Sauf erreur de ma part, on n'injecte pas de cellules d'enfants avortés dans les vaccins incriminés mais on utilise ces cellules pour tester ces vaccins. Ca ne règle peut-être pas le problème moral …Plus
Sauf erreur de ma part, on n'injecte pas de cellules d'enfants avortés dans les vaccins incriminés mais on utilise ces cellules pour tester ces vaccins. Ca ne règle peut-être pas le problème moral en question mais l'analogie avec l'injection de gouttes de Précieux Sang dans le corps me semble de fait inappropriée.
Suite au scandaleux article publié sur le site officiel de la FSSPX aux Etats-Unis, la maison générale de la FSSPX vient de publier un autre article sous la plume de l'abbé Sélégny. A la fin d'un …Plus
Suite au scandaleux article publié sur le site officiel de la FSSPX aux Etats-Unis, la maison générale de la FSSPX vient de publier un autre article sous la plume de l'abbé Sélégny. A la fin d'un très article qui noie le lecteur dans un fatras de distinctions et sous-distinctions, le lecteur a la stupeur de lire qu'en certaines circonstances graves, il est possible de recevoir ce vaccin avec des cellules d'enfants avortés car "la coopération n'est que lointaine" (sic). On se demande ce que l'abbé Sélégny veut dire par "lointaine" car il y a bien des cellules d'enfants avortés dans ce vaccin. Pour l'abbé Sélégny, le médecin qui vaccine et la personne qui reçoit le vaccin avec ces cellules ne sont pas coupables car ils se trouveraient en quelque sorte au bout d'une chaine très longue. Du coup d'un acte en soi mauvais, l'abbé Sélégny le transforme en un acte indifférent qui serait bon ou mauvais selon les circonstances de celui qui reçoit le vaccin. Or ce raisonnement est essentiellement …Plus
Les documents de Vatican II sont "ambigus", "en discontinuité" avec l'enseignement de l'Eglise, et ont été "conçus pour leur effet subversif", observe l'archevêque Viganò dans une lettre du 15 juin …Plus
Les documents de Vatican II sont "ambigus", "en discontinuité" avec l'enseignement de l'Eglise, et ont été "conçus pour leur effet subversif", observe l'archevêque Viganò dans une lettre du 15 juin publiée sur ChiesaEPostconcilio.BlogSpot.com. Il propose donc "de laisser tomber tout cela et de l'oublier". Cela va plus loin que l'évêque Schneider qui ne veut que condamner les propositions de Vatican II qui sont hérétiques ou favorisent l'hérésie. Cependant, une telle condamnation des propositions individuelles ne supprimerait pas "les ombres" qui entourent le Concile pastoral et qui "portent préjudice à l'ensemble de ses documents", soutient Viganò. Il espère donc un pape qui "annulera le Concile tout entier". Un pape a le pouvoir de le faire, car il est au-dessus d'un concile, explique Viganò. #newsOsusfppdui
