« L’épopée johannique nourrit l’imagination de générations d’écoliers français pourtant sous la férule républicaine. Dans les classes d’antan, le maître exposait chaque semaine de grandes illustrations en couleurs représentant les épisodes fameux de notre Histoire, et Jeanne la Pucelle en faisait partie, tant à Chinon qu’à Orléans ou sur le bûcher de Rouen. Elle apparaissait comme un …Plus
« L’épopée johannique nourrit l’imagination de générations d’écoliers français pourtant sous la férule républicaine. Dans les classes d’antan, le maître exposait chaque semaine de grandes illustrations en couleurs représentant les épisodes fameux de notre Histoire, et Jeanne la Pucelle en faisait partie, tant à Chinon qu’à Orléans ou sur le bûcher de Rouen. Elle apparaissait comme un instrument de réconciliation nationale entre ceux qui honoraient Dieu et ceux qui Le combattaient. Son étendard continuait d’attirer sous sa protection tous ceux qui, de manières diverses, aimaient toutefois le sol nourricier et paternel. Depuis les dernières décennies, un vent mauvais n’a cessé de souffler sur le royaume qui demeure dans le Cœur de Dieu de façon privilégiée. Le même laïcisme qui avait glorifié Jeanne la rejette ou l’ignore, signant ainsi, chaque jour davantage, sa propre condamnation. [...]
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Jehanne la Pucelle, une élue pour la France, par le R. P. Jean-François Thomas

L’épopée johannique nourrit l’imagination de générations d’écoliers français pourtant sous la férule républicaine. Dans …
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« L’épopée johannique nourrit l’imagination de générations d’écoliers français pourtant sous la férule républicaine. Dans les classes d’antan, le maître exposait chaque semaine de grandes illustrations en couleurs représentant les épisodes fameux de notre Histoire, et Jeanne la Pucelle en faisait partie, tant à Chinon qu’à Orléans ou sur le bûcher de Rouen. Elle apparaissait comme un …Plus
« L’épopée johannique nourrit l’imagination de générations d’écoliers français pourtant sous la férule républicaine. Dans les classes d’antan, le maître exposait chaque semaine de grandes illustrations en couleurs représentant les épisodes fameux de notre Histoire, et Jeanne la Pucelle en faisait partie, tant à Chinon qu’à Orléans ou sur le bûcher de Rouen. Elle apparaissait comme un instrument de réconciliation nationale entre ceux qui honoraient Dieu et ceux qui Le combattaient. Son étendard continuait d’attirer sous sa protection tous ceux qui, de manières diverses, aimaient toutefois le sol nourricier et paternel. Depuis les dernières décennies, un vent mauvais n’a cessé de souffler sur le royaume qui demeure dans le Cœur de Dieu de façon privilégiée. Le même laïcisme qui avait glorifié Jeanne la rejette ou l’ignore, signant ainsi, chaque jour davantage, sa propre condamnation. [...]