Bergoglio est un corrompu et un corrupteur, autrement dit l'Antéchrist

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Ce qui manquait : le film de Bergoglio

The Wanderer, le 31 juillet 2015

Il ne devait pas tarder à arriver. L'hagiographie de Bergoglio est une bonne affaire, à plus d'un titre. Et il est maintenant prêt à sortir en format film. Il s'agit d'un film argentin sur la vie actuelle du Pape François, avec Dario Grandinetti dans le rôle du Père Jorge.

Et voici quelques observations :

1. Il est au moins troublant qu'un film faisant l'éloge du Souverain Pontife soit financé par des capitaux juifs (Benteveo, Susevich et Curpnicoff). Souvenons-nous que le monde entier, et en particulier nos frères et sœurs aînés, se sont levés en armes lorsque Mel Gibson a filmé La Passion et l'ont banni, lui et une partie de sa distribution ; pourquoi changent-ils leur position maintenant ?

2. Le scénario a été écrit sur la base du livre d'Elizabetta Picqué (¡Cuando no !) Francisco. Vida y revolución, qui a obtenu l'accord de Bergoglio pour faire le film, quand a-t-on déjà vu qu'une personne vivante, surtout quand elle ne perd pas l'occasion de montrer son humilité, autorise le tournage de sa propre vie ?

3. Ce sera d'ailleurs un film mensonger. Voyons quelques exemples des cadres qui illustrent ce post. Jorge Bergoglio « sauvant » un de ses prêtres de la fureur de l'armée argentine, qu'il a caché dans une vieille Citroën Ami 8 grise. La référence est certainement les pères jésuites Yorio et Jalics qui, dans les années 1970, ont flirté très étroitement avec le marxisme et les groupes de guérilla. La fable raconte que le provincial de l'époque de la Compagnie en Argentine, risquant sa peau, les a mis en sécurité à l'extérieur du pays pour qu'ils ne soient pas kidnappés par les militaires. La vérité est que Bergoglio les a remis aux militaires, leur demandant de « les terroriser ». Vous trouverez la documentation à l'appui ici. Les pères de la Compagnie sont témoins de la purge des jésuites de gauche que Bergoglio a faite dans cette décennie, non pas par conviction mais pour se faire gratifier du gouvernement actuel du pays et de l'Église.

Pour cette raison - l'enlèvement de Yorio et de Jalics -, le Cardinal Primat de l'époque a témoigné comme témoin et, pour éviter autant que possible son exposition et sa publicité du sujet, il a eu recours à tous les privilèges que son poste lui a accordés, comme vous pouvez le voir ici. Au-delà du fait que leur témoignage n'était pas public, les films sont sur le web. Ici, par exemple, ils en ont une partie - vous pouvez voir le reste dans les vidéos liées à celles du côté droit de l'écran - qui montre le cynisme typiquement jésuite du personnage et la capacité du procureur qui essaie de le faire « marcher sur ses plates-bandes ». Je ne doute pas que, si Bergoglio n'avait pas été élu pape, il aurait été poursuivi et, peut-être, emprisonné aujourd'hui.

4. Sur d'autres photos, il y a un entretien que Bergoglio a eu avec l'amiral Massera, responsable des tortures et des meurtres qui ont eu lieu à l'école de mécanique de la marine. Selon les scénaristes, il s'agissait d'un « entretien tendu » dans lequel le jésuite se tenait bravement devant le marin pour demander des réponses sur le lieu où se trouvaient les disparus. Ce qui est certain et vérifiable, c'est que le Père Jorge Bergoglio, en tant que provincial de la Compagnie de Jésus et, à ce titre, en tant que directeur de l'Université d'El Salvador, a accordé à l'Amiral Emilio Massera un doctorat honorifique le 25 novembre 1977, comme on peut le voir dans cette note journalistique.

5. Il serait intéressant de produire un film ou un documentaire sur Bergoglio mais avec des informations fiables, pour lesquelles il faudrait consulter non pas la Picqué, mais ceux qui connaissaient et souffraient du pontife actuel. Quelques suggestions :

a) Le P. Víctor Zorzín S.J., qui était son second durant son mandat provincial et qui vit ses dernières heures dans ce monde sublunaire. Bergoglio ne lui parla jamais plus et ne le reçut jamais pendant son épiscopat à Buenos Aires. Le Père Zorzin apportera au tombeau des secrets inestimables sur qui était le Provincial et ce qu'il a fait.

b) M. Gabriel Ferrini, abusé à l'âge de 15 ans par le prêtre Rubén Pardo, du diocèse de Quilmes. Lorsque le cas a été rapporté à son évêque et ensuite à la justice, le prêtre s'est échappé et a été reçu et couvert par le cardinal Bergoglio dans la maison sacerdotale de Condarco 581 dans le quartier de Flores, Buenos Aires. Comme prévu, et avec l'aide du cardinal lui-même, il s'est enfui lorsque sa cachette a finalement été découverte par la justice, et est finalement mort du SIDA, caché dans une ville du nord-est de l'Argentine.

La mère du jeune homme, désespérée par l'indifférence de l'évêque de Quilmes, est allée soulever son cas auprès du cardinal Bergoglio, mais elle a été rapidement remerciée : il l'a fait expulser par le personnel de sécurité de la Curie. Enfin, elle a été reçue par le tribunal ecclésiastique qui, il faut le rappeler, dépend directement du tribunal pourpre, « dont le président n'a pas voulu prendre ma plainte », et où quinze jours plus tard elle a été interviewée par quatre prêtres « qui m'ont soumis à un interrogatoire humiliant, avec des questions obscènes et biaisées, me mettant à la place de l'agresseur, alors qu'ils étaient certains que l'acte s'était produit parce que l'agresseur avait admis l'acte 96 heures après à son évêque, qui l'a réprimandé ».

J'insiste sur le fait que c'est Bergoglio qui a forcé le recteur de la Maison sacerdotale (où vivent les prêtres âgés de l'archidiocèse) à cacher le Père Pardo, malgré sa résistance. Ce n'est pas le seul cas de protection offerte par le Cardinal Primat aux prêtres pédophiles qui ont été expulsés de leur diocèse d'origine et recherchés par la justice. Je ne peux pas en parler longuement, mais beaucoup de prêtres à Buenos Aires peuvent en témoigner.

Vous pouvez lire les détails de l'affaire ici et, pour une description plus détaillée et délicate, voir cette note.

c) Sœur Hilda Ledesma, qui était Supérieure Générale des Sœurs du Divin Sauveur, a été gracieusement déposée par le Cardinal Bergoglio. A la demande directe de l'archevêque de Buenos Aires de l'époque, et en représailles pour le fait que la Congrégation religieuse fondée par Mère Antula n'a pas accepté de modifier un accord avec l'archidiocèse, l'intervention de la congrégation, le déplacement de sa Supérieure Générale et plusieurs autres mesures ont été décrétées, parmi lesquelles la tentative de voler - purement et simplement – par le second contrôleur, Monseigneur Eduardo García, auxiliaire de Bergoglio, des images coloniales très précieuses que possèdent les religieuses. D'ici vous pouvez télécharger la lettre envoyée par les moniales au cardinal Rodé expliquant la situation à laquelle elles ont été soumises par l'archevêque de Buenos Aires.

La congrégation du Divin Sauveur est propriétaire du sanctuaire de San Cayetano de Liniers et, par un accord, ils donnent l'usage du temple à l'archevêché bien que la tirelire située à côté de l'image du saint le plus vénéré d'Argentine coule dans les coffres des petites sœurs. Le cardinal Bergoglio a fait pression sur elles pendant des années pour qu'elles abandonnent aussi les billets de banque, mais les bonnes petites nonnes, à juste titre, n'ont pas abandonné, et c'est ce qu'elles ont fait. L'intention était de dissoudre la congrégation sous prétexte d'un petit nombre de membres, ce qui ferait de l'archidiocèse non seulement la banque de cochons, mais aussi la Sainte Maison des Exercices, un bâtiment historique qui occupe un bloc entier au cœur de Buenos Aires, ce qui représente des millions de dollars pour sa valeur immobilière et pour les innombrables trésors coloniaux qu'il possède.

d) Les évêques argentins et les provinciaux des ordres religieux, qui détestent plus ou moins Bergoglio (pourquoi pensent-ils que le Pape ne vient pas en Argentine et pourquoi croient-ils qu'aucun curé de Buenos Aires n'a fait sonner les cloches de son église lorsqu'il a été élu ?). Et il y a beaucoup de raisons à cela, parmi lesquelles le réseau d'espionnage que le Cardinal avait mis en place dans tous les diocèses et congrégations d'Argentine par l'intermédiaire de prêtres dépendants qui lui rapportaient périodiquement les mouvements de leurs Ordinaires respectifs.

e) Monseigneur Eduardo García, aujourd'hui évêque de San Justo, a été pendant des années l'assistant et l'acolyte de Bergoglio en charge des affaires sales. Peut-être, à un moment donné, Son Excellence voudrait-il dire quelles méthodes le Cardinal a utilisées pour surveiller (espionner ?) et contrôler (extorquer ?) ses propres prêtres, ceux qui étaient plus caractéristiques de Beria que ceux d'un berger à l'odeur de mouton.

f) Mgr Jorge Torres Carbonell, élu par le Pape François comme évêque auxiliaire de Lomas de Zamora. C'est un personnage troublant - il suffit de voir son visage sur la photo ci-contre - qui a été successivement recteur du sanctuaire national de Notre-Dame de Luján et recteur du sanctuaire de San Cayetano de Liniers, nommé dans les deux positions par le cardinal Bergoglio. Ce sont les deux lieux de culte les plus populaires du pays et qui reçoivent plusieurs dizaines de millions de pesos par an sous forme d'aumône et de dons des fidèles. Torres Carbonell s'en occupait et en rendait compte à Bergoglio. Baciamo le mani, Don Giorgio !

Je ne pense pas qu'aucune de ces personnes acceptera de collaborer au scénario d'un documentaire véridique sur Bergoglio. La miséricorde pontificale est bien connue et effraie tout le monde.

Source : caminante-wanderer.blogspot.com/…/lo-que-faltaba-…

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