« [...] Que nous regardions la société, la politique ou même l’Église, nous pourrions avoir la tentation de penser que notre époque est la plus noire qui puisse être. Il nous faut pourtant savoir apprécier les petites perles d’Espérance que le Seigneur nous accorde. L’une d’elle brille dans le bourbier politique des futures élections législatives : le projet de loi sur l’euthanasie est …More
« [...] Que nous regardions la société, la politique ou même l’Église, nous pourrions avoir la tentation de penser que notre époque est la plus noire qui puisse être. Il nous faut pourtant savoir apprécier les petites perles d’Espérance que le Seigneur nous accorde. L’une d’elle brille dans le bourbier politique des futures élections législatives : le projet de loi sur l’euthanasie est désormais repoussé aux calendes grecques. Même s’il reviendra probablement sur la table, nous avons gagné quelques temps de répit. De même, en bon péroniste qu’il est, le Souverain Pontife, tout en faisant le contraire avec James Martin, a dénoncé par deux fois les « tarlouzes » (« frociaggine ») et la culture gay qui s’épanouissent dans les séminaires ou dans la Curie Romaine. Le Pape chéri des médias perd en côte de popularité en dénonçant les dérives qu’il n’est pas politiquement correct de dénoncer. Cherchons ces perles rares et sachons les apprécier, même si leur beauté est éphémère. N’oublions pas cette belle vertu théologale de l’Espérance qui est si souvent délaissée aujourd’hui en faveur d’un fatalisme pessimiste.
Notre-Seigneur, dans le passage cité plus haut, nous donne un motif d’espérance : les portes de l’Enfer ne prévaudront jamais sur Son Église. Comment concilier ces paroles du Verbe et la situation actuelle de l’Église et de l’Office Pétrinien ? Quelle attitude adopter quand les actes du Souverain Pontife contredisent la Tradition et le Magistère de l’Église ? Entre ultramontanisme et sédévacantisme, l’adage In medio stat virtus est, encore une fois, gage d’une sainte réflexion. [...]
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La Primauté de Pierre. Lettre mensuelle aux membres et amis de la Confrérie Royale

Chers Amis, Que nous regardions la société, la politique ou même l’Église, nous pourrions avoir la tentation de penser …
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« [...] Que nous regardions la société, la politique ou même l’Église, nous pourrions avoir la tentation de penser que notre époque est la plus noire qui puisse être. Il nous faut pourtant savoir apprécier les petites perles d’Espérance que le Seigneur nous accorde. L’une d’elle brille dans le bourbier politique des futures élections législatives : le projet de loi sur l’euthanasie est …More
« [...] Que nous regardions la société, la politique ou même l’Église, nous pourrions avoir la tentation de penser que notre époque est la plus noire qui puisse être. Il nous faut pourtant savoir apprécier les petites perles d’Espérance que le Seigneur nous accorde. L’une d’elle brille dans le bourbier politique des futures élections législatives : le projet de loi sur l’euthanasie est désormais repoussé aux calendes grecques. Même s’il reviendra probablement sur la table, nous avons gagné quelques temps de répit. De même, en bon péroniste qu’il est, le Souverain Pontife, tout en faisant le contraire avec James Martin, a dénoncé par deux fois les « tarlouzes » (« frociaggine ») et la culture gay qui s’épanouissent dans les séminaires ou dans la Curie Romaine. Le Pape chéri des médias perd en côte de popularité en dénonçant les dérives qu’il n’est pas politiquement correct de dénoncer. Cherchons ces perles rares et sachons les apprécier, même si leur beauté est éphémère. N’oublions pas cette belle vertu théologale de l’Espérance qui est si souvent délaissée aujourd’hui en faveur d’un fatalisme pessimiste.
Notre-Seigneur, dans le passage cité plus haut, nous donne un motif d’espérance : les portes de l’Enfer ne prévaudront jamais sur Son Église. Comment concilier ces paroles du Verbe et la situation actuelle de l’Église et de l’Office Pétrinien ? Quelle attitude adopter quand les actes du Souverain Pontife contredisent la Tradition et le Magistère de l’Église ? Entre ultramontanisme et sédévacantisme, l’adage In medio stat virtus est, encore une fois, gage d’une sainte réflexion. [...]