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François patronne-t-il tout ce truc d'homoïdes ? Ben ouais !

Tous à l’école de Don Milani. Mais avec des élèves pareils…
Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso (08/01/2018)

Noël a un goût amer pour « Il Forteto », la communauté agricole toscane à laquelle le tribunal des mineurs de Florence confiait les jeunes « difficiles » afin de les ramener à une vie tranquille. Rodolfo Fiesoli, 76 ans, fondateur et « prophète » de cette communauté, a été arrêté le matin du 23 décembre, peu après que la cour de cassation ait confirmé de façon définitive sa condamnation à 14 ans de prison.

L’épouvantable série noire du Forteto a été anticipée par Settimo Cielo depuis 2013, alors que la réputation de la communauté était à son zénith auprès de l’intelligentsia progressiste, catholique et laïque, qui croyait Fiesoli quand il disait vouloir reproduire « en mieux et en plus grand » l’expérience éducative de don Lorenzo Milani (1923-1967), le prêtre sur la tombe duquel le Pape François lui-même est allé se recueillir à Barbiana (voir photo):
> Cattivi scolari di don Milani. La catastrofe del Forteto
(Les mauvais élèves de don Milani. La catastrophe du Forteto)

Fiesoli était membre de la Fondation Don Lorenzo Milani et le lien entre les deux réalités a été confirmé et mis en évidence par les sociologues Giuseppe Fornari et Nicola Casanova dans l’essai « La contradiction virtuose . Le problème éducatif, don Milani et il Forteto », publié en 2008 par la prestigieuse maison d’édition « Il Mulino » ainsi que par la proximité qu’entretenait avec Fiesoli le président du tribunal des mineurs de Florence, Gian Paolo Meucci (1919-1986), grand ami de don Milani et figure de premier plan du catholicisme progressiste florentin.
Mais ce qui se passait vraiment derrière les murs du Forteto donne la chair de poule. Et le verdict de près de mille pages rendu le 17 juin 2015 qui vient d’être confirmé en cassation l’explique dans le détail, à travers les dépositions des accusés, des témoins et des victimes.

Au sein du Forteto était en vigueur un régime de séparation forcée des hommes et des femmes était de rigueur, même s’ils étaient fiancés ou mariés, d’interdiction de tout rapport hétérosexuel, de pratiques homosexuelles encouragées et souvent imposées, de rupture avec les familles d’origine, de procès publics et de punitions humiliantes pour ceux qui désobéissaient, de culte de la personnalité du fondateur et d’abus sexuels systématiques perpétrés par Fiesoli sur ses subordonnés.

Mais l’engouement pour le Forteto s’étendait bien au-delà des frontières du domaine agricole et de la Toscane. Parmi les témoins entendus par les juges, on retrouve un prêtre de l’archidiocèse de Bologne, don Stefano Benuzzi, dont la déposition s’étend sur six pages dans le jugement et décrit de façon impressionnante la dérive idéologique à laquelle lui-même s’était laissé prendre.

Don Benuzzi, 47 ans, diplômé en ingénierie, était à l’époque du procès professeur de religion dans un lycée de Bologne et célébrait la messe dans une paroisse de périphérie. Il avait rencontré Fiesoli pendant une marche en mémoire de don Milani en 2001 à Barbiana et avait continué à le fréquenter jusqu’en 2008, toujours plus « fasciné » par lui. Il créa lui aussi une petite communauté de jeunes autour de lui pour imiter et augmenter les hôtes du Forteto. Entretemps, il a entretenu une relation sentimentale avec une femme, relation dont Fiesoli et les siens avaient connaissance et qu’ils tournaient publiquement en dérision.

Interrogé par les juges, don Benuzzi n’a pas expliqué pourquoi il avait fini par rompre avec Fiesoli. Dans le récit qu’il fait de sa dernière rencontre avec le fondateur de la communauté, il a déclaré :
« Nous sommes restés dans sa chambre quelque instants et puis il y a eu des effusions. Rodolfo m’a enlacé et embrassé. Sur les mains, oui, et puis aussi sur la bouche, mais il n’y avait rien de violent ni de voluptueux de sa part. Ce baiser était d’une pureté incroyable, de la part d’une personne qui voulait se consacrer à des rapports sincères et transparents avec les autres ».

Au sein du Forteto, « on suivait le modèle grec », a ensuite déclaré don Benuzzi aux juges. Il y régnait « une amitié profonde et irrésistible » parce que « dans le rapport d’un homme avec un homme, d’une femme avec une femme, on peut atteindre des pics d’entente et d’engagement supérieurs à ceux de la relation hétérosexuelle ».

Concernant le pouvoir absolu qu’exerçait Fiesoli sur la communauté, don Benuzzi a déclaré :
« Quand quelqu’un remettait ses décisions en question, il le jetait dehors. Rodolfo n’a de comptes à rendre à personne. Après lui, c’est Dieu. »

Il a admis se sentir encore « fasciné », malgré – écrivent les juges au sujet du du chef du Forteto – « son langage grivois, ses blasphèmes contre la Vierge Marie et la sexualisation de chaque situation ».

Les juges écrivent encore au terme de l’interrogatoire du prêtre :
« Il s’agit d’une déposition qui n’appelle aucun commentaire. Même si elle est connotée d’une réticence évidente dans ses passages les plus ‘sensibles’, elle a toutefois confirmé ce qu’était réellement le Forteto et comment Rodolfo Fiesoli a réussi à établir son emprise sur des individus aux profils psychologiques particuliers, avec des difficultés intérieures, des conflits et des peurs, dépourvus d’une capacité solide de critique ou de discernement ».

Aujourd’hui, don Benuzzi est curé à Badi, dans la haute vallée du Reno, dans les Apennins de la région de Bologne.

Elle est bien loin, l’époque dorée où son nom apparaissait comme « professeur de l’École scientifique Copernico de Bologne » et comme intervenant à un congrès de haut niveau organisée à l’Université de Florence intitulé « Crise de l’éducation ou éducation de la crise ? ».

C’était en 2005 et le promoteur et l’organisateur de ce congrès était Luigi Goffredi, numéro deux et idéologue du Forteto, qui a échappé à la prison grâce à la prescription des faits qui lui sont reprochés. Parmi les autres intervenants, on retrouvait également Massimo Toschi, Conseiller à la coopération internationale et à la paix pour la région de Toscane, lui aussi adepte du Forteto et membre de la Fondation pour les Sciences Religieuses Jean XXIII de Bologne dirigé par Alberto Melloni.

Et ce n’est pas tout. L’intervenant-vedette du congrès n’était nul autre que René Girard en personne (1923-2015), venu de l’Université de Stanford, l’anthropologue de renommée mondiale que Fiesoli et Goffredi encensaient avec don Milani et considéraient comme le plus grand maître de leur méthode éducative. « En déformant complètement son enseignement », écrivent les juges dans la sentence, après avoir rapporté les déclarations de don Benuzzi, lui aussi un adepte de Girard qu’il avait « rencontré à Paris à l’occasion d’une visite qu’ils avaient rendue ensemble à quelques membres du Forteto », les incontournables Fiesoli et Goffredi.

« A l’évidence – écrivent encore les juges – Benuzzi avait trouvé auprès du Forteto et en son guide, Fiesoli, la figure forte dont il avait besoin pour être soutenu et encouragé face à des problèmes personnels, des conflits, des insécurités, des peurs et à cette confusion permanente dont il souffrait, notamment vu son choix pour la vie sacerdotale qu’il exerçait, durant ces années, d’une manière pour le moins ‘originale’.

En avril dernier, peu avant la visite du Pape François à Barbiana, un passage d’une lettre écrite par don Lorenzo Milani à son ami journaliste Giorgio Pecorini a beaucoup fait parler de lui. Cette lettre figure dans l’opera omnia du prêtre publiée chez Mondadori sous la direction d’Alberto Melloni :

« Ces deux prêtres me demandèrent si mon objectif final en donnant cours était de les mener vers l’Eglise ou pas et sinon ce qui pouvait bien m’intéresser dans le fait de donner cours sinon cela. Et moi, comment pouvais-je leur expliquer à eux qui étaient si purs et si pieux que j’aime mes enfants, que j’ai perdu la tête pour eux, que je ne vis que pour les faire grandir, pour les faire s’ouvrir, pour les faire s’épanouir, pour les faire porter du fruit ? Comment pouvais-je leur expliquer que j’aime mes ouailles plus que l’Eglise et que le pape ? Et je sais que si je cours un risque pour mon âme, ce n’est certes pas d’avoir aimé trop peu mais plutôt d’avoir trop aimé (c’est-à-dire de dormir avec eux !) ».

Et un peu plus loin :
« Et qui pourra aimer les jeunes jusqu’à l’os sans finir par la leur mettre aussi dans le cul, sinon un maître qui comme eux aime Dieu et craint l’enfer ? »

Déjà de son vivant, don Milani fut accusé de pratiques homosexuelles. Mais ce qui a relancé ces accusations, c’est le fait qu’un écrivain italien célèbre, Walter Siti, lui ait dédicacé son dernier roman qui met justement en scène un prêtre pédophile, ainsi que les explications données par Siti pour cette dédicace.

Ce qui n’a pas manqué de susciter des réactions indignées de la part des adeptes de don Milani.

Mais en ce qui concerne une éventuelle béatification du prêtre, l’archevêque de Florence, le cardinal Giuseppe Betori, de l’avis duquel dépend le procès canonique, l’a exclu en déclarant : « Il n’en est pas question, au moins tant que je serai là. Je ne crois pas à la sainteté de don Lorenzo. »

Source : www.diakonos.be/…/tous-a-lecole-d…

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Le pape François loue Don Milano, prêtre, éducateur,… homosexuel et …pédéraste
par Francesca de Villasmundo — 24 juin 2017

La normalisation de la pédophilie aurait-elle dorénavant le soutien du Vatican ? Question osée mais question qu’il faut cependant avoir l’honnêteté de se poser après la visite du pape François à la tombe de Don Milani « prieur de Barbiana à partir de 1954» où il est enterré.

Le 20 juin dernier, les grands quotidiens italiens, laïcistes, athées, agnostiques, gauchistes, radical-chic, anticléricaux, etc., ont salué, applaudi, célébré, à grands renforts de gros titres et articles louangeurs, cette visite pontificale à la tonalité particulière. Le pontife argentin a fait l‘éloge de ce prêtre toscan, en affirmant que « l’Église reconnaît en cette vie une façon exemplaire de servir l’Évangile, les pauvres et l’Église elle-même. » Par Église il vaut mieux entendre Jorge Maria Bergoglio uniquement tellement la figure de Don Milani est controversée, ombre ténébreuse qui a plané sur l’innocence des enfants !

Don Milani, juif converti au catholicisme, « intellectuel inquiet, utopiste et intempérant » ne fut pas en effet seulement un prêtre révolutionnaire, anarchiste, rebelle envers l’autorité, et dont l’œuvre « Expériences pastorales » fut retirée de la vente en 1958 après sa mise à l’index par le Saint-Office. Il fut aussi un éducateur à la pédagogie bien particulière dans l’école de Barbiana qu’il fonda dans les années 50. « Audacieux et désinhibé ce qu’il faut, écrit Elisabetta Frezza sur Riscossa Cristiana, pour incarner l’éducateur parfait du monde nouveau. »

En Italie, n’est-il pas d’ailleurs considéré par les gauches progressistes au pouvoir un modèle d’éducateur ? « Théoricien de l’école égalitaire », maître à penser « des enseignants jacobins », apôtre de la Révolution française, il est la figure idéale pour asseoir le nouveau modèle culturel mondialiste, déstructurant, déconstructeur et destructeur de toute morale. Le pape François avait bien fait remarquer dans un message vidéo retransmis en avril dernier à l’occasion de la réédition de l’Opera Omnia du prêtre, retirée de l’index :
« Comme éducateur et enseignant il a indubitablement pratiqué des parcours originaux, parfois, peut-être, trop avancés et donc, difficiles à comprendre et à accepter dans l’immédiat. »

Pour appuyer son portrait d’un don Milani chouchou de l’intelligentzia actuelle, Elisabetta Frezza cite des passages d’un article paru dans la Reppublica, journal bien-pensant italien s’il en faut, à la pointe de toutes les révolutions culturelles post-soixante-huitardes : la journaliste Silvia Ronchey n’hésite pas à décrire le prêtre comme
« un héritier de la haute bourgeoisie juive d’ancien lignage, aux positions libérales enracinées, et aux traditions culturelles raffinées… qui se fait traître à son milieu, et aux camps autoritaires de sa propre église, si ce n’est, ensuite, à ceux des partis… un juif non-pratiquant qui fait indigestion du Christ. »

Et plus loin, la description se fait plus précise :
« Fasciné par la littérature, par la poésie, par la peinture dès l’adolescence, artiste bohème à l’homosexualité non dissimulée dans la Florence des années 30, sa première rencontre avec le missel romain a quelque chose de dandystique. »

L’allusion à l’homosexualité du futur don Milani par Silvia Ronchey n’est pas même voilée !

Et voici maintenant quelques passage de l’œuvre republiée de Don Milani qui dévoile sa pédérastie :
«Et je sais que si je cours un risque pour mon âme ce n’est certainement pas d’avoir peu aimé, plutôt d’aimer trop (c’est-à-dire de me les porter aussi au lit!) ».

Dans une lettre à un journaliste qui deviendra son biographe il écrivait encore :
« Et qui pourrait aimer les enfants jusqu’à l’os sans terminer par le leur mettre aussi dans le derrière, si ce n’est un maître qui aime aussi Dieu et craint l’enfer. »

Et c’est ce prêtre aux tendances pédophiles que El pape argentin loue et donne en exemple :
«J’aimerais que nous nous souvenions de lui surtout comme d’un croyant, amoureux de l’Église même si blessé, et éducateur passionné avec une vision de l’école qui me semble une réponse aux exigences du cœur et de l’intelligence envers nos jeunes et nos enfants. »

Le pape François, qui veut redorer le blason de don Milani, oublie
« le récent scandale pédophile du Forteto, où les disciples des méthodes éducatives du prêtre juif homosexuel, écrit Maurizio Blondet sur son blog, effectivement « le mettaient dans le derrière » des enfants et pas par métaphore. »

« Et le pape,
s’exclame un Blondet que l’on sent scandalisé, a choisi ce moment-même, l’avancée du totalitarisme sodomite, pour le glorifier. »

D’ailleurs continue-t-il
« tout de suite la Fedeli [ministre actuelle de l’Éducation nationale en Italie, ndlr], cette ministre ignorante qui est à la tête de l’école dans le seul but d’imposer la théorie du genre a « recueilli avec satisfaction « l’invitation du pape Bergoglio : nous nous souviendrons de don Milani et nous le rendrons protagoniste d’une mémoire active », en le prenant comme modèle du « vrai éducateur passionné par une école ouverte et inclusive. »

Les mondialistes homosexualistes, environnementistes, immigrationnistes de tout poils, les Georges Soros, Jacques Attali, Pierre Berger, qui veulent imposer à la terre entière leur gouvernance mondiale en tous les domaines avec comme corolaire la libéralisation de toutes les perversions sexuelles auraient-ils trouvé en Jorge Maria Bergoglio un allié de poids ? Difficile de répondre par la négative quand on le voit se recueillir devant la tombe du controversé don Milani, aimé des bien-pensants genderophiles

La Gaystapo, un des éléments fondateur du Nouvel Ordre Mondial, a encore de beau jour devant elle pour semer son désordre apocalyptique….

Source : www.medias-presse.info/…/75953

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Le Vatican engage une société militante LGBT
pour créer et exploiter
une nouvelle plateforme d'information sur Internet



Par : Matthew Cullinan Hoffman

Mercredi 20 décembre 2017 (Life Site News ) — Des sourcils se sont froncés à la suite de l'annonce qu'un responsable du Vatican ayant des liens étroits avec des militants LGBT avait embauché une société de marketing numérique ouvertement homosexuelle pour concevoir et gérer le nouveau service d'information sur Internet du Saint-Siège.

La société Accenture est connue dans le monde entier pour sa promotion du programme politique homosexuel, elle a été récompensée pour être le meilleur employeur « gay friendly » et pour produire des vidéos proposant des stratégies de promotion des « droits LGBT » à travers le monde.

Accenture tient à jour sur son site Web une page complète de matériel de fierté LGBT et une bibliothèque de douze vidéos LGBT qui encouragent l'inclusion homosexuelle dans son entreprise et dans la société en général. L'enthousiasme de l'entreprise à promouvoir l'homosexualité a été assez fort pour lui valoir le prix de la société la plus « gay friendly » de toute la Grande-Bretagne en 2013 et d'être le « meilleur lieu de travail LGBT » en 2016 en Irlande.

La société a même signé un mémoire soutenant les plaignants homosexuels dans la décision Obergefell contre Hodges de la Cour Suprême des États-Unis, qui a obligé les cinquante États à reconnaître le « mariage » gay. Elle contribue également à la « Human Rights Campaign », une organisation de lobbying homosexuel américain qui a donné à l'entreprise une note de 100% pro-homosexuelle.

Le nouveau service de nouvelles créé par Accenture s'appellera « Vatican News » et consolidera tous les canaux de communication existants utilisés par le Vatican, y compris Vatican Media, Radio Vaticana et Vatican News, laissant un seul canal de communication à travers les médias en ligne. La version bêta du site peut être trouvée ici.

Le magazine Adweek rapporte qu'Accenture participera à « la création d'une équipe éditoriale multilingue capable de travailler avec une approche multimédia, multi-appareils et multiculturelle ; et une stratégie de contenu qui permet une gestion et une distribution efficaces du contenu ».

« Nous façonnons et transformons la façon dont ils communiquent » a déclaré Alessandro Diana, directeur d'Accenture Interactive Italie, au magazine Adweek.

« Nous lançons la dernière partie de la réforme demandée par le Pape François. Chaque réforme ne provient pas d'un passé erroné mais d'un présent qui appelle un changement : dans ce cas, la convergence culturelle et numérique actuelle nécessite l'adoption de processus de production différents des processus traditionnels » a déclaré Monseigneur Dario Edoardo Viganò, Préfet du Secrétariat des Communications du Vatican.

« La collaboration avec Accenture Interactive, grâce à leur solide expérience globale, nous a permis de développer une stratégie globale capable d'unir différents groupes de travail, la diversification des formats et le renforcement de l'identité de marque tout en maximisant la valeur de nos talents professionnels maison travaillant dans les médias du Saint-Siège ».

Selon Diana, Accenture n'était impliqué dans aucun processus de sollicitation de contrat. Les fonctionnaires du Vatican ont plutôt approché Accenture de leur propre chef.

Les liens croissants de Monseigneur Viganò avec des militants homosexuels

Le dévoilement du contrat sans appel d’offres de Dario Edoardo Vigano avec les sociétés homosexuelles Accenture fait suite à une période de soutien croissant de sa part pour les homosexuels ouverts et les activistes homosexuels.

La première indication majeure de Viganò de son soutien à l'agenda gay est venue avec sa nomination du prêtre Jésuite James Martin en tant que conseiller du Secrétariat des Communications plus tôt cette année.

Martin est largement connu comme un ardent défenseur de l'agenda politique et social des LGBT, affirmant que l'Église Catholique peut « apprendre sur l'amour » des couples qui pratiquent la sodomie et devrait cesser d'appeler le comportement homosexuel « intrinsèquement désordonné ». Il a appelé les prêtres homosexuels à « sortir » de leur placard, mais il refuse de dire s'il est lui-même homosexuel.

Viganò a également développé une relation de travail étroite avec un journaliste de radio homosexuel, Pierluigi Diaco, qui a publiquement célébré son « union civile » à un autre homme, selon le journaliste Italien Marco Tosatti.

Tosatti note dans un article récent pour La Nuova Bussola Quotidiana que Viganò a commencé à apparaître régulièrement sur l'émission de radio de Diaco et est récemment apparu avec Diaco en tant que conférencier lors d'une récente conférence à la radio organisée par l'Ambassade Italienne au Vatican. .

« Viganò et Diaco se connaissent depuis longtemps : en effet, le Préfet actuel est régulièrement invité au programme que Diaco présente sur RTL [radio] dans son émission « Non stop News » » écrit Tosatti. « Chaque lundi, Viganò a un espace avec les présentateurs de l’émission appelé « Bonjour, je suis François » dans lequel il parle des événements avec les yeux du Pontife régnant. Et précisément aujourd'hui [ 19 décembre ], Viganò a ouvert la porte aux présentateurs, Diaco en tête, du musée de Radio Vaticana. La transmission en direct, de 6 heures à 9 heures du matin, a été faite à partir de là ».

« Perluigi Diaco est un collègue professionnel très connu qui a célébré début novembre son union civile avec son partenaire et dont il a annoncé l'homosexualité d'une manière très sensationnaliste », écrit Tosatti, ajoutant : « Nous sommes curieux de savoir pourquoi parmi des centaines de collègues de la radio et de la télévision, il a été choisi pour participer à la conférence de l'Ambassade d'Italie, dont l'histoire personnelle l'a transformé en une icône pour la lutte des LGBT ».

Tosatti suggère une explication, notant que « l'aumônier de l'Ambassade Italienne auprès du Saint-Siège est Monseigneur Pasquale Spinoso, un ami intime de Dario Edoardo Viganò. . . depuis l'époque où ils travaillaient tous les deux à la Conférence Épiscopale Italienne. . . . Eh bien, peut-être que tout cela n'est pas une coïncidence comme cela pourrait paraître ».

Source : dieuetmoilenul.blogspot.com/…/le-vatican-enga…

Destruction de Sodome et Gomorrhe

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Album ACTU
ladoctrine
C'est impossible que des "papes ne suivent plus la véritable Eglise"........ Effectivement, tous ces intrus n'auraient jamais pu accéder au Siège de Pierre si la Foi des cardinaux les en avait empêchés.
Ne nous laissez pas sucomber
@ladoctrine ,en cela vous avez tout dit et rien dit en même temps ;Vous me faite pensé à cette épicier Français qui pendant la guerre hébergeais un solda Allemand (pour ètre bien avec eux)et qui à la libération le vend à la vindicte populaire (pour ètre bien avec eux) en gros si les ¨Papes de Jean XXIII à aujourd’hui ne suivent plus la véritable Eglise ;vous vous laver les mais la responsabilité …More
@ladoctrine ,en cela vous avez tout dit et rien dit en même temps ;Vous me faite pensé à cette épicier Français qui pendant la guerre hébergeais un solda Allemand (pour ètre bien avec eux)et qui à la libération le vend à la vindicte populaire (pour ètre bien avec eux) en gros si les ¨Papes de Jean XXIII à aujourd’hui ne suivent plus la véritable Eglise ;vous vous laver les mais la responsabilité leurs incombe ,vous êtes bien de cette société soixante-hui-tard .
ladoctrine
Si ce que j'écris est contraire à ce que vous, vous écrivez, c'est que nous n'avons pas la même doctrine. En tant que simple fidèle catholique, je n'ai rien à prouver, vous savez, je ne fais, en toute simplicité, que confirmer ce que la Sainte Eglise a déjà enseigné, conformément aux paroles de Notre Seigneur. C'est incompréhensible que, doctrinalement, à partir du moment où l'on reconnait …More
Si ce que j'écris est contraire à ce que vous, vous écrivez, c'est que nous n'avons pas la même doctrine. En tant que simple fidèle catholique, je n'ai rien à prouver, vous savez, je ne fais, en toute simplicité, que confirmer ce que la Sainte Eglise a déjà enseigné, conformément aux paroles de Notre Seigneur. C'est incompréhensible que, doctrinalement, à partir du moment où l'on reconnait François comme pape, on puisse se permettre de se moquer du matin au soir de ce qu'il fait et dit concernant la Foi et la morale puisqu'il ne peut sur ces deux sujets ni se tromper ni nous tromper. C'est tout. Si cet individu se trompe et donc nous trompe, vous connaissez, non pas ma conclusion, mais celle du Christ et de son Eglise.
Ne nous laissez pas sucomber
@ladoctrine Vous ne savez que faire pour prouvez le contraire de ce que je dit ,que vous en faite une tartine alambiqué ,on connait sa noie le poisson ,petit malin du malin vas?
ladoctrine
C'est le Saint-Esprit, et non le malin, qui guide les Papes auxquels le Bon Dieu nous demande d'être soumis. Un Pape ne peut pas "patronner"ce que François "patronne" : si François "patronne" ce qu'un Pape ne peut pas "patronner" c'est que François n'est pas le Pape..... de la Sainte Eglise Catholique qui, en aucun cas, ne se laisserait "patronner" par quelqu'un dont les erreurs doctrinales sont …More
C'est le Saint-Esprit, et non le malin, qui guide les Papes auxquels le Bon Dieu nous demande d'être soumis. Un Pape ne peut pas "patronner"ce que François "patronne" : si François "patronne" ce qu'un Pape ne peut pas "patronner" c'est que François n'est pas le Pape..... de la Sainte Eglise Catholique qui, en aucun cas, ne se laisserait "patronner" par quelqu'un dont les erreurs doctrinales sont incompatibles avec la fonction de "grand patron" ! Quelle offense à Saint Pierre.....
Que François guide le Vatican et le monde, c'est normal, puisque le Vatican et le monde l'ont choisi, et donc le reconnaissent, comme leur grand chef spirituel : qui oserait résister à son autorité, sinon ceux dont la conscience fonctionne........ mais non, ces malheureux se diront toujours (car ils veulent mettre en pratique, à juste titre, le catéchisme de leur enfance) qu'on ne résiste pas à l'autorité dans l'Eglise catholique ! On obéit. Saint Paul le dit.... "dans l'Eglise du Christ, on n'admet pas la rébellion". On en revient toujours au même : si l'on doit désobéir, c'est qu'on n'est pas en présence.... d'un pape ! Ils ne font pas le bon raisonnement doctrinal.
Maintenant, que le Vatican et le monde soient main dans la main pour se laisser guider par le malin jusqu'à inviter dans la ronde tous les excommuniés, cela fait des décennies que ça dure...... et je dirai même que ça empire ! Qui se ressemble s'assemble...... et, d'un commun accord, et d'une seule voix, ils reconnaîtront TOUS François et sa poignée de prédécesseurs comme...... leurs "papes" qu'ils ont réussi à asseoir sur le siège de Pierre grâce à la tiédeur des catholiques.
C'est comme un mur qui est dressé devant leurs yeux, plus le mur est haut et plus ils sont près de lui, moins ils le voient ! Ce n'est que lorsque celui-ci leur tombera sur le coin du nez, qu'ils comprendront enfin où est la véritable Eglise Catholique ! Un mystère demeure : la position incompréhensible de la Fraternité Saint Pie X qui, consciemment ou inconsciemment, neutralise le bon combat.....
Ne nous laissez pas sucomber
Et @petero viendra dire que ce n'est pas le malin qui guide le Vatican depuis JeanXXIII ?
Montfort AJPM
Voici un article particulièrement cru mais particulièrement clair qui fait voir qui sont ceux que patronne François. Cœurs fragiles, s'abstenir !!!
GChevalier
Il y a 50 ans, la télé aurait mis un carré blanc (interdit aux mineurs).
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