00:45
Montfort.
3114.4K
ON est au BORD de la GUERRE NUCLÉAIRE et TOUT le MONDE s'en FICHE Rossiya 1, la télévision d’État russe, diffuse depuis plusieurs jours des déclarations de différents analystes qui, sur les plateaux …More
ON est au BORD de la GUERRE NUCLÉAIRE et TOUT le MONDE s'en FICHE

Rossiya 1, la télévision d’État russe, diffuse depuis plusieurs jours des déclarations de différents analystes qui, sur les plateaux, assurent qu'une nouvelle guerre mondiale est en route, et que la Russie va utiliser pour se défendre ses armes nucléaires. Dans l'émission "60 minutes" ce jeudi, l'ultranationaliste Vladimir Solovyov, invité en plateau, n'a pas hésité à proposer d'utiliser les missiles Sarmat - les nouveaux missiles balistiques russes pouvant transporter jusqu'à 10 têtes nucléaires, et raser un pays grand comme la France - sur le Royaume-Uni. Vidéos de missiles en fond de plateau, la présentatrice liste ensuite le temps qu'il faudrait à un missile Sarmat pour frapper une capitale européenne: "il va de Kaliningrad à Berlin en 106 secondes. De Kaliningrad à Paris en 200 secondes", et jusqu'à Londres "en 202 secondes", explique-t-elle, en montrant ensuite une carte sur laquelle sont représentées les trajectoires de ces armes sur l'Europe.

"Nous les utiliserons si cela s'avère nécessaire"

En désignant à la réunion de Ramstein, aux 40 pays occidentaux, la Russie comme l'ennemi, comme l'objectif de cette guerre en Ukraine, les États-Unis en ont changé la signification, y compris aux yeux de certains pays européens. Ils ont imposé au conflit leur vision, leur direction, et le risque désormais probable, d'un affrontement direct.

La réaction du président Vladimir Poutine, le lendemain 27 avril, devant la Douma, à Saint-Pétersbourg, a voulu prendre en compte désormais clairement ce risque. Il déclare que s'il y a l'ingérence d'un "élément externe", et que la Russie se sent menacée de façon vitale, sa réponse sera "rapide et foudroyante". Il signale une nouvelle fois que la Russie a des armes stratégiques que ne possèdent pas les États-Unis :

« Nous avons pour cela tous les instruments. De ceux que personne ne peut se vanter de posséder. » Et surtout, il précise sur ces armes nouvelles : "Nous ne nous contenterons pas de nous en vanter, nous les utiliserons si cela s'avère nécessaire" et il ajoute " « Toutes les décisions là-dessus ont été déjà prises ».

Toute la gravité de la situation est dans ces mots "nous les utiliserons". Jusqu'à présent la règle implicite pour tous, résidait dans la dissuasion nucléaire, c'est-à-dire dans le principe stratégique que les armes nucléaires ne peuvent être utilisées, d'où le terme "dissuasif", parce que leur utilisation signifierait l'anéantissement réciproque. Or on passe désormais à autre chose, à quelque chose de différent de ce qu' a vécu le monde jusqu'à présent, le risque, non plus théorique, mais réel d'une guerre nucléaire.

De théorique, le risque de guerre nucléaire est devenu réel. C'est ce qu'a résumé dans une déclaration, le 25 avril, le ministre russe des affaires étrangères, Serguei Lavrov.

A la gravité de la situation, les étasuniens répondent par la désinvolture, l'ironie, voire la dérision. Pour Le président Joe Biden, dans des déclarations du 28 avril "c'est une réaction de désespoir de la Russie face à son échec en Ukraine". Pour les médias des États Unis, ce risque de guerre nucléaire n'est depuis le début que de "la propagande", "du bluff", des tentatives de faire peur à l'Occident, de l'intimider. Le ton est donné ainsi à tous les médias occidentaux qui vont dans le même sens dans un unanimisme quasi total.

Par contre, sur les médias russes le ton est diffèrent, grave. Le 30 avril, sur la chaine "Russia 1", la gravité de la situation n'est pas niée ou sous-estimée. On considère l'éventualité d'une guerre nucléaire comme réelle. Les gens en parlent avec sérieux, et même avec une sorte de fatalisme, comme si on voulait préparer l'opinion à cette situation.

Le 28 avril sur le plateau de Rossiya 1, Margarita Simonyan, la directrice de la chaîne d'information russe Russia Today, affirme :" L'idée que tout se termine par une attaque nucléaire me semble plus probable que tout autre scénario." On va jusque dans les détails, le discours est concret : on explique l'avantage dont dispose actuellement la Russie sur le plan de la technologie militaire et des armements nucléaires, avec ses missiles hypersoniques qui arrivent invisibles sur l'ennemi, et avec l'énorme missile balistique Sarmat, invisible lui aussi, et qui peut détruire, à lui seul, un pays tout entier. On donne même des chiffres sur leur rapidité "foudroyante" : 106 secondes pour arriver à Berlin, 200 à Paris, 206 secondes à Londres, ce qui ne permet pas à l'adversaire de réagir. "Personne n'y survivrait" dit un animateur de l'émission, "Personne sur cette planète" rectifie le présentateur du Programme. Le dialogue est hallucinant.

(Source)
Dwa Serca Maryja Jezus shares this
32.9K
Tajna broń zwana „błyskawiczną” pozwala z Kaliningradu: 106 sekund na dotarcie do Berlina, 200 w Paryżu, 206 sekund w Londynie, co nie pozwala przeciwnikowi na reakcję.
Nadciąga wojna, Moje dzieci: głowa człowieka traci rozum, rozważa się atom!
To nie są bajki ale realna rzeczywistość Niebo już od lat ostrzega o tym zagrożeniu dalej jesteś głuchy i śpisz? Udostępniaj Orędzia z Nieba by znaleźli …More
Tajna broń zwana „błyskawiczną” pozwala z Kaliningradu: 106 sekund na dotarcie do Berlina, 200 w Paryżu, 206 sekund w Londynie, co nie pozwala przeciwnikowi na reakcję.
Nadciąga wojna, Moje dzieci: głowa człowieka traci rozum, rozważa się atom!

To nie są bajki ale realna rzeczywistość Niebo już od lat ostrzega o tym zagrożeniu dalej jesteś głuchy i śpisz? Udostępniaj Orędzia z Nieba by znaleźli się ludzie którzy potraktują je poważnie. POTRZEBNE PILNIE ZAPASY w żywność, wodę, leki, odzież, narzędzia itd
wacula25wp.pl
NATO USA ma możliwości i zamieni w żużel Rosję z oceanu itp.
forthetruth333
Rosja zwycięży Europę
forthetruth333
Bóg użyje Rosji, aby naprawić ludzkość
Xavier Edmond Schaffers
God bless America ! Dieu bénisse l'Amérique, protectrice et bienfaitrice de notre Europe depuis 1945 !
(la vraie prospérité apportée par le plan Marshall de la Reconstruction, la sécurité assurée par l'OTAN, l'installation de grandes multinationales U.S. comme IBM, ITT, etc ...)
Olivier1
Le sarcasme n'est compris que si votre interlocuteur possède des éléments de vérités.
Ne pas hésitez à saupoudrer de quelques éléments qui font monter la T° de quelques degrés.
Les USA qui ont recyclés tout ce qu'il y avait de pire dans le 3ème Reich pour nous les refourguer ensuite au poste de clé de l'OTAN, l'ONU et de la construction de l'Europe.
Et pour prendre un autre axe de réflexion …More
Le sarcasme n'est compris que si votre interlocuteur possède des éléments de vérités.
Ne pas hésitez à saupoudrer de quelques éléments qui font monter la T° de quelques degrés.
Les USA qui ont recyclés tout ce qu'il y avait de pire dans le 3ème Reich pour nous les refourguer ensuite au poste de clé de l'OTAN, l'ONU et de la construction de l'Europe.
Et pour prendre un autre axe de réflexion et finir d'enfoncer le clou, on peut lire l'Américanisme de Mgr Delassus.
Les USA ne sont que l'ersatz du protestantisme de la GB.
N'attendons rien de leur part à part la soumission Européenne à leur Hégémonie du libéralisme.
Xavier Edmond Schaffers
Les USA ne sont pas Le Monde Parfait, mais néanmoins le "rêve américain" est une réalité concrète dont nous profitons depuis des décennies. Nous n'avons jamais aussi bien vécu matériellement que depuis 1950, grâce aux Américains. Nul autre peuple au monde ne jouit d'autant de libertés et de possibilités de réussite matérielle qu'en Amérique du Nord. Les dizaines de millions d'émigrants …More
Les USA ne sont pas Le Monde Parfait, mais néanmoins le "rêve américain" est une réalité concrète dont nous profitons depuis des décennies. Nous n'avons jamais aussi bien vécu matériellement que depuis 1950, grâce aux Américains. Nul autre peuple au monde ne jouit d'autant de libertés et de possibilités de réussite matérielle qu'en Amérique du Nord. Les dizaines de millions d'émigrants européens (dont beaucoup de cerveaux) au 20e siècle vers les USA et le Canada en témoignent. Ce n'est pas "Vive le Québec libre" ou "les Français du Canada", prononcés par un certain général de Gaulle jaloux de voir la prospérité des expatriés français devenus canadiens, qui pouvait changer les réalités. Un peu de modestie SVP, les Français, vis à vis de vos expatriés qui ont réussi en Amérique !
Spina Christi 2
"God bless America ! Dieu bénisse l'Amérique, protectrice et bienfaitrice de notre Europe depuis 1945 !"
Allez donc dire cela à toutes les Françaises violées par les soldats américains et à toutes les autres victimes de leurs exactions violentes et/ou meurtres, ce que même des soldats allemands n'ont pas fait.More
"God bless America ! Dieu bénisse l'Amérique, protectrice et bienfaitrice de notre Europe depuis 1945 !"

Allez donc dire cela à toutes les Françaises violées par les soldats américains et à toutes les autres victimes de leurs exactions violentes et/ou meurtres, ce que même des soldats allemands n'ont pas fait.
lacrimarum valle
Vive la Sainte Russie ! 😇 😇 😇 🙏 🙏 🙏
Claudius Cartapus
Le signe du début de la fin des temps, c'est la mort du dernier pape de l'Église. Il y en aura d'autres après bien sûr, mais il ne peut pas y avoir de guerre nucléaire avant la mort du dernier pape, et Benoît XVI est encore de ce monde. C'est lui qu'il faut surveiller. Tant qu'il est vivant, ça va. Par contre à son décès, tout est possible... L'an 2023, pour en avoir entendu parler déjà, c'est …More
Le signe du début de la fin des temps, c'est la mort du dernier pape de l'Église. Il y en aura d'autres après bien sûr, mais il ne peut pas y avoir de guerre nucléaire avant la mort du dernier pape, et Benoît XVI est encore de ce monde. C'est lui qu'il faut surveiller. Tant qu'il est vivant, ça va. Par contre à son décès, tout est possible... L'an 2023, pour en avoir entendu parler déjà, c'est l'année de tous les dangers, disons précisément, un an jour pour jour après l'entrée de la Russie en Ukraine. C'est ça qui est dans mon radar. Pas de guerre nucléaire avant le début de la fin des temps, autrement, l'expression 'fin des temps' ne ferait pas de sens. 🤔
Marie-Pierre Jeanine THIERY shares this
13
ArianeMPX shares this
40
GChevalier
"Nous les utiliserons si cela s'avère nécessaire"
En désignant à la réunion de Ramstein, aux 40 pays occidentaux, la Russie comme l'ennemi, comme l'objectif de cette guerre en Ukraine, les États-Unis en ont changé la signification, y compris aux yeux de certains pays européens. Ils ont imposé au conflit leur vision, leur direction, et le risque désormais probable, d'un affrontement direct.
La …More
"Nous les utiliserons si cela s'avère nécessaire"

En désignant à la réunion de Ramstein, aux 40 pays occidentaux, la Russie comme l'ennemi, comme l'objectif de cette guerre en Ukraine, les États-Unis en ont changé la signification, y compris aux yeux de certains pays européens. Ils ont imposé au conflit leur vision, leur direction, et le risque désormais probable, d'un affrontement direct.

La réaction du président Vladimir Poutine, le lendemain 27 avril, devant la Douma, à Saint-Pétersbourg, a voulu prendre en compte désormais clairement ce risque. Il déclare que s'il y a l'ingérence d'un "élément externe", et que la Russie se sent menacée de façon vitale, sa réponse sera "rapide et foudroyante". Il signale une nouvelle fois que la Russie a des armes stratégiques que ne possèdent pas les États-Unis :

« Nous avons pour cela tous les instruments. De ceux que personne ne peut se vanter de posséder. » Et surtout, il précise sur ces armes nouvelles : "Nous ne nous contenterons pas de nous en vanter, nous les utiliserons si cela s'avère nécessaire" et il ajoute " « Toutes les décisions là-dessus ont été déjà prises ».

Toute la gravité de la situation est dans ces mots "nous les utiliserons". Jusqu'à présent la règle implicite pour tous, résidait dans la dissuasion nucléaire, c'est-à-dire dans le principe stratégique que les armes nucléaires ne peuvent être utilisées, d'où le terme "dissuasif", parce que leur utilisation signifierait l'anéantissement réciproque. Or on passe désormais à autre chose, à quelque chose de différent de ce qu' a vécu le monde jusqu'à présent, le risque, non plus théorique, mais réel d'une guerre nucléaire.

De théorique, le risque de guerre nucléaire est devenu réel. C'est ce qu'a résumé dans une déclaration, le 25 avril, le ministre russe des affaires étrangères, Serguei Lavrov.

A la gravité de la situation, les étasuniens répondent par la désinvolture, l'ironie, voire la dérision. Pour Le président Joe Biden, dans des déclarations du 28 avril "c'est une réaction de désespoir de la Russie face à son échec en Ukraine". Pour les médias des États Unis, ce risque de guerre nucléaire n'est depuis le début que de "la propagande", "du bluff", des tentatives de faire peur à l'Occident, de l'intimider. Le ton est donné ainsi à tous les médias occidentaux qui vont dans le même sens dans un unanimisme quasi total.

Par contre, sur les médias russes le ton est diffèrent, grave. Le 30 avril, sur la chaine "Russia 1", la gravité de la situation n'est pas niée ou sous-estimée. On considère l'éventualité d'une guerre nucléaire comme réelle. Les gens en parlent avec sérieux, et même avec une sorte de fatalisme, comme si on voulait préparer l'opinion à cette situation.

Le 28 avril sur le plateau de Rossiya 1, Margarita Simonyan, la directrice de la chaîne d'information russe Russia Today, affirme :" L'idée que tout se termine par une attaque nucléaire me semble plus probable que tout autre scénario." On va jusque dans les détails, le discours est concret : on explique l'avantage dont dispose actuellement la Russie sur le plan de la technologie militaire et des armements nucléaires, avec ses missiles hypersoniques qui arrivent invisibles sur l'ennemi, et avec l'énorme missile balistique Sarmat, invisible lui aussi, et qui peut détruire, à lui seul, un pays tout entier. On donne même des chiffres sur leur rapidité "foudroyante" : 106 secondes pour arriver à Berlin, 200 à Paris, 206 secondes à Londres, ce qui ne permet pas à l'adversaire de réagir. "Personne n'y survivrait" dit un animateur de l'émission, "Personne sur cette planète" rectifie le présentateur du Programme. Le dialogue est hallucinant.

(Source)