Le Duel (1939) Le père Daniel Maurey (Pierre Fresnay) tombe inconsciemment amoureux d'une veuve, Thérèse Jaillon (Yvonne Printemps la femme de Fresnay dans la vie réelle). Il tente de pousser la belle …More
Le Duel (1939)
Le père Daniel Maurey (Pierre Fresnay) tombe inconsciemment amoureux d'une veuve, Thérèse Jaillon (Yvonne Printemps la femme de Fresnay dans la vie réelle).
Il tente de pousser la belle jeune femme à entrer dans les ordres.
Mais Thérèse est éprise du frère du curé, le docteur Pierre Maurey, qui le lui rend bien…
Elle résiste ainsi aux pressions de l'homme d'Eglise.
Un missionnaire, le Père Bolène (Raimu) tente alors de remettre le père Maurey dans le droit chemin, afin qu'il consente à bénir l'union des deux amants.
Le père Daniel Maurey (Pierre Fresnay) tombe inconsciemment amoureux d'une veuve, Thérèse Jaillon (Yvonne Printemps la femme de Fresnay dans la vie réelle).
Il tente de pousser la belle jeune femme à entrer dans les ordres.
Mais Thérèse est éprise du frère du curé, le docteur Pierre Maurey, qui le lui rend bien…
Elle résiste ainsi aux pressions de l'homme d'Eglise.
Un missionnaire, le Père Bolène (Raimu) tente alors de remettre le père Maurey dans le droit chemin, afin qu'il consente à bénir l'union des deux amants.
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Le Duel (1939) Une veuve est aimée d'un médecin dont le frère, un ecclésiastique inconsciemment amoureux de la jeune femme, la persuade d'entrer au couvent.
Remis sur le droit chemin par un missionnaire, le prêtre bénit le mariage de son frère.
Remis sur le droit chemin par un missionnaire, le prêtre bénit le mariage de son frère.
Maranatha Maranatha shares this
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Le Duel (1939) Une veuve est aimée d'un médecin dont le frère, un ecclésiastique inconsciemment amoureux de la jeune femme, la persuade d'entrer au couvent.
Remis sur le droit chemin par un missionnaire, le prêtre bénit le mariage de son frère.
Remis sur le droit chemin par un missionnaire, le prêtre bénit le mariage de son frère.
Maranatha Maranatha
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Une petite réalisation de Fresnay tirée d'une pièce de Lavedan du temps de la séparation des églises et de l'état, visant à la réconciliation.
Un scénario un peu démodé qui fait la par belle aux religieux même si Raimu vient mettre un peu d'eau dans ce pastis. (AlloCiné)
Un scénario un peu démodé qui fait la par belle aux religieux même si Raimu vient mettre un peu d'eau dans ce pastis. (AlloCiné)
Une petite réalisation de Fresnay tirée d'une pièce de Lavedan du temps de la séparation des églises et de l'état, visant à la réconciliation.
Un scénario un peu démodé qui fait la par belle aux religieux même si Raimu vient mettre un peu d'eau dans ce pastis. (AlloCiné)
Un scénario un peu démodé qui fait la par belle aux religieux même si Raimu vient mettre un peu d'eau dans ce pastis. (AlloCiné)
On peut préférer Pierre Fresnay dans Monsieur Vincent (1947),
dans Dieu a Besoin des Hommes (1950)
ou Le Défroqué , Film avec Pierre Fresnay.
dans Dieu a Besoin des Hommes (1950)
ou Le Défroqué , Film avec Pierre Fresnay.
2) Films (ou séries)
Album recensant les films entiers (en français) 
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Voir aussi ma Sélection de bons FILMS ...More
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En 1939, Pierre Fresnay s’essaie à la réalisation avec l’adaptation cinématographique d’une pièce qu’il eut grand plaisir à jouer pour La Comédie Française, Le Duel, une réalisation de Fresnay tirée d'une pièce de Lavedan du temps de la séparation des églises et de l'état, visant à la réconciliation. Un scénario qui fait la part belle aux religieux.
Participation au film de Les Petits …More
En 1939, Pierre Fresnay s’essaie à la réalisation avec l’adaptation cinématographique d’une pièce qu’il eut grand plaisir à jouer pour La Comédie Française, Le Duel, une réalisation de Fresnay tirée d'une pièce de Lavedan du temps de la séparation des églises et de l'état, visant à la réconciliation. Un scénario qui fait la part belle aux religieux.
Participation au film de Les Petits Chanteurs de la Croix de Bois.
Il s’agit de l’unique tentative de Fresnay comme réalisateur. Mobilisé près de la ligne Maginot, il bénéficiera d’une permission pour terminer le tournage.
Alors que la Seconde Guerre Mondiale éclate et que l’échec de son film Le Duel l’a un peu refroidi, Pierre Fresnay tourne quelques films pour la firme allemande Continental, qui lui vaudront des soucis et un passage par la case prison à la Libération.
Mais l’Histoire retiendra beaucoup plus facilement son concours à la bonne santé artistique du cinéma français pendant cette période, grâce aux deux longs métrages qu’il interprète sous la houlette d’Henri-Georges Clouzot : évoquant le climat délétère qui gangrène le pays pendant l’Occupation, sous le prisme du film policier, le cinéaste signe deux œuvres aussi noires que mémorables, avec L'Assassin habite au 21 (1942) et, surtout, Le Corbeau (1943).
Le film Le Duel (1939) :
Fresnay joue un prêtre inconsciemment amoureux d’une jeune femme, Thérèse, dont il devient le «conseiller spirituel», femme dont le mari aviateur est une célébrité.
Le frère du prêtre, un chirurgien «païen», avoue son amour à cette femme (sur la tour Eiffel). Mais le saint homme n'est pas prêt à l'accepter, même quand le mari meurt suite a un accident d’avion. Il l'exhorte Thérèse à quitter ce monde pour des préoccupations «spirituelles» supérieures, c'est-à-dire pour devenir une nonne !
---
Le Père Bolène (Raimu !) au chirurgien :
Au fond tu n’es qu’un paresseux, comme tous les incroyants…
Nous avons un Père au Ciel. IL répond toujours, il suffit de l’appeler, avec des mots très simples…
Participation au film de Les Petits Chanteurs de la Croix de Bois.
Il s’agit de l’unique tentative de Fresnay comme réalisateur. Mobilisé près de la ligne Maginot, il bénéficiera d’une permission pour terminer le tournage.
Alors que la Seconde Guerre Mondiale éclate et que l’échec de son film Le Duel l’a un peu refroidi, Pierre Fresnay tourne quelques films pour la firme allemande Continental, qui lui vaudront des soucis et un passage par la case prison à la Libération.
Mais l’Histoire retiendra beaucoup plus facilement son concours à la bonne santé artistique du cinéma français pendant cette période, grâce aux deux longs métrages qu’il interprète sous la houlette d’Henri-Georges Clouzot : évoquant le climat délétère qui gangrène le pays pendant l’Occupation, sous le prisme du film policier, le cinéaste signe deux œuvres aussi noires que mémorables, avec L'Assassin habite au 21 (1942) et, surtout, Le Corbeau (1943).
Le film Le Duel (1939) :
Fresnay joue un prêtre inconsciemment amoureux d’une jeune femme, Thérèse, dont il devient le «conseiller spirituel», femme dont le mari aviateur est une célébrité.
Le frère du prêtre, un chirurgien «païen», avoue son amour à cette femme (sur la tour Eiffel). Mais le saint homme n'est pas prêt à l'accepter, même quand le mari meurt suite a un accident d’avion. Il l'exhorte Thérèse à quitter ce monde pour des préoccupations «spirituelles» supérieures, c'est-à-dire pour devenir une nonne !
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Le Père Bolène (Raimu !) au chirurgien :
Au fond tu n’es qu’un paresseux, comme tous les incroyants…
Nous avons un Père au Ciel. IL répond toujours, il suffit de l’appeler, avec des mots très simples…