se forme, non dans lestomac, mais dans la moelle épinière, ce qui constituerait une erreur majeure !

Mais il n'y a pourtant rien de choquant à ce que le Christ vulgarise son discours qui est avant tout un discours de sagesse, afin de le rentre plus compréhensible à tous, et sans entrer dans les détails du sang synthétisé non pas dans l'estomac mais dans la moelle épinière !

Le fait qu'il ne parle pas de la moelle épinière ne veut pas dire qu'il en ignore la fonction dans l'EMV, mais qu'il ne juge pas nécessaire d'en parler.

C'est exactement la même chose ici : le spectateur du linceul comprend de quelle main il s'agit SUR L'IMAGE, et c'est bien tout ce qui compte.

Ensuite, que ce soit l'une ou l'autre main du Christ qui ait subit tel sévices plutôt que tel autre, cela n'a strictement aucune influence sur le reste des choses.

Cher monsieur, votre objection, aussi docte qu'elle soit, est recalée.

Par contre, je constate que rien que deux pages de "cette effroyable logorrhée inintéressante" ( comme vous osez décrire ce chef d'œuvre de la littérature mondiale ) déclenche chez vous suffisamment de passion pour que vous y ajoutiez la vôtre, nous forçant à l'écouter attentivement, et pas forcément pour notre plus grand bonheur.

Et je me demande : que serait-ce donc, si au lieu d'en avoir lu juste deux pages, vous en aviez lu un millier ?? Vous seriez aussi inarrêtable et abondant que les chutes du Niagara !!!

Et donc, peut-être que finallement : bien vous en a pris de ne pas tout lire, et de nous épargner ainsi votre triste et morne logorrhée scientifique, merci a vous !
( car on a bien compris que tant que l'EMV n'est pas un pur et long discours scientifique, elle ne vous intéresse en aucune façon. Des details sur la Vie du Christ ? Très peu pour vous. Ce monceau d'or devrait selon vous finir à la poubelle. )
apvs
Et pour entamer les "festivités", je signale que la félonie de votre accusation à l'encontre de Maria Valtorta est clairement visible par tous :
1 ) contrairement à vos dires pitoyablement faux, JAMAIS elle n'eut le droit au moindre opiacé, quoi que vous l'ignoriez ou fassiez semblant de l'oublier, car étant très fortement malade du cœur, cela lui aurait été fatal : elle du souffrir sans aucun …More
Et pour entamer les "festivités", je signale que la félonie de votre accusation à l'encontre de Maria Valtorta est clairement visible par tous :

1 ) contrairement à vos dires pitoyablement faux, JAMAIS elle n'eut le droit au moindre opiacé, quoi que vous l'ignoriez ou fassiez semblant de l'oublier, car étant très fortement malade du cœur, cela lui aurait été fatal : elle du souffrir sans aucun soulagement.

Et non : elle ne put donc pas faire les mêmes expériences que vous, au sujet de l'altération du jugement que provoque ce genre de calmants psychotropes.

2 ) C'est vous qui affabulez en affirmant que Maria Valtorta affabulait. À force de mépriser le sujet comme vous, depuis votre hauteur de médecin ( car on se rend bien compte que vous ne savez rien du sujet ), on en vient à faire comme vous des boulettes : en effet, il est désormais démontré, et de facon magistrale, c'est un fait indubitable qu'elle n'a pas pu inventer ce qu'elle a vu et entendu.

Sinon, vous allez devoir nous expliquer comment une parfaite inculte en matière biblique ou de connaissance de la Terre Sainte peut parfaitement décrire des sites archéologiques hébreux qui ne seront redécouverts que des décennies plus tard, et parfois sur ses indications à elle.

Vous devrez aussi nous expliquer, parmis cent et cent autres éléments inouïs relevés par JF Lavère avec lequel vous vous êtes mis très bêtement en compétition ( conduite infantile de votre part, indigne d'un vrai scientifique ), comment elle connaissait les coutumes hébraïques de l'époque, tous les noms des membres du Sanhédrin ( plus de 70 si ma mémoire est bonne ! ), des noms de villes que seuls une petites poignées de spécialistes de la Terre Sainte connaissait, la configuration géographique exacte des lieux pour les divers épisodes comme par exemple le sermon sur la montagne, le Temple de Jérusalem, Matarea et la fameuse "pyramide unique" lors de la fuite en Égypte, et tant d'autres lieux ;

comment elle peut décrire à la perfection le palais de Lazare jusqu'à la couleur rouge d'une pièce qui fut retrouvée telle, recouverte de pierres semi précieuses rouges... alors que cet édifice était sous terre pour encore trente ans ; comment elle décrit le cour des astres durant la Vie du Christ sans jamais se tromper, alors qu'elle n'avait qu'une chance sur 10 puissance.... 80 de tomber juste !

Mais en "bon scientifique" que vous êtes, vous vous en tirerez très certainement en invoquant le hasard. Bref, vous délirez, mon cher monsieur.

Vous auriez pu intituler votre vidéo ainsi : "les quinze erreurs du professeur que je suis", cela aurait eu au moins le mérite de l'honnêteté.
apvs
LA RIGIDITÉ CADAVÉRIQUE PRÉCOCE : UNE PREUVE CONTRE LES ÉCRITS DE MARIA VALTORTA ?
Cher monsieur,
je viens d'écouter votre conférence sur la rigidité cadavérique précoce, et je me suis permis d'en relever une phrase qui m'a paru suspecte. Vous dites :
" Nous voici désormais en possession de tous les éléments indispensables pour nous faire une opinion correcte sur la rigidité cadavérique …More
LA RIGIDITÉ CADAVÉRIQUE PRÉCOCE : UNE PREUVE CONTRE LES ÉCRITS DE MARIA VALTORTA ?

Cher monsieur,

je viens d'écouter votre conférence sur la rigidité cadavérique précoce, et je me suis permis d'en relever une phrase qui m'a paru suspecte. Vous dites :

" Nous voici désormais en possession de tous les éléments indispensables pour nous faire une opinion correcte sur la rigidité cadavérique précoce "

Or cette affirmation est absolument fausse : avec ce que vous développé en première partie de votre conférence, nous sommes démunis, bien au contraire, pour nous faire une idée exacte et précise de l'apparition de la rigidité cadavérique pour le Christ, après sa mort.

Certes, votre exposé sur les relevés effectués lors de la pendaison de condamnés par les mains, les pieds dans le vide, est intéressant quoi que peu réjouissant.

Mais je note que vous procédez ensuite à une règle pseudo-scientifique de votre invention, qui proclame sans aucune preuve l'équivalence entre :

- la mort par pendaison par les mains, qui conduit à une totale asphyxie et tétanisation des muscles, à un empoisonnement des cellules par le sang, ce qui déclenche une rigidité qui se transforme immédiatement par la suite en rigidité mortelle du cadavre,

- et d'autre part : la mort par crucifiement, qui implique 1 ) une réelle possibilité, quoi que très douloureuse, de s'appuyer sur les pieds, et 2 ) une perte de sang drastique, ce qui fausse toute comparaison avec le genre de mort précédent, car les réactions corporelles internes sont radicalement différentes.

On voit bien dans l'Evangile lui-même la non-comparaison possible entre ces deux genres de mort, cela est rendu évident par le fait que JÉSUS PUT PARLER JUSQU'À L'EXTRÊME FIN DE SA VIE, alors qu'évidemment, cela est impossible au condamné pendu par les mains sans toucher me sol, car comme c'est bien indiqué dans le compte-rendu médical que vous rapportez : sa mort à lui ressemble à celle qui survient par étranglement, et on voit mal comment quelqu'un que l'on étrangle pourrait parler en même temps, et distinctement encore !

De plus, le fait même de la très sévère perte de sang du Crucifié rend la disposition physiologique du corps très différente de celle de l'asphyxié, qui n'a pas perdu une seule goutte de sang et qui a donc une pression phénoménale dans ses veines et artères ! Ce qui donne forcément à sa peau cette coloration violacée que l'on retrouve également chez les pendus "classiques" ( par le cou ).

Mais c'est très différent chez un Crucifié ayant déjà perdu une grande abondance de sang avant même sa crucifixion, durant :
- l'agonie au Gethsemani
- l'atroce flagellation
- le couronnement d'épines
- la longue marche forcée sous le poids de la Croix à travers Jérusalem jusqu'au Golgotha dans cet état lamentable
- l'arrachement de ses vêtements
- et enfin l'atroce saignée déclenchée bien évidemment par les clous enfoncés dans ses poignets et ses pieds, et poursuivie jusqu'à ce que mort s'en suive.

Comment est-ce que ces deux genres de mort deviennent subitement pour vous équivalents ? Nul ne le sait, c'est votre mystère que rien de concret ne saurait expliquer, sauf votre respect cher monsieur.

Mais cela ne s'arrête pas là...

Car dans votre vidéo, vous invoquez à témoin... le linceul de Turin, seul témoin fiable de la crucifixion.

Or ! Ce linceul nous indique bien une chose ESSENTIELLE : qu'il y ait eu rigidité cadavérique ou non chez le Christ, immédiate ou non, totale ou non, le fait est là :

le Christ n'a pas été crucifié sur la croix avec les mains croisées sur le ventre, or c'est bien ainsi que nous le voyons sur le linceul !

Ceci est la preuve que son corps, rigide ou non, ou bien "plus ou moins" rigide, a bien pu être manipulé après la descente de la croix, afin que la position de ses membres ne soit pas celle de sa mort.
Autrement, et c'est logique : il aurait fallu l'ensevelir avec les bras en croix !

Et malheureusement pour vous cher monsieur, cela finit d'achever l'invalidation de vos certitudes :
Si les bras purent en effet être bougés et demeurer dans une autre configuration que celle de la mort en croix, alors il en va nécessairement de même pour la main fermée en poing, qui put être elle-aussi dépliée manuellement, ce qui explique qu'on ne voit aucune des deux mains recroquevillée, sur le linceul.

D'autant plus qu'un dernier point vient vous remettre dans votre domaine, la médecine, inapte à juger dans d'autre domaine que le votre ( vous faites de même pour les ingénieurs, supportez qu'on le fasse pour vous ).

Dans bien des cas de sainteté avérée, le corps du saint ne présenta miraculeusement pas de rigidité cadavérique après sa mort. Ce fut le cas par exemple pour soeur Maria Giuseppina Catanea ( soeur Marie-Josephine de Jésus Crucifié, tiens par exemple ;))))

Ici, il n'y a pas d'équation mathématique, ni de diagnostique médical qui puisse tenir : nous sommes dans le domaine du surnaturel, et vous-même professez y croire.

Ce qui nous amène à une imprécision absolue sur la rigidité cadavérique du Christ après sa mort, car le corps du Christ n'était absolument pas n'importe quel cadavre lambda.

N'y eût-il aucune rigidité, fut-elle partielle, survint-elle de façon tardive ? Autant de question que la science ne pourra éclaircir complètement, car il est évident que l'on n'a assisté qu'une et une seule fois à la Mort d'un Dieu fait Homme, l'expérience n'est tout simplement PAS reproductible.

Pour toutes ces raisons - que certes vous connaissiez déjà, mais que vos auditeurs ne connaissaient peut-être pas - votre analyse est rendue bel et bien invalide.

Bien cordialement vôtre.
One more comment from apvs
apvs
LA RIGIDITÉ CADAVERIQUE, alias : "La grossière erreur du professeur".
Et là, on est en droit de se demander : mais COMMENT un MÉDECIN, aussi sûr de son art comme l'est monsieur, peut-il faire une pareille erreur si monumentale ? Lui, pourtant, il est sensé avoir un diplôme ?! Et nous, sans aucun diplôme de médecine, on en sait donc plus que lui ? C'est absolument a-hu-ris-sant...
Comment un …More
LA RIGIDITÉ CADAVERIQUE, alias : "La grossière erreur du professeur".

Et là, on est en droit de se demander : mais COMMENT un MÉDECIN, aussi sûr de son art comme l'est monsieur, peut-il faire une pareille erreur si monumentale ? Lui, pourtant, il est sensé avoir un diplôme ?! Et nous, sans aucun diplôme de médecine, on en sait donc plus que lui ? C'est absolument a-hu-ris-sant...

Comment un MÉDECIN comme lui peut-il donc ignorer que la rigidité cadaverique ne survient qu'environ 3h après la mort ? Je n'invente rien :

" (...) Les réactions biochimiques dans les muscles ayant cessé, le corps se raidit environ trois heures après la mort (rigor mortis). Le calcium inonde ensuite les cellules, provoquant la contraction des muscles et leur raidissement. Un pic de rigidité du corps est constaté dans les 9 à 12 heures suivant le décès. Après cela, le corps redevient flasque. "

C'est pourtant une connaissance basique, un b-a-ba scientifique si j'ose dire : mais non, monsieur le médecin l'ignore. C'est incroyable, mais vrai ! Et cela jette immédiatement le discrédit sur l'entièreté de son analyse, qui apparaît pour ce qu'elle est en réalité : une pure affabulation !

Et oui : affabulateur il y a bien, mais ce n'est pas celle qu'on croit.

Y a-t-il un indice indubitable de ce que cette rigidité cadaverique ne survint pas juste au moment de la mort de Jésus, comme monsieur l'affirme ? Bien sûr, mais notre médecin ne connaissant que fort peu l'Évangile, il n'a vraissemblablement pas été en mesure de relever cet indice : en effet, on constate que lorsque Jésus meurt sur la croix, son corps et notamment sa tête........ S'AFFAISSE ! Ce qui est le signe indubitable d'un relâchement général des muscles, qui étaient jusqu'ici tendus dans l'effort du dernier combat entre la vie et la mort.

Que s'en suit-il ? Il s'en suit que l'on peut très bien penser que le fameux poing fermé de Jésus se détendit lui-aussi, et repris une position normale excepté le pouce, c'est on ne peut plus plausible.

Il s'en suit également qu'il n'y eut rien d'incongru à employer un linge noué autour de la tête du Christ pour éviter que la bouche ne s'ouvre, comme on le voit pour certains cadavres dont on ne s'est pas occupé à temps.

Et enfin : rien d'anormal non plus à ce que le bras de Jésus ait pu glisser, avant de se retrouver collé par la gomme des aromates ( et nous reviendrons sur le sujet plus tard ).

Bref : on est en droit d'attribuer un zéro bien mérité à notre médecin pas très inspiré, au moins au moment de faire sa vidéo.

Lorsqu'on veut se mettre à concurrencer les analyses d'un scientifique - en l'occurrence Jean-François Lavère - , il faut au minimum vérifier ses propres capacités scientifiques de base, pour ne pas faire comme ici de lamentables erreurs, par un trop grand empressement de saccager ce qu'on n'a même pas pris le temps de connaître !

Je vous remercie de votre très aimable attention, monsieur le docteur.
vobiscum
La vie immortelle en Jésus-Christ free.fr/exultet.mp4