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Accord Rome-FSSPX : sermon de l'abbé Michel Koller (FSSPX) Accord Rome-FSSPX : sermon de l'abbé Michel Koller (FSSPX) le 10 juin 2012 en la chapelle ND de la Merci de Clermont-Ferrand.Plus
Accord Rome-FSSPX : sermon de l'abbé Michel Koller (FSSPX)
Accord Rome-FSSPX : sermon de l'abbé Michel Koller (FSSPX) le 10 juin 2012 en la chapelle ND de la Merci de Clermont-Ferrand.
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..rien à faire... c’est toujours vrai....
Alain BONJEAN
Merci Monsieur l'Abbé Koller,
c'est grâce à des Prêtres comme vous que les âmes peuvent se sauver🕆
timadanm24
“Libre a vous de vous vautrer dans cette boue, mais ce sera sans moi” 👏 👏 👏
AveMaria44
Le problème est que rien n'a été signé, mais que la grenouille se fait cuire à petit feu......Le problème fondamental étant de reconnaître François comme le Pape, il est alors logique de chercher à être en pleine communion avec lui, l’Église n'a pas été fondé sur Marcel.
EdelStremonia
Ce sermon a-t-il été traduit dans d'autres langues (je veux dire autres que l'anglais) ? merci. Ed.
EdelStremonia
Merci Monsieur l'Abbé pour votre clarté d'esprit.
St Matth 5. 37 ... sit autem sermo vester est est non non : que votre oui soit oui, que votre non soit non...
Va-t-on boire à la source si celle-ci est empoisonnée ?
Libor Halik
Father Michel Koller translated to English: z10.invisionfree.com/Ignis_Ardens/index.php
Arnaud Dumouch
Cher SOS Fraternité. Moïse n'est pas chrétien !
Jésus annonce un autre genre de royauté que elle de Moïse.Plus
Cher SOS Fraternité. Moïse n'est pas chrétien !

Jésus annonce un autre genre de royauté que elle de Moïse.
lanternedslenoir
🤨 🙄 😲 🤨 A.D. dit-"Vatican II est juste un Concile de plus dans la continuité des autres et en harmonie avec les autres."-Excusez moi,j'ai avale mon the de travers!!! 🤒
sebdeponch
Et les marchands du Temple, ils ne sont pas chassés par la violence?
La plus grande des violence est de pécher contre le Saint Esprit en enseignant contre la véritée connue. C'est ce que fait la nouvelle église de vatican II. Basta !
Arnaud Dumouch
Cher Glorian, Pourquoi dites vous cela ? La Révélation de Jésus existe avant Vatican II. Sainte Thérèse de l4Enfant Jésus et sainte Faustine ont écrit avant Vatican II. Mais Vatican II a mis dans le Magistère certains aspects de la Révélation qui n'étaient pas mis en lumière par la plupart des théologiens catholiques.
Vatican II est juste un Concile de plus dans la continuité des autres et …Plus
Cher Glorian, Pourquoi dites vous cela ? La Révélation de Jésus existe avant Vatican II. Sainte Thérèse de l4Enfant Jésus et sainte Faustine ont écrit avant Vatican II. Mais Vatican II a mis dans le Magistère certains aspects de la Révélation qui n'étaient pas mis en lumière par la plupart des théologiens catholiques.

Vatican II est juste un Concile de plus dans la continuité des autres et en harmonie avec les autres. Ceux qui ont du mal avec Vatican II sont ceux qui se sont juste trop attachés avec une synthèse théologique à la mode au XIX° s à l'époque des grandes luttes anticléricales.
Arnaud Dumouch
Que pensez vous de l'autorisation de l'usage de la torture (de manière certes limitée en comparaison des pratiques de l'époque), dans le décret pastoral du pape Innocent IV en 1252 définissant les missions de l'inquisition ?
4 autres commentaires de Arnaud Dumouch
Arnaud Dumouch
Cher SOS Fraternité. Jésus n'enseigne certes pas la violence pour prêcher la foi. Mais les chrétiens sont loin d'être des saints dès leur naissance.
C'est donc l'histoire qui montre la façon dont la foi fut imposée par la force dans le nouveau monde Portugais et espagnol.
Ce fut aussi le cas par Charlemagne aux Saxons.
Le pape Jean-Paul II, voulant percer cet abcès de note passé fit une repentance …Plus
Cher SOS Fraternité. Jésus n'enseigne certes pas la violence pour prêcher la foi. Mais les chrétiens sont loin d'être des saints dès leur naissance.

C'est donc l'histoire qui montre la façon dont la foi fut imposée par la force dans le nouveau monde Portugais et espagnol.
Ce fut aussi le cas par Charlemagne aux Saxons.

Le pape Jean-Paul II, voulant percer cet abcès de note passé fit une repentance de tous ces points noirs pour le jubilé de l'an 2000.
Arnaud Dumouch
Historiquement, c'est hélas faux. Il y a eu des moment où la violence a servi à convertir même chez les chrétiens (catholiques et Protestants).
Par contre, ce qui est vrai, c'est que Jésus avait interdit ce genre de violence alors que Mohamed a autorisé la violencePlus
Historiquement, c'est hélas faux. Il y a eu des moment où la violence a servi à convertir même chez les chrétiens (catholiques et Protestants).

Par contre, ce qui est vrai, c'est que Jésus avait interdit ce genre de violence alors que Mohamed a autorisé la violence
Arnaud Dumouch
Cher SOS fraternité,
Je dirais plutôt que Dieu nous a créés pour l'aimer dans une alliance réciproque. Mais cette obligation (qui nous donne la béatitude) ne s'impose pas par la coercition mais par la liberté de l'homme adulte.
Si vous dites que Dieu nous a créés pour le servir et que cela doit nous être imposé, vous entrez dans la théologie et la pastorale musulmane. Le christianisme n'est …Plus
Cher SOS fraternité,

Je dirais plutôt que Dieu nous a créés pour l'aimer dans une alliance réciproque. Mais cette obligation (qui nous donne la béatitude) ne s'impose pas par la coercition mais par la liberté de l'homme adulte.

Si vous dites que Dieu nous a créés pour le servir et que cela doit nous être imposé, vous entrez dans la théologie et la pastorale musulmane. Le christianisme n'est pas là et le concile Vatican II l'explicite.

Quant à l'Eglise, elle doit poursuivre la mission du Christ qui convainquait en attirant, pas en imposant.

Lorsque Jean fut tenter par la coercition, voilà ce que répondit Jésus :

Luc 9, 54 Ce que voyant, les disciples Jacques et Jean dirent : "Seigneur, veux-tu que nous ordonnions au feu du ciel de descendre et de les consumer?"
Luc 9, 55 Mais, se retournant, il les réprimanda.
Arnaud Dumouch
Cher Catholique et Français, l'infaillibilité charismatique venant du Saint esprit touche, dans le concile Vatican II comme dans les autres concile oecuméniques que les parties DOCTRINALES.
Les parties PASTORALES du Concile sont d'une autre autorité et appellent non une adhésion de foi théologale, mais une obéissance pratique, éclairé et parfois critique.
Par contre, il est clair que, contre …Plus
Cher Catholique et Français, l'infaillibilité charismatique venant du Saint esprit touche, dans le concile Vatican II comme dans les autres concile oecuméniques que les parties DOCTRINALES.

Les parties PASTORALES du Concile sont d'une autre autorité et appellent non une adhésion de foi théologale, mais une obéissance pratique, éclairé et parfois critique.

Par contre, il est clair que, contre l'avis du Bx pape Jean XXIII, l'Esprit saint a voulu que ce Concile continue à définir la foi sur des thèmes comme l'Eglise et sa structure, l'Ecriture Sainte, la doctrine du salut. Sur ces points, aussi bien vous qui êtes proche de l'Abbé de Nantes que la FSSPX ou l'Eglise orthodoxe ne pourront entrer dans la plénitude de la catholicité sans adhérer par un acte de foi théologale.

Prenons la question de la liberté religieuse : Il y a dans ce thème une partie DOCTRINALE : (Dieu a créé l'homme comme une personne dotée de liberté) et une partie PASTORALE (L'Eglise estime ne plus pouvoir gérer le troupeau du Christ par la contrainte mais plutôt par l'enseignement humble et l'appel à la conviction libre du coeur). La partie doctrinale, il faut y adhérer par la foi. La partie pastorale, l'Eglise demande qu'on y adhère en réfléchissant et par son intelligence pratique.
Catholique et Français
"Concile Infaillible ? Une question..." (texte d'un tract)
« Religieusement à l’écoute de la Parole de Dieu et la proclamant avec assurance, le saint Concile obéit aux paroles de saint Jean qui dit : “ Nous vous annonçons la vie éternelle qui était auprès du Père et qui nous est apparue : ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, afin que vous aussi soyez en communion avec nous …Plus
"Concile Infaillible ? Une question..." (texte d'un tract)
« Religieusement à l’écoute de la Parole de Dieu et la proclamant avec assurance, le saint Concile obéit aux paroles de saint Jean qui dit : “ Nous vous annonçons la vie éternelle qui était auprès du Père et qui nous est apparue : ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, afin que vous aussi soyez en communion avec nous ; quant à notre communion, elle est avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ ” (1 Jn 1, 2-3). »
L’autorité du Concile Vatican II est ainsi affirmée dès les premières lignes de la Constitution Dei Verbum avec une solennité particulière, solennité reservée jusque-là aux définitions solennelles, et bien que ce Saint Synode n’ait rien voulu entreprendre de tel.
Lors de son intervention du 30 septembre 1964, le cardinal Ruffini avait d’ailleurs déclaré ce texte “ ineptus ” c’est-à-dire tout à fait déplacé. En effet, “ l’ineptie ” consistait en ceci « que le Concile s’est pris pour le Collège des Apôtres, témoins immédiats et inspirés du Christ lui-même.
«Saint Jean, qu’on cite là abusivement, avait vu et touché le Verbe de vie et il a raconté, avec le secours de l’inspiration divine accordée aux Apôtres, ce qu’il avait lui-même entendu et vu le Christ dire et faire. Mais ni Paul VI, ni les cardinaux Alfrink, Suenens, Marty etc., ni le Concile en sa totalité collégiale, n’ont vu ni touché ni entendu le Christ.» (Abbé de Nantes, CRC n° 51, décembre 1971)
Une même solennité, d’autant plus surprenante qu’elle n’était pas prévue par le règlement, sera conférée par Paul VI à la promulgation de chacun des textes du Concile. «Tout l’ensemble et chacun des points qui ont été édictés dans cette Constitution (ou : ce Décret) ont plu aux Pères du Concile (placuerunt Patribus). Et Nous, en vertu du pouvoir apostolique que Nous tenons du Christ, en union avec les vénérables Pères (cum venerabilibus Patribus), Nous les approuvons, arrêtons et décrétons dans le Saint-Esprit, et Nous ordonnons que ce qui a été ainsi établi en Concile soit promulgué pour la gloire de Dieu.»
Unanime ? Une question...
La formule adoptée par Paul VI est si solennelle que l’on attendrait l’anathème fulminé à l’encontre des opposants. Mais d’opposants il n’y eut pas. Vrai ? Oui, vrai ! Aucun opposant n’est mentionné dans les Actes de Vatican II, l’unanimité est totale, c’est pourquoi Paul VI a voulu la mentionner dans la formule de promulgation de chacun des Actes du Concile, associant le Collège épiscopal à sa propre souveraineté. Telle est du moins la vérité officelle.
Et cela jusqu’au dernier jour, jusqu’à la promulgation de la fameuse et si controversée “Déclaration sur la liberté religieuse” :
Tout l’ensemble et chacun des points qui ont été édictés dans cette déclaration ont plu aux Pères du Concile. Et Nous, en vertu du pouvoir apostolique que Nous tenons du Christ, en union avec les Vénérables Pères, Nous les approuvons, arrêtons et décrétons dans le Saint-Esprit, et Nous ordonnons que ce qui a été ainsi établi en Concile soit promulgué pour la gloire de Dieu.
À Rome, à Saint-Pierre, le 7 décembre MCMLXV. Ego PAULUS Catholicæ Ecclesiæ Episcopus.
Aucune allusion, aucune concession, aucune existence n’est accordée aux 70+8 opposants ou silencieux au vote sur la Liberté religieuse. Réduits à rien, ces dissidents, ces objecteurs, ces râleurs sont exclus de la considération générale. Sans eux, donc, c’est la candide et étincelante unanimité ! de ce “Sacro-Saint et Universel concile Vatican II”.
Telle était, depuis le Concile, “la nouvelle manière de sentir, de vouloir et de se comporter”, vantée par Paul VI. (Abbé de Nantes, CRC n° 288, avril 1992)
En aucune des promulgations des seize Actes de Vatican II, Paul VI ne daignera suivre le Règlement du Concile, qui avait imposé ne varietur la formule que devait employer le Souverain Pontife en personne pour annoncer les résultats des votes et, au vu de ces résultats – voilà la vraie collégialité ! – proclamer sa décision souveraine. Cette formule imposait de signaler l’unanimité des votes et sinon, de mentionner l’existence d’opposants et leur nombre ! Les Conciles antérieurs ont tous été très scrupuleusement fidèles à cette règle qui distingue un Concile sacré d’un vulgaire “ brigandage ”. Ce fut fait, magnifiquement, à Vatican I. Lors de la proclamation du dogme de l’infaillibilité pontificale, Pie IX déclara que “les décrets et canons plaisaient à tous les Pères, excepté à deux d’entre eux”. Au scrutin solennel de cette dernière session publique s’étaient en effet manifestés deux opposants ! Ceux-ci d’ailleurs, émus comme bien l’on pense, mais honorés dans leur autorité de juges, législateurs et définisseurs conciliaires, voulurent sur-le-champ assurer le Saint-Père et les Pères conciliaires de leur immédiate soumission et adhésion au dogme nouveau. Voilà bien l’honnêteté des anciens Pères et Docteurs de l’Église... que Vatican II n’a pas eue !
Telle était “l’ancienne manière de vouloir et de se comporter”.
Trop fort pour ce qu’il a de faible.
Qui plus est, le pape Paul VI opéra, dans l’invention de cette formule inédite, une amplification outrancière et théologiquement irrecevable de la formule prescrite par le règlement. La redondante période, créée par lui, donne fallacieusement un caractère d’enseignement extraordinaire et solennel, donc infaillible et irréformable, aux seize Actes de Vatican II qui n’en sont dignes ni canoniquement ni dogmatiquement.
Ainsi l’Église tout entière, en Assemblée Constituante, allait à la rencontre du monde pour une nouvelle alliance dont le premier principe serait nécessairement la Liberté religieuse, dogme révolutionnaire inscrit en tête de toutes les Constitutions de la République depuis 1789 et de la Déclaration des droits de l’homme.
L’unanimité devait tenir lieu d’infaillibilité. Mais l’infaillibilité imposée, contraignait le Concile à en respecter les règles : pour qu’une proposition puisse être revêtue de ce caractère, c’est-à-dire qu’elle puisse entrer dans le domaine “ordinaire” de la foi catholique, il faut qu’elle fasse partie du dépôt reçu des Apôtres et qu’elle ait été soutenue jusqu’à nous sans défaut, sinon sans opposition.
Dieu entre parenthèses.
Or la Liberté religieuse a constamment été condamnée par l’Église affrontée à la Révolution dont cette “liberté de perdition” (saint Augustin) est le principe et fondement. «Et de fait, vous le savez parfaitement, Vénérables Frères, écrivait le bienheureux Pie IX, il s’en trouve beaucoup aujourd’hui pour oser enseigner que “le meilleur régime politique et le progrès de la vie civile exigent absolument que la société humaine soit constituée et gouvernée sans plus tenir compte de la religion que si elle n’existait pas, ou du moins sans faire aucune différence entre la vraie et les fausses religions”. Et contre la doctrine de la Sainte Écriture, de l’Église et des saints Pères, ils affirment sans hési-tation que “la meilleure condition de la société est celle où on ne reconnaît pas au pouvoir le devoir de réprimer par des peines légales les violations de la loi catholique, si ce n’est dans la mesure où la tranquillité publique le demande”.
«À partir de cette idée tout à fait fausse du gouvernement des sociétés, ils ne craignent pas de soutenir cette opinion que Notre Prédécesseur Grégoire XVI, d’heureuse mémoire, qualifiait de “délire” : “La liberté de conscience et des cultes est un droit propre à chaque homme. Les citoyens ont droit à l’entière liberté de manifester hautement et publiquement leurs opinions quelles qu’elles soient, par les moyens de la parole, de l’imprimé ou toute autre méthode sans que l’autorité civile ni ecclésiastique puisse lui imposer une limite.” (Quanta Cura)
Avec une franchise qui lui fait honneur, le Père Martelet, jésuite, avouait sans ambages aux Pères conciliaires: «Si vous voulez fonder la Liberté religieuse sur Dieu, vous n’y arriverez évidemment pas, puisque de Dieu au Christ et à l’Église la filiation est directe et qu’elle exclut le laïcisme d’État comme l’œcuménisme. Il faut donc mettre dieu entre parenthèses (sic !) et fonder votre schéma sur la dignité humaine.» Ce que tous ont trouvé acceptable...
Sans fondement dans l’Écriture ni dans la tradition, mais imposée d’autorité par Paul VI.
L’appel à l’infaillibilité.
Puisque Paul VI faisait preuve d’une telle volonté, d’une telle autorité pour imposer la Réforme conciliaire et en particulier la Liberté religieuse, c’est à l’autorité de son successeur, que nous ferons inlassablement appel pour rendre vie et honneur aux opposants et trancher souverainement de la Vérité catholique et de l’erreur révolutionnaire plutôt que de faire comme si nous n’existions pas.
Dès la fin du Concile, sommé d’adhérer aux Actes du Concile notre Père (l'Abbé de Nantes) a fait appel à l’autorité souveraine du Saint-Office, supprimé la veille de la clôture du Concile. Celui-ci a été rouvert à sa demande, le procès a été instruit mais sa plainte est restée classée sans suite et lui-même a été déclaré “disqualifié”.
«HANS KUNG était convoqué au Saint-Office au même moment que moi, écrivait l’abbé de Nantes. J’y allai, lui refusa. Et il continua de plus belle sa critique des institutions divines de l’Église. N’a-t-il pas une photographie qui le représente souriant aux côtés du Pape, lui ! Son dernier livre, “Infaillible ?”, détruit la doctrine de l’infaillibilité pontificale, pourtant définie solennellement par le premier concile du Vatican. Le livre a été traduit en italien et publié à Rome même. Et Vous le tolérez ? Alors, c’est que tout est permis, même d’attenter à Votre fonction, même de Vous insulter en face !»
Une telle façon “de vouloir et de se comporter” disqualifie tout ce Concile.
lanternedslenoir
M.A.D.....vous n'etes pas un Pape pour canoniser un concile,alors le "saint" concile, cela n'a toujours pas ete defini par les autorites officielles,merci de dire Le Concile! 😁
Arnaud Dumouch
Alors tout est dit : Pour certains, le fait que le saint Concile Vatican II reconnaisse la présence dans les religions de "semences venant de l'Esprit Saint et préparant le salut par le Christ", consiste à "adorer la Bête" ?
Fort heureusement, pour la plupart, une telle reconnaissance est dans la ligne de l'Ecriture et du saint Concile de Trente (VI° session sur la justification) qui lui aussi …Plus
Alors tout est dit : Pour certains, le fait que le saint Concile Vatican II reconnaisse la présence dans les religions de "semences venant de l'Esprit Saint et préparant le salut par le Christ", consiste à "adorer la Bête" ?

Fort heureusement, pour la plupart, une telle reconnaissance est dans la ligne de l'Ecriture et du saint Concile de Trente (VI° session sur la justification) qui lui aussi reconnaissait à des valeurs non spécifiquement chrétiennes comme la bonne volonté des païens "une vertu de DISPOSITION AU SALUT" (tout en niant que cette bonne volonté puisse sauver en elle-même).